Après les élections législatives du 30 juillet 2017, le Réseau des observateurs citoyens du Sénégal (Resocit) a fait face à la presse, ce mardi 1er août, à Dakar, pour partager ses observations sur le déroulement du scrutin.
💡 Bon à savoir
Cette interface de recherche vous permet d'explorer toutes les archives d'actualités du Sénégal, de 2006 jusqu'à aujourd'hui. Profitez de notre base de données complète pour retrouver les événements marquants de ces dernières années.
Après les élections législatives du 30 juillet 2017, le Réseau des observateurs citoyens du Sénégal (Resocit) a fait face à la presse, ce mardi 1er août, à Dakar, pour partager ses observations sur le déroulement du scrutin.
Le réseau des observateurs citoyens du Sénégal (Resocit) a organisé une conférence de presse ce mardi pour rendre compte de ce qu'il a pu constater lors du referendum du 20 mars passé. Le resocit souligne que les conditions optimales d’une observation classique et efficace n’étaient pas réunies. Ce qui l'a poussé à se contenter d'une «observation à minima».
Seneweb News a pu se procurer les images de la rencontre entre le président américain, Barack Obama, en visite au Sénégal, et des personnalités de la société civile sénégalaise. Ces photos sont la propriété exclusive de la Maison blanche. On peut y apercevoir, pêle-mêle, le Pr Babacar Guèye, Mouhamadou Mbodj, coordonnateur du Forum civil, Moundiaye Cissé, coordonnateur d'Enda 3G, Mazide Ndiaye, président du Radi, Fadel Barro de Y en a Marre, pour ne citer que ceux-là. La rencontre s'est déroulée au Gorée institute à l'initiative du Resocit, le Réseau des Observateurs citoyens, élargi à d'autres personnalités de la société civile.
L’évolution et la complexité des systèmes électoraux devraient pousser les acteurs à envisager les réformes appropriées dans le but de s’adapter aux nouvelles exigences démocratiques. C’est ainsi que, ces deux dernières décennies, le Sénégal a mené plusieurs réformes sur son système électoral en vue de le rendre plus performant. Or, la maîtrise des processus électoraux procède de la pleine implication et participation des divers acteurs. Dès lors, l’institution d’un cadre permanent de concertation, de dialogue et de suivi du processus électoral demeure un préalable indispensable pour identifier les forces et faiblesses du système, corriger les lacunes, rassurer les acteurs et engager l’organisation d’élections transparentes, régulières et apaisées.
Sur invitation de l’USAID et de la Maison Blanche, Le Réseau des observateurs citoyens (RESOCIT) élargi à d’autres personnalités de la société civile sénégalaise a rencontré ce jeudi 27 juin 2013, entre 16h et 17H00, à Gorée Institute, Le Président des Etats-Unis, Son Excellence Barack Hussein OBAMA à l’occasion de sa visite au Sénégal.
La visite du président américain Barack Obama occupe déjà une grande partie des quotidiens parvenus mardi à l'APS, à 24 heures de l'arrivée du locataire de la maison Blanche, attendu mercredi soir à Dakar."Les Etats –Unis prennent le contrôle du Sénégal", selon L’Observateur.
L’ancienne ministre de la Santé sous le magistère du président Diouf a une nouvelle vision dans la pratique de la politique au Sénégal. Dans une interview qu’elle nous a accordé, Aminata Ndioro Ndiaye estime que les partis politiques ne peuvent plus fonctionner comme avant.
Faire une évaluation globale du processus des élections présidentielle et législatives de 2012 afin de renforcer les acquis et réfléchir en perspective des élections locales prévues en mars 2014, tel est l’objectif du Réseau des Observateurs Citoyens (RESOCIT) qui avec l’implication des organisations de la Société civile dans le processus électoral sénégalais, a ouvert ce jeudi 25 avril un atelier d’évaluation qui sera clos ce vendredi 26.
Les partis-prenantes de l’observation des élections présidentielles et législatives à travers le Resocit, ont organisé ce mardi 30 octobre un atelier de capitalisation des activités dans les locaux de Gorée Institute. Une occasion pour les différents acteurs de saluer le rôle joué par Gorée Institute dans l’observation des élections au Sénégal. Le directeur exécutif de Gorée Institute d'expliquer:
L’Union africaine (UA), la Plateforme de veille des femmes pour des élections apaisées au Sénégal, le Réseau des observateurs citoyens (RESOCIT) et Gorée Institute ont exprimé à l’unanimité leur satisfaction pour les élections législatives libres et transparentes qui se sont tenues au Sénégal le 1er juillet 2012 malgré une participation citoyenne très faible. Lors d’une conférence de presse sanctionnant la tenue des élections législatives, le chef de la Mission de l’UA, M. Olusegun Obasanjo a appelé les autorités sénégalaises à prendre les mesures idoines afin d’assurer à l’avenir une meilleure participation et une plus grande implication citoyenne. En effet, les résultats préliminaires annoncent un taux de participation d’environ 33%, le plus faible de toute l’histoire électorale du Sénégal.
