Dianatoul Mahwa : Chiffre d'affaires, problèmes...Au coeur du business des charretiers
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Dianatoul Mahwa : Chiffre d'affaires, problèmes...Au coeur du business des charretiers
La vente de « Maad » ne dure que la période de sa cueillette.
Ch. Cissé, ferrailleur de profession, à Grand-Yoff, pour y voler un mouton avant de se fondre dans la nature.
La célébration de la 127e édition du grand Magal de Touba est une occasion pour les charretiers de se remplir les poches
Dianatoul Mahwa : Chiffre d'affaires, problèmes...Au coeur du business des charretiers
Repos forcé pour le sieur Malick Diarra. Le sulfureux bûcheron de Ziguinchor, l’homme par qui le malheur de Boffa Bayotte est arrivé, est obligé d’observer un temps de pause dans l’exercice de son activité illégale.
Dans la région de Kolda, les ressources forestières sont exploitées par un vaste réseau de trafiquants de bois composés de Sénégalais, de Gambiens et de Chinois basés à Banjul. Des milliers de pieds d’arbres notamment de « vène » sont abattus et des centaines de troncs exportés chaque jour en Gambie. Une enquête menée dans la capitale du Fouladou a permis de découvrir que les populations et les représentants de l’Etat sont soit acteurs soit complices de ce pillage organisé.
Les ordures ménagères envahissent le pont de l’émergence, situé entre les communes de Grand-Médine, Pattes d’oie et Parcelles assainies. Malgré les 30 tonnes d’ordures enlevées par jour par l’Entente Cadak-Car, le dépôt sauvage continue à accueillir la saleté déversée par des charretiers.
La fièvre hémorragique à virus Ebola hante le sommeil des sénégalais, surtout ceux des régions périphériques non loin de la Guinée où l’épidémie continue de faire des victimes. Si aucune personne atteinte du virus n’a été signalée, Ebola a tout de même ralentit les activités du marché hebdomadaire de Diaobé (région de Kolda) que fréquentent des milliers de personnes venues des quatre coins du Sénégal ainsi que des pays voisins, notamment la Guinée. Reportage.
Le départ en exil du fondateur du Mouridisme, Cheikhoul Khadim survenu un 18 Safar, dans le calendrier musulman, sera célébré demain mardi 1er janvier à Touba. En débarquant dans la ville sainte, on sent une grande effervescence avec l’arrivée en masse des talibés, mais aussi avec les khassaides (écrits de Serigne Bamba) diffusés de toutes parts. Les habitants de la cité mettent les bouchées doubles pour accueillir les talibés.
Dans le contrat social, Jean Jacques Rousseau a laissé à l'Humanité tout entière de beaux traits d'esprit. Des maximes utiles pour nos esprits fossiles. Le fort, prévient-il, n'est jamais assez fort pour être toujours le plus fort. Pour garder sa puissance, un édit doit transformer sa force en droit et l'obéissance en devoir. La législation est donc un bon business. C'est du Win-win. Elle offre une protection pour les gouvernés et un paravent pour les gouvernants. Respectée, elle est le garant de l'équilibre, de la stabilité et de la paix sociale. Dans le contexte actuel du Sénégal, le Code pénal est devenu un gourdin. Entre les mains de quelques psychopathes dangereux, il casse du pauvre et de l'opposant. Tout pouvoir sans entraves et sans contrepoids mène à l'abus, à la folie. L'arbitraire est la démence du pouvoir. Et les signes cliniques de cette dégradation mentale se lisent à l'échelle des faits les plus banals de l'actualité. Deux charretiers ont été arrêtés le mardi 3 janvier dernier au marché Boubess de Guédiawaye. Pris en flagrant délit de consommation de chanvre indien, ils ont quand même bénéficié du soutien de la population. Cette dernière s'était opposée à l'arrestation des délinquants. Les policiers ont dû tirer des coups de feu en l'air pour se frayer un chemin. Cette nouvelle rébellion a été prise pour un simple incident. C'est une grave erreur. C'est un signe et une preuve. Le Sénégalais ordinaire a perdu confiance en la loi. La justice des pauvres est le pire des injustices. Et en la matière, le gouvernement d’Abdoulaye Wade ne se gêne pas. Surtout pas.
Les inondations ne sont pas que malheur au sein des populations. Elles favorisent le développement de nombreuses activités assez lucratives tout autour des zones inondées de la banlieue, au grand dam des populations qui s'appauvrissent davantage. Le malheur des uns fait le bonheur des autres. Cet adage est une réalité dans les quartiers populeux de la banlieue de Dakar, vivant depuis 2003, sans répit, les affres des inondations. Cause de dislocation de familles avec les maisons qui sont abandonnées à cause des eaux stagnantes, de l'éternelle errance des sinistrés, de maladies, bref d'une liste inépuisable de malheurs aux conséquences incommensurables pour les populations fortement éprouvées