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Le malaise est profond au sein de la mouvance présidentielle minée par une brouille visible du tandem Diomaye-Sonko autour de la présidence de la coalition DiomayePrésident.
De l’impérieuse nécessité de poursuivre la révolution patriotique africaine développée au Sénégal avec son continuum de ruptures et sa cohorte de tumultes inhérents à toute révolution à l’instar de l’historique révolution française de 1789 ou du contemporain printemps arabe.
![[Entretien] Babacar Ndiaye, politologue : « Ce nouveau gouvernement a pour mission de concrétiser les promesses de PASTEF »](https://image.seneweb.com/content/news/2025-37-10//thumb_1260x800_68c16da8b26d7_liWoUfogyu.jpg)
Le 6 septembre 2025, le président Bassirou Diomaye Faye a opéré un remaniement ministériel, marquant un tournant après 18 mois de gouvernance
« Bill Gates va donner la majeure partie de sa fortune de 200 milliards de dollars à l’Afrique »
La convocation du chroniqueur Badara Gadiaga à la Division Spéciale de la Cybercriminalité a suscité une vive indignation au sein de la classe politique et de la société civile.
Le Sénégal devra encore attendre pour présider la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO).
Après plusieurs semaines de participation au Dialogue national, l’opposition présente à ces discussions a tenu ce mardi un point de presse pour dresser un premier bilan.
Le fondateur de Microsoft, Bill Gates, a déclaré que la majeure partie de sa fortune sera consacrée à l’amélioration des services de santé et d’éducation en Afrique au cours des 20 prochaines années.
![[Entretien 2/2] Pr Amath Ndiaye, économiste : “Oui, la situation est grave, mais le Sénégal n’est pas la Grèce”](https://images.seneweb.com/dynamic/modules/news/images/gen/fb//5d461a40b6bf11fd32275a79be2146a77751e966.jpeg)
Dans cette deuxième partie de notre entretien, le Pr Ameth Ndiaye, économiste et professeur à la Faculté des Sciences Économiques et de Gestion (UCAD), aborde le débat sur le franc CFA et l’éventuelle transition vers l’ECO.
Au-delà de l’impératif de vérité, le défi qui se pose à notre nation est celui de juger l’histoire sans compromettre son avenir.
Lors de la séance plénière de l’Assemblée nationale ce mercredi 2 avril 2025, le député Ismaëla Diallo, membre du groupe parlementaire Pastef/Les Patriotes, a rendu un hommage poignant aux victimes des manifestations politiques survenues entre 2021 et 2024.
En réécrivant entièrement sa proposition de loi sur l’amnistie, Pastef persiste dans ce qui s’apparente à une manœuvre politique plutôt qu’à une clarification juridique.
Le ramadan et les compétitions sportives de haut niveau suscitent régulièrement des commentaires et des controverses, notamment sur la question des pauses permettant aux joueurs de rompre leur
Ce vendredi, Serigne Fall Gueye, Directeur Général du Grand Théâtre National Doudou Ndiaye Coumba Rose, a tenu une conférence de presse pour répondre aux controverses autour des licenciements qui agitent l’institution.
L’immunité parlementaire constitue un principe fondamental droit constitutionnel, visant à garantir aux élus la liberté d’exercer leur mandat sans ingérence ni crainte de poursuites arbitraires
![[Focus] Levée de l'immunité parlementaire : Au-delà du fondement constitutionnel, les enjeux politiques](https://images.seneweb.com/dynamic/modules/news/images/gen/fb//81fcae9c7d7f622d24b8d18b6cf170b1908447d0.jpg)
Au Sénégal, l’immunité parlementaire est une disposition inscrite dans la Constitution.
Retour de la surtaxe sur les appels entrants : une décision inappropriée ?
La question de l'indemnisation des victimes des événements politiques de 2021 à 2024 continue de semer la zizanie dans les rangs des partisans du pouvoir. Mais l'invité du "Jury du dimanche", Ibrahima Thiam, secrétaire d'État au Développement des PME-PMI balaie les controverses et plaide pour une justice effective avec l'appui de la Haute cour de justice. Il appelle l'État à débloquer plus de cinq milliards de francs CFA et à garantir une prise en charge intégrale des victimes.
Ses proches l’assuraient, Emmanuel Macron s’était assagi : fini les petites phrases qui ont parasité ses débuts. Mais des mots controversés lancés à Mayotte, qui coïncident avec une enquête du Monde, relancent l’idée d’un président français qui veut «dominer» ses interlocuteurs au risque d’«abîmer» son image.
Tout a été dit. Tout a été écrit.
