Au-delà de mettre à nu un carnage financier sans précédent, le rapport de la Cour des Comptes sur la situation des finances publiques gestions de 2019 au 31 mars 2024 rendu public -ce mercredi 12 février 2025- sonne comme un désaveu pour l’ancien Président de la République Macky Sall et son régime. Confirmant les révélations faites par le Premier ministre Ousmane Sonko en septembre dernier sur le maquillage des chiffres notamment sur la dette et le déficit budgétaire, le rapport apporte un cinglant démenti à l’ex Chef de l’État.
Ce dernier, répondant aux accusations de son farouche opposant qui lui reprochait d’avoir « menti au peuple et aux partenaires » à qui il a fourni des données erronées, déclarait : « J’ai laissé un pays où les indicateurs étaient au vert ». En effet, lors d’un entretien avec Jennifer Zabasajja de Bloomberg à Londres, le 15 octobre 2024, Macky Sall -alors tête de liste nationale de la coalition Takku-Wallu aux législatives de novembre-, confiait : « je regrette les propos du Premier ministre (Ousmane Sonko, ndlr) qui sont totalement faux et qui ont conduit à une dégradation de la note du Sénégal (par Moody’s, NDLR) ».
Une déclaration battue en brèche par la Cour des Comptes dans son rapport qui révèle, entre autres, un déficit budgétaire ‘’recalculé’’ estimé à 2 291 milliards de francs CFA en 2023, soit 12,30 % du PIB. Donc nettement supérieur au 4,9% annoncé par le gouvernement de Macky Sall. Selon la Cour, le déficit budgétaire était de 9,85 % en 2019, 9,17% en 2020, 11,47% en 2021, 12,65% en 2022 et 12,30% en 2023.
Se défendant suite aux accusations de Sonko relatives à une falsification des chiffres de la dette, l’ex-Président Sall confiait : « il ne faut pas se mettre dans la tête que l’on peut se développer sans dette, ce n’est pas possible ». « Il ne faut pas confondre emprunter pour financer le développement et parler de surendettement », rétorquait l’ancien présidant dont le gouvernement avait évalué la dette à 13 854 milliards de francs CFA soit 65,9% du PIB.
Des données erronées également écartées d’un revers de main par la Cour des Comptes. Selon le rapport, « l’encours total de la dette de l’administration centrale budgétaire s’élève à 18 558,91 milliards de F CFA, au 31 décembre 2023, et représente 99,67 % du PIB ».
Pasarpassarè alalou tous les senegalais et appel soi meme milliadaire niak diomme rek
We all know where the money went just lock them up and move on working hard . Just giving buzz to those thieves who don't dare to set foot at their own soil.
Khalisse bo sathie si fitna ngakoye diemma ressalè
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Diopil y a 6 mois
Court des comptes bou sonko way
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2020il y a 6 mois
Bsr je suis a Dakar le 13 Février 2025 Svp Président Macky Sall les Fe son rouge faut plus venir au Sénégal ce qui tâtent c'est grave geste hmt merci
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HONTEUSEMENT il y a 6 mois
NDAFFA , porte très bien son nom . C'est un déshonneur pour le SÉNÉGAL . Quelle HONTE , heureusement que ces ROUBLARDS , CHAROGNARDS , ont débarrassé le PLANCHER . Mes RESPECTS , et merciiii à SONKO / DIOMAYE FAYE . Gatché ngalama sounouy ROBUSTES et BRAVES DJAMBARS PATRIOTES COMBATTANTS POLITIQUE EXTRAORDINAIRES .
Répondre à HONTEUSEMENT
HONTEUSEMENT il y a 6 mois
NDAFFA , porte très bien son nom . C'est un déshonneur pour le SÉNÉGAL . Quelle HONTE , heureusement que ces ROUBLARDS , CHAROGNARDS , ont débarrassé le PLANCHER . Mes RESPECTS , et merciiii à SONKO / DIOMAYE FAYE . Gatché ngalama sounouy ROBUSTES et BRAVES DJAMBARS PATRIOTES COMBATTANTS POLITIQUE EXTRAORDINAIRES .
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il y a 6 mois
Sonko ne sera crédible que s'il vire Diba,tous les hauts- fonctionnaires ayant touché de près ou de loin à cette opération de" falsification des comptes "publics et bien sûr l'ensemble des membres de la Cour des Comptes qui avaient validé les comptes de l'année 2022.
