L’horreur à Milan. Ce mardi 14 octobre, Pamela Genini, mannequin italien de 29 ans, a été assassinée par son ex-petit ami sur son propre balcon, sous les yeux de ses voisins.
💡 Bon à savoir
Cette interface de recherche vous permet d'explorer toutes les archives d'actualités du Sénégal, de 2006 jusqu'à aujourd'hui. Profitez de notre base de données complète pour retrouver les événements marquants de ces dernières années.
L’horreur à Milan. Ce mardi 14 octobre, Pamela Genini, mannequin italien de 29 ans, a été assassinée par son ex-petit ami sur son propre balcon, sous les yeux de ses voisins.
Cancer du sein : cette nouvelle chirurgie révolutionnaire permet de retirer la tumeur et de reconstituer la poitrine en seul jour
A Abidjan, un centre d'accueil pour sortir de la drogue et des "fumoirs"
A Abidjan, un centre d'accueil pour sortir de la drogue et des "fumoirs" Dans un quartier cossu d'Abidjan, il faut emprunter une petite porte discrète pour accéder au Centre d'accueil, de soins et d'accompagnement (CASA), où se retrouvent des usagers de drogues, particulièrement vulnérables et marginalisés en Côte d'Ivoire. Ce pays côtier de l'Afrique de l'Ouest est devenu ces dernières années un pays de transit du trafic international d'héroïne, de cocaïne ou de médicaments dont l'usage est détourné. Et s'il existe peu de données officielles sur la consommation, le docteur Fériole Zahoui, addictologue au CASA estime "entre 30.000 et 40.000 le nombre d'usagers de drogue à Abidjan", trois à quatre fois plus qu'il y a dix ans. Grâce au bouche à oreille, le centre, ouvert en 2018, s'est fait peu à peu connaître et accueille maintenant quotidiennement une vingtaine d'usagers qui viennent se reposer, se laver, mais aussi bénéficier d'un accompagnement social, médical et psychologique adapté, gratuit. Car la Côte d'Ivoire n'a pas choisi la voie du tout répressif contre les usagers de drogue: une loi de 2022 a réduit les peines pour les consommateurs, de 1 à 3 mois de prison au lieu de 1 à 5 ans auparavant. En fin de matinée, le calme règne dans la salle de repos du CASA: certains somnolent, d’autres bavardent ou regardent la télévision. En poussant les portes, on trouve une pharmacie, un laboratoire dédié au dépistage, des salles de consultation, une infirmerie… Un véritable centre médical en circuit fermé aux allures de foyer chaleureux, discret pour ne pas déranger les riverains. Pour beaucoup, le CASA est avant tout une maison, et sa communauté une famille sur laquelle compter quand l’addiction a tout emporté. Auprès de sa compagne endormie au sol, Hassan Mohana raconte à l'AFP qu'il vient tous les jours prendre son traitement de méthadone, substitut de l'héroïne, mais également se reposer et se doucher avant de commencer son travail de nuit. "Ça m'a permis de me retrouver, de garder un travail, de me réinsérer dans la société", explique l'homme de 40 ans, qui fréquente le CASA depuis son ouverture. L'héroïne et le "Kadhafi", mélange de tramadol et d'alcool, populaire par son prix bas (moins d'un euro la dose), sont les principales drogues consommées par les usagers qui fréquentent le centre. Le CASA distribue de la méthadone, un substitut qui a permis à Mamadou Touré de connaître "une deuxième naissance", en arrêtant l'héroïne consommée depuis l'adolescence. "Pendant des années, j'alternais entre le fumoir et la prison", témoigne l'homme de 47 ans. Aujourd'hui, il dit avoir trouvé un sens à sa vie: il est devenu éducateur pair au centre, un référent qui aide les usagers à s'en sortir à leur tour. - "Comme des chiens" - Sa fille de neuf mois endormie contre sa poitrine, Massita Konaté se rappelle l'enfer des fumoirs, où elle a vécu pendant des années. "Les gens y meurent comme des chiens, personne ne vient les chercher", témoigne la jeune maman, dont les avant-bras portent les stigmates des injections d'héroïne. A 35 ans, Massita