Le juge des référés du tribunal de Dakar a condamné Eiffage Sénégal Sa à cesser d’occuper un terrain de 3900 m2 situé à Dakar Almadies. La décision a été rendue ce lundi.
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Le juge des référés du tribunal de Dakar a condamné Eiffage Sénégal Sa à cesser d’occuper un terrain de 3900 m2 situé à Dakar Almadies. La décision a été rendue ce lundi.
Le Collectif des entreprises agréées pour le transport et la livraison de conteneurs du Sénégal (CEATLCS) a décidé de ne pas prendre part à la grève annoncée des transporteurs.
Seneweb présente ses excuses à l' Autoroute de l’avenir, aux lecteurs, pour tout désagrément né de ce manquement.
L'incendie qui avait ravagé une partie du Lamantin Beach en 2011 continue de poursuivre les Wade.
Après la victoire de la coalition Bennoo Bokk Yaakaar à l’élection présidentielle du 24 février 2019...
À quoi ressemblera la ligne pilote de Bus Rapid Transit à Dakar ? Son tracé et ses services ?
Le titre foncier 4407/Dg, situé autour du périmètre de l’aéroport, provoque des remous à Ouakam et Ngor. Désaffecté par un décret, il devait servir de lotissement administratif partiel, en vue du recasement des parcelles impactées par les servitudes aéronautiques dans les zones industrielles et commerciales de l’aéroport Lss. A l’arrivée, ce sont de hauts fonctionnaires, des ministres et des privés qui se sont partagé l’espace. C’est cela qui révulse les jeunes de ces villages.
L'affaire Tobago n'est qu'une partie visible de l'iceberg. Une enquête publiée par Le Quotidien, relève une boulimie foncière autour de l'aéroport Léopold Sédar Senghor de Dakar. Les titres fonciers 350 GRD et 4407/DG, désaffectés par un décret, devaient servir de lotissement administratif partiel, en vue du recasement des parcelles aéronautiques dans les zones industrielles et commerciales de l'aéroport de Dakar. Au finish, ce sont de hauts fonctionnaires et des ministres qui se sont partagés les terrains.
Le Sénégal aspire à améliorer sa notation en termes de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme. Pour y parvenir, les autorités devraient redoubler d’efforts. En effet, les résultats des études que la Cellule nationale de traitement des informations financières (Centif) a présentés hier, ont confirmé que l’immobilier, le paiement mobile et électronique constituent des secteurs à hauts risques de blanchiment de capitaux et de financement du terrorisme.
Le représentant résident régional du groupe de la Banque africaine de développement (BAD) au Sénégal, Mamadou Lamine N’Dongo, s’est réjoui mardi à Dakar de l’importance accordée par les autorités du pays à la problématique de la gestion axée sur les résultats de développement (GRD).
La gestion axée sur les résultats de développement (GRD) et l’émergence économique est au cœur d’un atelier qui s’est ouvert mardi à Dakar, à l’initiative du Bureau organisation et méthode de la présidence de la République du Sénégal, a appris l’APS.
Poursuivi pour association de malfaiteurs, escroquerie portant sur des deniers publics et blanchiment d’argent, Aïdara Sylla plaide évidemment non coupable. Pour ses avocats qui ont saisi la Chambre d’accusation pour annuler simplement l’ensemble des inculpations dirigées contre lui, les accusations retenues sont fantaisistes.
Le 20 avril 2012, c'est-à-dire quelques jours après sa prestation de serment, au titre de "déclarant", M. Macky Sall, nouvellement élu président de la République du Sénégal, a énuméré ce qu'il dit être l'ensemble de son patrimoine, conformément aux dispositions de l'article 37 de la Constitution de la république du Sénégal qui, dans un souci de bonne gouvernance, exige de tout chef d'Etat élu une déclaration sur l'honneur de tous ses biens. Lesenegalais.net a parcouru ce document publié dans le Journal officiel de la République du Sénégal.
« Le Pays » au quotidien avait levé le lièvre en évoquant, en exclusivité dans ses colonnes, le divorce du couple Sylva. Nous revenons sur la même affaire, pour vous mettre cette fois au cœur de la décision de justice qui a partagé le riche patrimoine du couple localisé entre les Maristes, Sendou Saly, Ngor, Sébikhotane et Toubab Dialao.
