Le gouvernement sénégalais a présenté des projections budgétaires révisées pour 2026-2028, avec des ressources prévues à
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Le gouvernement sénégalais a présenté des projections budgétaires révisées pour 2026-2028, avec des ressources prévues à
Depuis l’annonce du Plan national de redressement par le Premier ministre Ousmane Sonko en juillet 2025, les eurobonds sénégalais ont enregistré une reprise modérée sur les marchés financiers.
Dans un contexte économique marqué par un déficit budgétaire de 14 % du PIB et une dette publique atteignant 119 % en 2024, le Sénégal s’engage dans un plan de redressement économique et social ambitieux, « Jubbanti Koom ».
Une arrestation injustifiable, une humiliation pour l’expert et un précédent dangereux pour la République.
Certains silences, à force de durer, se transforment en inerties. Ce qu’on présente comme équilibre, cache parfois une stabilité rendue confortable pour ceux qui l’occupent. Pourtant, le monde évolue, et avec lui l’exigence de repenser la place de chacun dans la chaîne de transmission.
Alors que le Sénégal affiche une volonté affirmée de souveraineté économique, ses équilibres budgétaires restent étroitement liés aux financements extérieurs.
Dans un contexte de crise financière marquée par une chute des obligations souveraines en dollars du Sénégal, le professeur Amath Ndiaye, économiste à la FASEG-UCAD, tire la sonnette d’alarme dans une tribune intitulée "Sénégal :
Le Débat d’orientation budgétaire (D.O.B.) a démarré à l’Hémicycle
C’est adopté. Le projet de loi n°11/2025 portant loi de finances rectificative pour l’année 2025 a été examiné...
Aujourd’hui une partie de l’opposition veut retarder le vote de la loi de Finances rectificative (LFR) avec des arguments faibles, sans fondement solide
La Loi de Finances Rectificative (LFR) 2025, adoptée par l’Assemblée Nationale, ajuste le budget initial pour répondre aux évolutions économiques et politiques du Sénégal.
La Loi de Finances Rectificative (LFR) 2025, adoptée par l’Assemblée Nationale, ajuste le budget initial du Sénégal pour répondre aux défis économiques et politiques actuels.
À l’occasion de la publication des rapports d’exécution budgétaire du quatrième trimestre 2024 et du premier trimestre 2025, le Pr Amath Ndiaye, économiste à la FASEG de l’UCAD
Le Sénégal, à l’instar de beaucoup d’autres pays africains, entretient une relation de longue date avec les institutions financières internationales, notamment la Banque mondiale et le FMI.
Dans l’espace UEMOA, où le financement des États par le biais du marché régional des titres publics s’est renforcé au fil des dernières années, le Sénégal s’impose comme l’un des émetteurs les plus constants et les plus actifs.
Alors que les tensions dans le Golfe Persique notamment autour du détroit d'Ormuz font planer une menace réelle sur la sécurité de l’approvisionnement énergétique mondial, la perspective d’une nouvelle flambée des prix de l’énergie se précise.
Portée comme une réponse à l’exclusion bancaire, la microfinance occupe aujourd’hui une place centrale dans le paysage économique sénégalais.
Un répit pour la France: l'agence de notation américaine S&P n'a pas modifié vendredi la note de la dette française, évaluée à AA- et assortie depuis février d'une perspective négative, ce qui signifie qu'elle pourrait être rétrogradée.
Le Pr Amath Ndiaye, économiste, Professeur à Faculté des Sciences Économiques et de Gestion, décrypte les récents audits des finances publiques sénégalaises, qui révèlent des écarts alarmants dans les chiffres de la dette et du déficit.
Rarement, le monde n’a connu de telles turbulences depuis l’épisode de la deuxième guerre mondiale, qui s’est soldée par la victoire des alliés et que les américains ont su mettre à profit pour prendre le contrôle de l’économie mondiale à travers la création des Institutions de Bretton Woods et la mise en place du Plan dit Marshall.