Sénégalais, Sénégalaises, mes chers compatriotes En ce 25 mars 2012, après la journée mémorable du 26 février le peuple sénégalais s’est exprimé dans les urnes. A l’intérieur de nos frontières comme à l’étranger, les électeurs ont voté dans le calme et la sérénité.
Le candidat Macky Sall, sorti vainqueur du second tour de l’élection présidentielle de dimanche au Sénégal, compte engager "rapidement" le "redressement" du pays suivant le désir de ses compatriotes.
La Plateforme du Réseau des observateurs citoyens (Resocit) compte déployer plus de 4.500 observateurs pour le scrutin de dimanche, ont annoncé ses membres en conférence de presse, jeudi.’’Au premier tour déjà, ce déploiement du personnel d’observation a été précédé de rencontres avec les plénipotentiaires des candidats et les responsables chargés de l’organisation des élections notamment le ministre des Elections, le président de la CENA (Commission électorale nationale autonome), la présidente du CNRA (Conseil national de régulation de l’audiovisuel)’’, a rappelé Amadou Ciré Sall, chef de la mission d’observation.
Le projet Falaade Fitinaaji, initié par le Resocit en collaboration avec Gorée Institute, Cosce, Ifse et Osiwa, vient de publier, ce mardi20 mars, le rapport d’analyse sur la violence électorale au Sénégal dans la période du 16 au 25 février 2012, c'est-à-dire la dernière semaine de campagne du premier tour de la présidentielle. Dans ce rapport, les moniteurs de la violence ont noté une recrudescence de la violence pendant cette période.
Le Réseau des Observateurs citoyens (Resocit), qui présentait, ce mardi 28 février, son bilan de l’élection présidentielle du 26 février 2012, a noté des dysfonctionnements dans le déroulement du scrutin. D’après le chef de la mission du Resocit, « l’élection présidentielle du 26 février 2012 apparait à bien des égards comme une étape essentielle dans le renforcement de la démocratie au Sénégal au regard du contexte dans lequel elle s’est déroulée ». Les observateurs notent entre autres dysfonctionnements « les violences qui ont émaillé la campagne électorale et qui se sont soldées par des pertes en vies humaines.
Quelques retards au démarrage dans certains bureaux de vote, un sentiment de calme prédominant malgré les inquiétudes liées à l'incertitude du résultat, une participation probablement moins forte qu'en 2007 et les images du président Wade qui vote à Dakar. Les bureaux de vote ont fermé à 18 heures (Dakar).
La mission d’observation électorale du Réseau des Observateurs citoyens (Resocit), qui observe le scrutin du 26 février prochain, compte installer son quartier général ou « Situation Room » à partir de ce vendredi 24 février dans un hôtel de la place. Selon le chef de la mission d’observation, le travail du réseau s’articule sur cinq composantes, à savoir : « l’observation à long terme et monitoring des médias, le monitoring de la violence électorale (Fallade Fitinaaji), la sensibilisation des électeurs, la remontée des résultats en temps réel, mais également une « situation room » qui consiste à filtrer des infos et à avertir à temps réel l’autorité compétente sur d’éventuelles imperfections du scrutin ».
La mission d’observation électorale du Réseau des Observateurs citoyens (Resocit), qui observe le scrutin du 26 février prochain, compte installer son quartier général ou « Situation Room » à partir de ce vendredi 24 février dans un hôtel de la place.
L’institution Gorée Institute en collaboration avec l’Union Européenne et le Réseau des journalistes pour les élections(RJE), ont organisé les 6,7 et 8 février à Gorée un séminaire de formation sur le Monitoring des Médias. Ce programme qui s’inscrit dans le cadre du projet d’Observation des Élections présidentielles de 26 février 2012, est une initiative du Réseau des Observateurs citoyens (Resocit). Selon M Doudou Dia un des formateurs, « dans l’observation, il y a une partie qui s’appelle Monitoring. Il y a deux types de monitoring, le monitoring des violences et le monitoring des Médias dans les élections. Il s’agit pour les journalistes analystes de collecter et d’analyser le traitement des données liées à l’accès aux médias des acteurs politiques, des candidats et non candidats affiliés à des partis politiques. Dans le cas d’espèce, il est utilisé les types de médias que sont la Radio, la Télévision et la Presse Écrite», explique-t-il. Le monitoring des médias vise à l’observation de certains nombre d’aspects liés au déroulement des élections, tels que l’impartialité, l’équité, l’exactitude et l’efficacité de la couverture médiatique des élections. De l’avis des formateurs, le choix des journalistes comme cibles, s’explique par leur corporation et leur proximité avec l’information.
Pour des élections calmes, un réseau arment des journalistes antiviolence électorale. Le Rje collecte et traite des informations à propos des zones de tension. Ses résultats sont destinés aux services de sécurité nationale en priorité. L’éventualité de voir le Sénégal sombrer dans des violences électorales en 2012 est à prendre au sérieux. C’est en tout cas l’avis de Ndèye Fatou Niang, présidente du Réseau des journalistes pour les élections (Rje), précédemment journaliste à Sud Fm.