Le 10 octobre 2025, l'agence de notation Moody's a abaissé la note souveraine du Sénégal de B3 à Caa1 (perspective négative), invoquant des "risques croissants pour la trajectoire budgétaire" et une "position de liquidité affaiblie".
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Le 10 octobre 2025, l'agence de notation Moody's a abaissé la note souveraine du Sénégal de B3 à Caa1 (perspective négative), invoquant des "risques croissants pour la trajectoire budgétaire" et une "position de liquidité affaiblie".
La sentence est tombée. Pour la deuxième fois en quelques mois, Moody’s Investors Service a abaissé la note souveraine du Sénégal, la faisant glisser encore plus profondément dans la catégorie des emprunteurs à haut risque. Ce n’est pas une simple mauvaise note :
Le Quotidien, citant l’agence d’information financière Investing.com, rapporte que Moody’s Ratings a de nouveau abaissé la note souveraine du Sénégal, la faisant passer de B3 à Caa1...
L'agence de notation Fitch a abaissé vendredi soir la note souveraine de la France, à A+, sanctionnant le pays pour son instabilité politique persistante et les incertitudes budgétaires qui contrarient l'assainissement de ses comptes publics très dégradés.
L’enseignant-chercheur en économie à l’université Cheikh Anta Diop de Dakar, Meissa Babou a suivi avec beaucoup d’intérêt la présentation du Plan de redressement économique et social.
Dans une missive au ton provocateur, l’ancien ministre de l’Apr Papa Malick Ndour a sévèrement critiqué le régime de Bassirou Diomaye Faye et Ousmane Sonko
Le 1er août 2025, le Premier ministre Ousmane Sonko présentera un plan de redressement économique au Grand Théâtre de Dakar, en présence du président Bassirou Diomaye Faye, pour répondre à la crise économique sévère que traverse le Sénégal.
Lors de la première édition de la Convention des Jeunes Reporters du Sénégal (CJRS), tenue le 25 juillet à la Maison de la Presse, le Dr Khadim Bamba Diagne, Secrétaire permanent du COS-Petrogaz, a livré une analyse percutante sur « Les hydrocarbures et l’économie sénégalaise : situation actuelle et perspectives ». Voici les temps forts de son intervention :
La situation financière héritée des douze ans de pouvoir du président Macky Sall et son lot de conséquences continue d’alimenter les débats. Manœuvres budgétaires frauduleuses, dettes cachées… Le retour de bâton est très violent pour le nouveau régime qui, accablé par l’effondrement de sa note souveraine, n’a plus aucune marge de manœuvre.
Le premier ministre Ousmane SONKO subit actuellement les contrecoups d’une sur-légitimité politique qui l’expose à des manœuvres (parfois non conventionnelles), des critiques non fondées de la part de l’opposition et de certains médias.
La situation financière du Sénégal va de mal en pis avec une dégradation constante de la note souveraine. Lundi dernier, 14 juillet 2025, l’agence de notation S&P Global Ratings a dégradé une nouvelle fois la note de crédit à long terme du pays. Celle-ci passe de B à B-. Une situation qui résulte d’une réévaluation de la dette du Sénégal (119% du PIB) qui dépasse le seuil critique des 100%.
Face à une crise persistante de confiance des marchés et à la dégradation récente de sa note souveraine, le Sénégal a lancé en juillet 2025 une révision de la base de calcul de son produit intérieur brut (PIB).
L’agence de notation S&P Global Ratings a abaissé la note souveraine du Sénégal de « B » à « B- » avec une perspective négative, selon une annonce datée du 14 juillet.
La situation du Sénégal est plus complexe qu’il n’y paraît
A Séville où il a séjourné, le président Diomaye Faye informe avoir co-présidé une table ronde sur la dette souveraine, ce mercredi 02 juillet 2025 avec son homologue Pedro Sánchez.
Loi de finances rectificative : deux annonces de Cheikh Diba risquent d’enfoncer l’économie sénégalaise
Aux côtés de Greenpeace, les manifestants ont dénoncé l’inaction des puissants, face à l’urgence climatique et sociale.
Les obligations en dollars du Sénégal figurent désormais parmi les moins performantes des marchés émergents, selon Bloomberg.
Le Pr Amath Ndiaye, économiste à la FASEG-UCAD, a publié une analyse intitulée « Sénégal : Emprunter oui, mais dans la clarté »,
La manière burlesque avec laquelle est mise en œuvre notre diplomatie depuis avril 2024 ne doit jamais nous faire perdre de vue l’essentiel, à savoir le rétrécissement de la surface du Sénégal sur la scène internationale.