aussi est sous méthadone. Si elle a retrouvé un appartement, elle continue de passer ses journées au CASA pour "être avec des gens qui (la) comprennent". Le CASA ne peut accueillir tous les consommateurs: alors, des maraudes sont menées dans des fumoirs, aussi appelés ghettos. Dans ces abris de fortune, les usagers fument du crack, du cannabis, s'injectent de l'héroïne, et essayent de survivre. Un bon accueil est réservé aux visages familiers des bénévoles et employés de CASA, venus faire de la prévention, distribuer des préservatifs ou des seringues à usage unique. "On n'a pas la force, on est faibles. Mais avec de l'aide, on peut changer, et travailler", assure David Junior, 34 ans. "Beaucoup de personnes malades au fumoir n'osent pas venir au CASA", explique Anicet Tagnon, responsable des activités communautaires. "C'est donc le centre qui se déplace vers eux", poursuit-il. "Il y a un fort enjeu d'information. Certains ne savent même pas qu'ils pourraient avoir accès à de la méthadone", appuie le Dr Fériole Zahoui. Depuis son ouverture, sous l'impulsion de Médecins du Monde et géré par l'ONG Espace Confiance, le CASA estime avoir accompagné plus de 3.000 personnes. Son fonctionnement annuel coûte environ 218.000 euros, financés en grande partie par l'agence de coopération Expertise France.
Paris : un homme maîtrisé par des passants après avoir tenté de violer une femme de 67 ans en pleine rue
Couturière tuée à Ngaparou : sa famille brise le silence
Couturière tuée à Ngaparou : le corps remis à la famille
Charlie Kirk : L’homme qui a faussement affirmé l’avoir tué, dans une situation délicate
Cardiologie interventionnelle : Une coopération franco-sénégalaise pour traiter des patients à haut risque
Niague, dans le département de Rufisque, a vécu, dans la nuit du dimanche 7 septembre vers 5 h, une tentative de vol qui a viré à la mort de l'un des deux agresseurs et à l'interpellation du motocycliste qui s'était défendu.
La face cachée d’une institution française. Dans son livre 'Miss France, du rêve à la réalité', Hubert Guérin, dernier collaborateur de Geneviève de Fontenay, fait des révélations fracassantes sur le célèbre concours de beauté.
L’ancien président américain, âgé de 82 ans, a récemment subi une opération chirurgicale pour retirer des cellules cancéreuses de sa peau.
Deux sites sur lesquels les internautes s'échangeaient photos volées et « deepfakes » de figures de la politique italienne et d'anonymes ont fermé.
Tout a été dit sur Cheikh Ahmadou Bamba Mbacké, Khadimou Rassoul, un saint d’exception. Mais on ne se lasse pas de le redire.
Le championnat populaire des Navétanes a sombré dans l’horreur, ce dimanche 10 août 2025, à Orkadiéré, où un jeune supporter a été poignardé à mort par un adolescent.
Le commissariat d’arrondissement de Zac Mbao a interpellé un individu, le 5 août 2025, pour tentative de meurtre, en plus d'une incapacité temporaire de travail (ITT) de 15 jours pour la victime et détention de produits cellulosiques.
La traversée de l’horreur : Huit personnes, dont un bébé, assassinées dans une pirogue partie de Bassoul (Fatick), sept arrestations
Babacar Diagne, tué à l'issue du combat de lutte opposant dimanche Ama Baldé à Franc, a été inhumé ce mardi au cimetière de Pikine
Dans la nuit bien avancée, un silence lourd et empreint d'inquiétude s'empare de la foule lorsque le jeune maître voyant Adama Gackou prédit dans une transe un avenir agité pour le Sénégal et de violentes manifestations, lors d'une cérémonie de divination sérère annuelle dans le centre du pays.
Le tireur à l’origine d’une fusillade lundi soir à Manhattan (États-Unis), qui a entraîné la mort de quatre personnes, aurait visé la ligue de football américain (NFL) qu’il tenait responsable du développement d’une encéphalopathie traumatique chronique (ECT), selon les informations avancées par le maire de New York.