Une nouvelle accusation a été portée contre Ousmane Sonko depuis l’hémicycle de l’Assemblée nationale par le député de Benno Bokk Yaakaar, Matar Diop.
💡 Bon à savoir
Cette interface de recherche vous permet d'explorer toutes les archives d'actualités du Sénégal, de 2006 jusqu'à aujourd'hui. Profitez de notre base de données complète pour retrouver les événements marquants de ces dernières années.
Une nouvelle accusation a été portée contre Ousmane Sonko depuis l’hémicycle de l’Assemblée nationale par le député de Benno Bokk Yaakaar, Matar Diop.
Ndeketeyo, il y avait pire que la frustration et le refoulement, l’irresponsabilité, l’amateurisme, le dilettantisme, l’inculture démocratique et politique comme mode de fonctionnement des nouvelles forces antirépublicaines.
Cette créature de la mythologie grecque est l'homme qui s'est posé des ailes qui lui ont permis de voler très haut.
Un ancien étudiant de l'Université de Médine
Une nouvelle accusation a été portée contre Ousmane Sonko depuis l’hémicycle de l’Assemblée nationale par le député de Benno Bokk Yaakaar, Matar Diop.
Les excuses de M. Ayed al-Qarni au nom de ses collègues du renouveau religieux et sa reconnaissance de l’immense préjudice
L’imam Moussa Samb de la Grande mosquée de Dakar, connu pour ses sermons polémiques dans lesquels il défend le chef de l'Etat Macky Sall, a fait parler de lui, encore une fois. Lors de la célébration de la korité, ce lundi, a sermonné la communauté ibadoue qui souvent s’aligne sur la Mecque à l’occasion des grandes fêtes de l’aid. «Le problème maintenant dans ce pays, ce sont les ibadous qui veulent semer le désordre.
L'Arabie saoudite repose sur trois piliers : la famille Al-Saoud, sa dynastie fondatrice ; le pétrole, garant de sa richesse ; et le wahhabisme, un courant puritain et rigoriste de l'islam sunnite. C'est en respectant scrupuleusement le rite wahhabite qu'a été enterré le roi Abdallah Ben Abdel Aziz Al-Saoud, vendredi 23 janvier, à Riyad, juste après la grande prière.
Mieux que tout autre dirigeant d'organisation de l'ombre ou hors-la-loi, Oussama Ben Laden maîtrisait l'art de la guerre des nerfs et du message subliminal. Quand des rumeurs circulaient sur son état de santé défaillant, dans les présumés montagnes perdues de la zone tribale pakistanaise, voire sur son décès, il se faisait entendre, pour délivrer, sur un ton monocorde et bas, un message, souvent adressé à des destinataires bien précis – "nos voisins du nord de la Méditerranée" [les Européens], ou encore les "Américains".
Si l’Etat s’empresse de satisfaire le moindre des désirs des religieux, c’est parce que, de l’avis du Docteur en Théologie, Mouhamadou Bamba Sall, par ailleurs président de l’Association pour l’éducation, l’enseignement et la culture (Apeec), c’est parce que le pouvoir politique est pris en otage par le pouvoir religieux. Dans l’entretien qu’il nous a accordé, l’Imam Sall soutient que cette situation est due au fait que l’Etat ne joue pas franc-jeu avec la population. Ainsi est-il obligé de s’appuyer sur les religieux qui en profitent pour exercer du chantage sur lui.