Sénégal : la nécessité d’une évaluation plus nuancée des risques souverains
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Sénégal : la nécessité d’une évaluation plus nuancée des risques souverains
Le prix d'achat du cacao aux planteurs de Côte d'Ivoire, premier producteur mondial, a été fixé à 2.800 francs CFA (soit 4,26 euros) le kilo pour la récolte principale, un montant record alors que les cours mondiaux sont élevés, a annoncé le président ivoirien Alassane Ouattara mercredi.
L’activité économique du Sénégal a enregistré un léger ralentissement au deuxième trimestre de 2025, avec une progression de 0,3% du Produit intérieur brut (Pib) réel corrigé des variations saisonnières (Cvs), selon la dernière note de conjoncture publiée par l’Agence nationale de la statistique et de la démographie (Ansd), sur site officiel.
Selon la Note sur les comptes régionaux du Sénégal, publiée ce mercredi par l’Agence nationale de la statistique et de la démographie (ANSD), la région de Dakar domine l’économie nationale, représentant 46 % du Produit intérieur brut (PIB) avec 8 567,7 milliards de FCFA.
Taux directeur maintenu à 3,25 % : Ce que cela signifie pour l’économie de l’UEMOA
Sous l’œil vigilant du Fonds monétaire international, l’affaire de la dette cachée propulse le Sénégal dans une zone grise où se croisent finance, politique et justice
Selon les dernières données de l’Agence nationale de la statistique et de la démographie, le Produit intérieur brut du Sénégal au premier trimestre 2025 s’établit à 4 206,32 milliards de F CFA. Ce niveau illustre la vigueur de l’activité économique dans un contexte inédit, marqué par les premiers effets de l’exploitation pétrolière et gazière.
Sur les eaux calmes du lac de Guiers, Diokhor île vit entre abondance agricole et pénuries vitales.
Ces derniers jours, deux agences internationales, S&P et Moody’s, ont abaissé la note souveraine du Sénégal, passant respectivement de « B+ » à « B » et de « B1 » à « B3 », avec des perspectives dites « négatives ».
Cheikh Oumar Diagne: « Il faut punir sévèrement Macky Sall, ses ministres et ses DG»
Dans une note adressée à Seneweb, Thierno Bocoum, président du mouvement AGIR-Les Leaders, s’est exprimé sur les chiffres de l’Agence nationale de la statistique et de la démographie (ANSD) pour 2024, soulignant la progression des exportations.
Pour un secteur qui contribue entre 6,5%, et 7,85% du Produit intérieur brut (PIB), le tourisme au Sénégal n’est pas encore vraiment mis sur pied.
Face à une crise persistante de confiance des marchés et à la dégradation récente de sa note souveraine, le Sénégal a lancé en juillet 2025 une révision de la base de calcul de son produit intérieur brut (PIB).
De mal en pis. S&P Global Ratings vient d’abaisser la note de crédit à long terme du pays, tant en devises étrangères qu’en monnaie locale. La donnée passe de B à B-. L’agence conserve par ailleurs une perspective négative.
Impacté par le déficit budgétaire, le secteur privé du BTP a enregistré 10 000 pertes d’emplois.
Un récent rapport de la banque britannique Barclays a provoqué une vive controverse en évaluant la dette publique du Sénégal à 119 % du produit intérieur brut (PIB) pour l’année 2024
Alors que le Sénégal fait face à une chute de ses obligations en dollars sur les marchés internationaux en 2025, et avec un ratio de dette publique approchant les 100 % du PIB – aggravé par un rapport de Barclays situant ce taux à 119 % en 2024 – l’inquiétude grandit parmi les experts économiques. Dans cet entretien accordé à Seneweb ce 1er juillet, Moubarack Lô, analyste économique, décrypte les enjeux et propose des pistes pour surmonter cette crise.
L'Afrique doit prendre en charge son développement par le commerce et les investissements, a déclaré jeudi un haut responsable de l'Organisation mondiale du commerce (OMC), avertissant que l'augmentation des budgets de défense dans les pays donateurs réduira l'aide encore davantage.
Invité de l’émission Seneweb Éco, l’économiste Serigne Mbacké Sougou a regretté le manque de vision stratégique du Sénégal en matière d’intégration régionale.
Longtemps centré sur la promotion du balnéaire, le tourisme sénégalais s’oriente progressivement vers une approche plus durable, soucieuse de préserver les écosystèmes, de valoriser les patrimoines culturels et d’ancrer l’activité économique dans les territoires.