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Un vent d’instabilité souffle sur les établissements scolaires de la commune de Sédhiou.
Le climat reste tendu dans plusieurs universités publiques du Sénégal, marqué par des mouvements de grève et des manifestations d’étudiants.
Crise universitaire : L’APR interpelle l’État et exige le paiement immédiat des bourses
El Hadji Malick Youm, secrétaire général national du Syndicat autonome des enseignants du moyen secondaire (SAEMS), s’est exprimé, ce week-end sur la situation tendue qui prévaut au Lycée Babacar Cobar Ndao de Kaffrine.
Réuni ce mardi 13 mai 2025, le Conseil académique de l’Université Alioune Diop de Bambey a examiné la situation universitaire suite au mouvement d’humeur des étudiants, initié le 18 avril 2025, pour des revendications sociales, pédagogiques et infrastructurelles.
David Célestin Faye : ”Les enseignants ne seront pas responsables si l’année universitaire est compromise”
Dr Abdourahman Diouf, Ministre de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, a pris la parole pour clarifier les positions du gouvernement et rappeler les principes de stabilité et de responsabilité qui...
C'est la grogne à l’université numérique Cheikh Hamidou Kane. Après cinq mois de retard de paiement des bourses académiques, les étudiants de l’ENO de Dakar montent au créneau.
Le président Macky Sall se montre impatient quant au délai d’exécution des chantiers des universités.
La coordination Saes du campus de Dakar n’est pas satisfaite du ministre de l’Enseignement supérieur, Cheikh Oumar Anne...
Le ministre de l’Enseignement supérieur, interpelé sur la question, approuve les mesures prises.
Paralysie des cours dans les établissements publics de la commune de Kolda ce mercredi.
Des affrontements entre étudiants et policiers font 5 blessés graves
Le Syndicat autonome des enseignants du supérieur (Saes), dont les 48 h de grève expirent aujourd’hui, ambitionne de mobiliser plus de 10 mille enseignants dans la rue pour pousser le gouvernement à respecter et à matérialiser les accords qu’il a signés avec ledit syndicat le 16 mars 2015. Yankhoba Seydi, coordonnateur du Saes de l’université de Dakar, salue la réussite de ce mouvement.
Les potaches du lycée de Bouna Kane ont investi hier la rue pour réclamer de l’électricité, de l’eau, des professeurs et des tables-bancs. Ils ont décrété une grève de 72 heures renouvelables, au terme de leur assemblée générale.
Le Conseil des Ministres s’est réuni, le jeudi 22 mai 2014, au palais de la République, sous la présidence du Chef de l’Etat, son Excellence, Monsieur Macky SALL.
Le Conseil des Ministres délocalisé, en sa huitième session, s’est réuni le jeudi 25 avril 2013, à l’hôtel de ville de Tambacounda, sous la présidence du Chef de l’Etat, son Excellence Monsieur Macky SALL.
El hadji Songué Diouf, professeur de philosophie et membre de la structure des cadres de Fekke Maci Bolé est un acteur pédagogique qui a à la fois le recul et l’acuité intellectuelle nécessaires pour comprendre et partager la compréhension du monde politique complètement fou dans lequel nous vivons.
« L’islam intervient comme une variable des Républiques musulmanes sans en constituer le facteur explicatif. Du point de vue de l’analyse politique, il n’existe d’ailleurs pas en tant que catégorie, bien que nous rencontrions sans conteste des musulmans. Là, comme ailleurs, l’interprétation culturaliste embrouille ce qu’elle prétend éclairer : la dimension culturelle de l’action politique. » (Jean François Bayart, in L’islam républicain, Editions Albin Michel, 2010).Cette remarque d’ordre méthodologique semble ne pas préoccuper la plupart des chercheurs ou analystes de « l’islam politique ». L’obstacle est quasi insurmontable chez les professionnels de la politique ou les journalistes. D’où l’interrogation rhétorique du politiste français : « Pourquoi douter de la compatibilité de l’islam avec la République quand des centaines de millions de musulmans vivent d’ores et déjà en République, plutôt qu’en monarchie ou en théocratie ? »
Aprés avoir déroulé la semaine dernière une grève de 48 heures qui n'aura servi à rien , les lycéens de la commune de Mbacké ont appuyé sur l'accélérateur ce mercredi pour amener les autorités académiques à vite satisfaire leurs revendications .Une grève de 72 heures a été décrétée afin de se voir attribuer dans les plus brefs délais des professeurs de philosophie. Le mouvement d'humeur est , en fait , déclenché par les élèves de terminale , pour qui, la matière constitue un casse tête insoluble lors des évaluations de fin d'année . Interrogé, leur porte-parole affirmera que leurs doléances datent depuis le début de l'année scolaire.
