Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
La justice doit être rendue est cela va se faire. Telle est la conviction de Me Pape Mamaille Diockou, avocat au barreau de France et président du mouvement Sénégal Nafa. « La justice se rendra quoiqu’il arrive au Sénégal, un pays de droit.
Des centaines de Sénégalais ont manifesté samedi à Dakar malgré la pluie pour réclamer justice contre les crimes commis lors des violences politiques dans le pays entre 2021 et 2024 qui avaient fait des dizaines de morts sous l'ancien pouvoir, ont constaté des journalistes.
Les organisations telles que FRAPP, Vision Citoyenne ; ON2J et Amnesty International manifestent leur soutien aux familles des victimes des événements politiques entre 2012-2024. Elles exigent justice et lumière.
Les victimes des manifestations politiques survenues entre 2021 et 2024, à Ziguinchor, ne savent plus où donner de la tête.
Le ministère de la Justice a répondu favorablement à la requête du membre fondateur de l'Initiative zéro impunité adressée au chef de l’État sur le manque de réactivité de la justice face aux crimes qui ont secoué le pays entre 2021 et 2024.
À Ziguinchor, les anciens détenus des manifestations politiques expriment leur colère face à l’absence de transparence et à l’inéquité dans les modalités d’indemnisation promises par l’État du Sénégal.
Des scènes de violence ayant occasionné plusieurs blessés ont été constatées lors de manifestations politiques à Saint-Louis, le 11 novembre 2024.
L'avocat Reed Brody qualifie de « honteuse » la loi d’amnistie portant sur les faits liés aux manifestations politiques ayant secoué le Sénégal entre février 2021 et février 2024, et adoptée en mars dernier par l’Assemblée nationale où Macky Sall, initiateur du projet de loi, dispose d’une majorité mécanique. L’avocat américain, qui a fait de la défense des victimes des régimes dictatoriaux son cheval de bataille, s’est prononcé sur le cas du Sénégal.
De 2021 à 2023, plusieurs manifestations politiques ont eu lieu à Dakar et environs, dont certaines pour soutenir Ousmane Sonko.
A la veille du vote du projet de loi portant amnistie générale sur les faits liés aux manifestations politiques, le bracelet électronique d'El Malick Ndiaye de l’ex-pastef a été enlevé.
Le département de Bignona a payé un lourd tribut des manifestations sociopolitiques survenues entre 2021 et 2024.
Lors du dialogue national, Macky Sall a annoncé qu'il va proposer une loi d'amnistie générale pour les faits politiques liés aux manifestations. Une loi qui fait déjà polémique et qui divise les différents acteurs politiques, tout comme les détenus "politiques" censés en bénéficier.
Dans son discours prononcé, lundi 26 février 2024, à l’occasion du lancement du dialogue national à Diamniadio, le président de la République, Macky Sall a affirmé que « dans un esprit de réconciliation nationale », il va saisir « l’Assemblée nationale d'un projet de loi d'Amnistie générale sur des faits se rapportant aux manifestations politiques survenues entre 2021 et 2024 ».
Dans une déclaration commune, la première du genre, les anciens chefs d’État sénégalais Abdou Diouf et Abdoulaye Wade, se prononçant sur la situation du pays, ont appelé les Sénégalais, particulièrement les jeunes à arrêter les manifestations et les acteurs politiques au dialogue.
Ces deux personnalités ont appelé les Sénégalais, particulièrement les jeunes à arrêter les manifestations et les acteurs politiques au dialogue.
Récemment, le khalife des mourides, Serigne Mountakha Mbacké, a décrété l'interdiction des manifestations politiques dans le périmètre de Touba
La rentrée des classes pour les élèves est effective ce 5 octobre. À Ziguinchor, la majorité des écoles sont prêtes, à l'exception de quelque sept établissements qui ont subi la furie des dernières manifestations politiques dans la commune.
La plateforme de lutte des forces vives de la nation F24 compte renouer avec les manifestations politiques, le vendredi 8 septembre 2023.
Victimes de plusieurs saccages lors des manifestations politiques de mars 2021 et juin 2023
En juin dernier, 79 guinéens ont été expulsés du Sénégal. Ces infortunés auraient participé à des manifestations politiques.