Le Monument de la renaissance qui trône majestueusement sur les collines des Mamelles n’a pas encore fini de faire parler de lui. De sources dignes de foi, les nouvelles autorités ont décidé de faire toute la lumière sur une des plus grandes nébuleuses des douze ans de règne de Wade. Ce dossier est à côté du dernier Festival mondial des arts nègres (Fesman) l’une des affaires les plus obscures qui soient. EnQuête s’est risqué dans les méandres du montage financier de ce «chantier» de Wade, qui dégage un bien lourd parfum de scandale. D’amont en aval, depuis les balbutiements de ce projet qui a mobilisé toute la hargne communicationnelle de l’ancien régime, tout est louche. Et encore, plus grave que tout ce qui a été révélé jusque-là.
Selon les dispositions de l’article 102 de la Constitution : « Les collectivités locales constituent le cadre institutionnel de la participation du citoyen à la gestion des affaires publiques. Elles s’administrent librement par des assemblées élues ». Ces dispositions sont confortées par la loi n°96-06 du 22 mars 1996 portant Code des collectivités locales, notamment par les dispositions de l’article 1er dudit code. 2 – La libre administration des collectivités locales s’exerce sous réserve du respect des lois et règlements de la République :
Baobab Investments est-elle une société qui évolue dans le blanchiment d’argent ? Une équipe de l’Office central pour la répression du trafic des stupéfiants (Ocrtis) l’a, en tout cas, dans son collimateur. Les agents français de renseignements qui viennent de boucler leur séjour à Dakar poursuivent les traces de la société jusqu’en Guinée-Bissau. Et des sources proches de cette équipe révèlent que des informations, qui ont été filées aux autorités sénégalaises sur la boîte, sont à l’origine de l’arrêt des constructions d’hôtels de l’Anoci, suivi de leur mise en vente aux enchères. Des agents des services de renseignement français de l’Office central pour la répression du trafic illicite de stupéfiants (Ocrtis) viennent de mettre à la disposition des autorités sénégalaises un rapport sur le blanchiment d’argent.
Le point de presse organisé hier à Yoff par le Grand Jaraaf de ce village Lébou a été riche en révélations. Babacar Mbaye Nguirane Mbengue, qui lavait son honneur, à la suite d'un article paru dans l'édition du mercredi 24 juin du quotidien 24 heures Chrono, traitant d’une affaire d’escroquerie foncière, dresse une liste de personnalités du pays qui seraient à l'origine de ses ennuis. ’Le Jaraaf de Yoff menacé de plaintes : 980 millions au cœur d'un scandale foncier’. L’information a figuré à la Une du journal 24 heures Chrono, du mercredi 24 juin, sous la plume de son rédacteur en chef, Sambou Biagui.
Monsieur le Président de la République, Les décennies que nous avons passées dans l’opposition restent encore intactes dans nos cœurs et dans nos esprits. Les tentatives avortées de neutralisation, de déstabilisation voire de destruction du Parti Démocratique Sénégalais (P.D.S) avaient en son temps obtenu le soutien sans faille de And-Jëf, sur la base de principes et de valeurs politiques et morales auxquels nous croyions même, si nous avions des lignes idéologiques divergentes.
Qui cherche la petite bête finit toujours par trouver des poux sur la tête d’un chauve. Mme Aïssatou Guèye Diagne est amère. « Il y a 5 ans, Idrissa Seck m’a envoyée en prison dans les conditions rocambolesques que l’ont sait. Puis, on m’a mis en mal avec ma tata Mame Madior Boye, inutilement. Certains magistrats, notamment Mandiogou Ndiaye et Abdoulaye Gaye m’en veulent à mort, et sans raison apparente. Ils se vantent même en privé qu’ils vont encore m’humilier. Mais pourquoi ? Pourquoi ? Ils ont actionné toute la presse contre moi ! », ne cesse-t-elle de se répéter. Quel intérêt dans cette affaire, la presse trouve-t-elle à soupçonner maître Aïssatou Guèye Diagne des pires bassesses que l’on peut reprocher à un notaire ? Il est indéniable, c’est vrai, que l’éthique condamne un notaire qui se vend, à lui-même, les biens meubles ou immeubles d’un client dans le besoin. Mais aller jusqu’à accuser maître Diagne d’avoir «bradé» l’immeuble d’un de ses clients dans la détresse, à son propre profit, est donc une manière particulièrement efficace de discréditer un notaire qui n’a pourtant fait que son travail, et dans les règles de l’art. « Il est midi » a cherché à y voir plus clair. Pour ramener les choses à leur juste proportion afin d’éviter des conclusions hâtives, il faut, à notre sens, remonter cette histoire depuis le début et la dire telle qu’elle s’est passée, sans aucune interprétation. Sans jugement de valeur. Sans parti pris.