Tous ces fonctionnaires ont perdu leur crédibilité aux yeux des Sénégalais.
Accabler Macky et ses ministres ne suffira pas à apaiser l'inquiétude et la colère des Sénégalais.
Ce n'est pas Macky et ses ministres qui sont à l'origine des chiffres falsifiés .
Les véritables responsables , c'est la haute administration du Ministère de l'Economie et des Finances et les membres de la Cour des Comptes qui sont toujours en fonction.
Des Hauts-fonctionnaires souvent apolitiques ou membres de formations politiques autres que BBY .
On ne peut comprendre que des cadres à l'origine de comptes truqués et de leur validation continuent de bénéficier de la confiance du PM qui les a accusés et confondus.
QUAND L'IMAGINATION VA À LA RECHERCHE DU BOIS MORT ,IL REVIENT AVEC LE FAGOT QUI LUI PLAÎT dit un proverbe africain.
KÉNE MENOUGNO TÉRÉ KHALAT!
Si SONKO veut rassurer les Sénégalais sur son intégrité ,tous le fonctionnaires du MEF et les membres de la Cour des Comptes doivent être virés manu militari .
Sinon n'importe qui dans ce pays pourrait penser légitimement que cette opération de falsification des comptes publics a été une commande politique de SONKO à quelques taupes à l'intérieur du système afin de nuire à l'ancien régime.
Personne ne peut empêcher notre esprit de divaguer quand la situation n'est pas claire.
On attend la suite des évènements.
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il y a 6 mois
99,67 % du PIB🥵
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Le hasard des chiffres il y a 6 mois
18 milles milliards FCFA selon la cours des comptes c'est la dette du régime de Macky. Et comme un hasard les apprentis du Pastef prétendent qu'il leur faut 18 milles milliards pour réaliser leur projet!
Répondre à Le hasard des chiffres
Nianthio il y a 6 mois
Fermons nos écoles de journalisme, nos facultés de droit pour économiser notre argent
1 chaque jour on voit des gens manipuler des trucs pour le plaisir de quelqu'un. Ce document sans cachet officiel est entrain d'être credibiliser
2. Pour un document de +50 pages les journalistes sont permis de tirer des conclusions hâtives en attaquant des gens
Pastef vous manipule. Un rapport ce sont les magistrats qui le défendent mais pas des politiciens
Répondre à Nianthio
il y a 6 mois
La manipulation ne passera jamais,la dette intérieur qui gonfle les chiffres est payé par les décaissement de la dette extérieure,donc la dette intérieure n'est pas une dette réelle elle est presque fictive ,mais cela des vernacles ne peuvent pas le comprendre
Répondre à
Wax deugil y a 6 mois
Voici le véritable objectif de la publication du rapport tronqué de la Cour des Comptes. Force est de constater la technique très rôdée du Pastef: pour chaque front chaud, ils ouvrent un autre. La raison: le Sénégalais préfère plus parler que bosser. Les peuples ont les dirigeants qu'ils méritent car ils sont issus de ces peuples. Et souvent, on ne choisit pas les meilleurs!
Répondre à Wax deug
Wax deugil y a 6 mois
Voici le véritable objectif de la publication du rapport tronqué de la Cour des Comptes. Force est de constater la technique très rôdée du Pastef: pour chaque front chaud, ils ouvrent un autre. La raison: le Sénégalais préfère plus parler que bosser. Les peuples ont les dirigeants qu'ils méritent car ils sont issus de ces peuples. Et souvent, on ne choisit pas les meilleurs!
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Wax deugil y a 6 mois
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Wax deugil y a 6 mois
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Wax deugil y a 6 mois
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Wax deugil y a 6 mois
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Wax deugil y a 6 mois
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Wax deugil y a 6 mois
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Wax deugil y a 6 mois
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Wax deugil y a 6 mois
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Wax deugil y a 6 mois
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Wax deugil y a 6 mois
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Wax deugil y a 6 mois
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Wax deugil y a 6 mois
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Wax deugil y a 6 mois
Voici le véritable objectif de la publication du rapport tronqué de la Cour des Comptes. Force est de constater la technique très rôdée du Pastef: pour chaque front chaud, ils ouvrent un autre. La raison: le Sénégalais préfère plus parler que bosser. Les peuples ont les dirigeants qu'ils méritent car ils sont issus de ces peuples. Et souvent, on ne choisit pas les meilleurs!
