PALAYE : LE MEURTRIER À SANG-FROID QUI A TERRORISÉ DAKAR
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PALAYE : LE MEURTRIER À SANG-FROID QUI A TERRORISÉ DAKAR
La dame A.D a frôlé la mort dans son domicile conjugal...
Ne laissez pas la République être sacrifiée sur l’autel de la démocratie
Certains l'ont connue récemment, suite à sa plainte contre le rappeur Khalifa
Arrêté en 2016, pour meurtre et actes de barbarie sur un agent de la Sonatel à Ziguinchor, Amadou Diallo avait été placé sous...
"Le plus important dans la lutte antiterrorisme, c'est le citoyen. Il constitue un maillon très fort dans la lutte contre le terrorisme", a déclaré le professeur Horchani Ferhat de la Faculté de droit et des sciences politiques de Tunis.
A tous points de vue, les écrits sataniques de Madiambal Diagne appelant à une troisième opération Fodé Kaba, comme l’appel de Babacar Justin Ndiaye à trouver d’autres moyens plus radicaux pour parvenir à plier Yaya Jammeh....
Cher M. Barry, C'est avec un cœur plein d'émotion que j'ai lu la lettre intitulée "RECIT DE VOYAGE : UN GUINEEN RENTRE DU SENEGAL ET TEMOIGNE"que vous avez adressé au peuple
La Sénégalaise Oulimatou Dione Diakhité est contrôleuse aérienne à l'aéroport international Léopold-Sedar-Senghor de Dakar. Découverte d'un quotidien exigeant, "où l'erreur est strictement interdite".
Une querelle de famille a failli virer à un double meurtre au quartier Thiaroye Kao en banlieue de Dakar. Un drogué doublé de «déficient» mental a tenté d’égorger avec un couteau ses parents. Celui-ci a débarqué chez ses géniteurs avec la ferme volonté de leur ôter la vie avec son arme blanche. Mais il a été maîtrisé et désarmé à temps par les voisins. Qui ont pris en filature le garçon qui marchait à pas pressés dans la rue et tenait son couteau bien visible à la main.
Une dame âgée de 62 ans a fait coffrer son polisson de fils. Celui-ci faisait vivre le martyr à sa vieille mère dans la maison et lui faisait subir des exactions et autres menaces de mort.
Au pouvoir depuis 1996, Yaya Jammeh dirige la Gambie en maître absolu et d’une main de fer. Il ne supporte ni critique des opposants, a fortiori la presse. Jammeh n’en n’a cure de la liberté d’expression ni des droits de l’homme. Le jour de la fête de l’Aïd-el fitr, il a annoncé à la ville et au monde l’exécution, en mi-septembre, de 47 condamnés à morts. Mais ce n’est pas une première. Une liste de ses quelques victimes circule sur la toile.
Les quotidiens s’intéressent vendredi en priorité à la question de l’insécurité, grandissante dans certains quartiers de Dakar, un sujet qui s'est imposé de lui-même, à la faveur de meurtres perpétrés ces derniers jours dans la capitale sénégalaise. La presse s’était émue en milieu de semaine de meurtres commis dernièrement dans la capitale, notamment au Point E, plus récemment aux HLM patte d’Oie
Depuis la proclamation de la liste de 25 ministres du gouvernement d’Abdoul Mbaye nommé premier ministre par le président Macky Sall, un seul ministre retient l’attention de tous : Youssou Ndour. Si d’aucuns saluent cette nomination et souhaitent une belle réussite au roi du Mbalax (désormais ministre de la Culture et du Tourisme), d’autres se distinguent par leurs attaques virulentes contre l’enfant de la Médina.
* Abdou Salam Sall, Recteur : «Ou on est tous en sécurité à l’Ucad ou je m’en vais»Un palier de plus a été franchi dans l’escalade de la violence qui sévit de manière quasi endémique à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar où elle a trouvé un terrain fertile à travers les amicales et les associations communautaires de toute sorte. En effet, le Rectorat a été saccagé et le personnel terrorisé par une poignée d’étudiants qui se sentent écartés de la gestion des ‘bourses sociales’.
Abdoulaye Wade nous avait habitués aux promesses jamais tenues, aux engagements sans lendemain. Mais l’année 2009 s’annonçait différente. Du président de la République, nous pensions qu’il avait enfin renoncé à se prendre pour un immortel. Son discours réaliste était celui d’un repenti, conscient de tout le mal qu’il avait fait, déterminé à ne plus se laisser tenter. Quand quelqu’un vous parle de lui-même avec autant de franchise, vous vous dites que tout ce qu’il dit par la suite est empreint de la même sincérité. Ensuite arrivent les promesses : la baisse des prix des denrées, l’engagement ferme de payer la totalité de la dette intérieure. Abdoulaye Wade, rappelez-vous, avait poussé la comédie jusqu’à déclarer, dans un latin frelaté, que l’erreur est humaine. Nous avons dit quel courage ! Il avait ajouté que persister dans l’erreur était du ressort du diable.
Hier chantre de la démocratie, Me Abdoulaye Wade s’est illustré au pouvoir comme un anti-démocrate. Samedi dernier, il a porté un nouveau coup à la démocratie en faisant réprimer, violemment, la marche de protestation de l’opposition. L’image d’Ousmane Tanor Dieng, chef du Parti socialiste sénégalais, en train d’être brutalisé comme un vulgaire bandit par la police, au cours de cette marche est choquante. L’ex-Premier ministre Moustapha Niasse saisi aux collets, traîné sur plusieurs mètres et jeté dans une fourgonnette de la police, constitue une atteinte grave à la dignité humaine.
Une vieille maman, âgée d’un peu plus de quatre-vingts ans, a conduit son fils drogué à la barre. Ne pouvant plus supporter ses menaces et les vols qu’il opère dans la maison, la famille de ce fils indigne, ne veut plus vivre dans le même toit que lui. Le procureur, sensible à la requête de la vielle dame, a demandé l’isolement du jeune garçon dans les geôles de Rebeuss pendant deux ans.