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Macky le voleur il y a 6 mois
Macky sall mo kate ndéyam way!!!
Répondre à Macky le voleur
Wang shuil y a 6 mois
La Manipulation ne passera pas.
C'est la même Cour des Comptes qui a certifié les gestions de l'année 2019,2020,2021, et 2022...
Qu'est-ce qui s'est passé entre 2023 et 2024?
Ousmane sonko et le Pastef,verse toujours dans la manipulation pour espérer arriver à leur fin.
Répondre à Wang shu
il y a 6 mois
cest trop facile qu'il s'en tire comme ca! Il doit comparaître devant la justice😡
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il y a 6 mois
rapport papier Q de Pastef
Répondre à
il y a 6 mois
Les Senegalais sont betes. On leur montre un rapport detaille de la situation du Senegal, mais ils ne voient que Sonko.
Répondre à
il y a 6 mois
La cour des contes mdrr!!!
Répondre à
SeNeGal il y a 6 mois
Cette fois-ci ci la manipulation.
Répondre à SeNeGal
il y a 6 mois
C'est de la diversion pure et simple. Cette cour des comptes qui était là, pourquoi ne l'avait-elle pas signalée? Et puis au temps de Macky, l'économie roulait quand même. Non je n'y crois pas. Moi je pense tout simplement que ce régime veut trouver des alibis face à leur incapacité à gérer ce pays. En tout cas les gens souffrent et ce qui nous importe c'est d'apporter des solutions urgentes face à cette crise
Répondre à
il y a 6 mois
en tout cas moi le petit gorgolou qui ne comprend rien dans tous ses chiffres ou qui a raison ou a tord mon seul constat est mon quotidien est 10 fois dificile aujourdhui que quand macky sall était la les raisons je ne sais et sonko mavait dis que jallais étre bien au depart de macky
Répondre à
il y a 6 mois
peut etre c'est son gros dérriére et les grosses fesses de sa femme qui clignotaient vert
reply_authoril y a 6 mois
Pire criminel de toute notre histoire et toute catégorie confondu il mérite d'être violemment lapidé ce sale voleur sans vergogne
Répondre à
il y a 6 mois
Un rapport qui répond à une commande politique de sonko pour masquer son échec de traduire ses mensonges en réalité. Ils se sont couchés pour plaire à un homme qui les déteste tous et il ne l’a jamais caché.
reply_authoril y a 6 mois
Tu as tout compris! Merci.
Répondre à
Samba Taif il y a 6 mois
J'étais membre du parti Pastef et maintenant je le quitte pour être aux côtés du président Macky Sall, maintenant je sais qu'il est l'un des plus grands personnages du monde
reply_authoril y a 6 mois
doule rek ga meune
Répondre à Samba Taif
Samba Taif il y a 6 mois
J'étais membre du parti Pastef et maintenant je le quitte pour être aux côtés du président Macky Sall, maintenant je sais qu'il est l'un des plus grands personnages du monde
Répondre à Samba Taif
il y a 6 mois
La cours des compte vient de se condamner tout seul. Cette histoire c'est comme un voleur qui reconnais avoir voler un bien en 2024 et nie les faits en 2025. on a gouvernement médiocre issue d'un peuple médiocre. C'est triste de voir comment tout un peuple se fait manipuler par pastef
Répondre à
il y a 6 mois
19000 milliards de dettes !! Ce pays est bien foutu
Les banques sont complices dans cette histoire de détournements et de destruction de l'economie
reply_authoril y a 6 mois
attention, les 19 000 milliard c'est sur 12 ans plus le stock laissé par les autres régimes, alors que tes amis les stagiaire ont déja emprunté 4500 milliards en 2024 et compte emprunter le même montant cette année, soit un total de 9000 milliards su deux ans. ET le topo c'est qu'il ne règle aucun problème, bien au contraire
Répondre à
il y a 6 mois
Cette histoire c'est comme un voleur qui reconnais avoir voler un bien en 2024 et nie les faits en 2025. on a gouvernement médiocre issue d'un peuple médiocre. C'est triste de voir comment tout un peuple se fait manipuler par pastef
Répondre à
il y a 6 mois
un grand voleur et menteur
Répondre à
il y a 6 mois
un grand voleur et menteur
Répondre à
il y a 6 mois
un grand voleur et menteur
Répondre à
MACKY MBAAM il y a 6 mois
MACKY MÉRITE PENDAISON
Répondre à MACKY MBAAM
Deugdeugil y a 6 mois
Je ne savais pas que Macky Sall était daltonien,qu'il voit du vert à la place du rouge, sacré maquieur de chiffres.
Répondre à Deugdeug
il y a 6 mois
Cher Pr de la Republique,
Cher Pr.de l’AN,
Cher PM,
Le Senegal n’a nul besoin de WhatsAppeur, d’influenceur ou de tik tokeur, PUTAIN faites le travail pour lequel vous Avez ete ELU et grassement payé!
On vous demande juste de livrer les promesses !
Pour garantir qu’aucun futur dirigeant sénégalais, en particulier dans une nation classée parmi les 125 pays les moins avancés, ne puisse détourner les biens publics et compromettre le développement du pays, des dispositions légales rigoureuses peuvent être mises en place. Voici quelques idées inspirantes basées sur des principes de gouvernance et de transparence.
Les nouveaux dirigeants du pays ont tous les éléments en main pour neutraliser les fossoyeurs de la République:
Les 6 priorités majeures
Loi pour rendre inéligible pendant 25 ans (voire 40 ans) tous ceux qui ont participé et/ou sont complices des détournements de deniers publics
Loi pour les juger et exiger le remboursement jusqu’au dernier centime de tous ceux qui ont participé et/ou complices à ce massacre financier
Loi pour la confiscation automatique de tous leurs biens en commençant par feu Moustapha Ba et des autres ministres des finances depuis 2019
Loi pour demander l’extradition de tous les fossoyeurs aujourd’hui exilés sous peine de rompre les relations diplomatiques avec les pays d’accueil
Loi pour exiger des peines lourdes 25 et plus pour tous ceux qui ont participé et ou complices de ces faits abhorrents.
reply_authoril y a 6 mois
Et l aneantissement de la loi d amnesty
reply_authoril y a 6 mois
Et l aneantissement de la loi d amnesty
Répondre à
il y a 6 mois
Cher Pr de la Republique,
Cher Pr.de l’AN,
Cher PM,
Le Senegal n’a nul besoin de WhatsAppeur, d’influenceur ou de tik tokeur, PUTAIN faites le travail pour lequel vous Avez ete ELU et grassement payé!
On vous demande juste de livrer les promesses !
Pour garantir qu’aucun futur dirigeant sénégalais, en particulier dans une nation classée parmi les 125 pays les moins avancés, ne puisse détourner les biens publics et compromettre le développement du pays, des dispositions légales rigoureuses peuvent être mises en place. Voici quelques idées inspirantes basées sur des principes de gouvernance et de transparence.
Les nouveaux dirigeants du pays ont tous les éléments en main pour neutraliser les fossoyeurs de la République:
Les 6 priorités majeures
Loi pour rendre inéligible pendant 25 ans (voire 40 ans) tous ceux qui ont participé et/ou sont complices des détournements de deniers publics
Loi pour les juger et exiger le remboursement jusqu’au dernier centime de tous ceux qui ont participé et/ou complices à ce massacre financier
Loi pour la confiscation automatique de tous leurs biens en commençant par feu Moustapha Ba et des autres ministres des finances depuis 2019
Loi pour demander l’extradition de tous les fossoyeurs aujourd’hui exilés sous peine de rompre les relations diplomatiques avec les pays d’accueil
Loi pour exiger des peines lourdes 25 et plus pour tous ceux qui ont participé et ou complices de ces faits abhorrents.
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il y a 6 mois
Cher Pr de la Republique,
Cher Pr.de l’AN,
Cher PM,
Le Senegal n’a nul besoin de WhatsAppeur, d’influenceur ou de tik tokeur, PUTAIN faites le travail pour lequel vous Avez ete ELU et grassement payé!
On vous demande juste de livrer les promesses !
Pour garantir qu’aucun futur dirigeant sénégalais, en particulier dans une nation classée parmi les 125 pays les moins avancés, ne puisse détourner les biens publics et compromettre le développement du pays, des dispositions légales rigoureuses peuvent être mises en place. Voici quelques idées inspirantes basées sur des principes de gouvernance et de transparence.
Les nouveaux dirigeants du pays ont tous les éléments en main pour neutraliser les fossoyeurs de la République:
Les 6 priorités majeures
Loi pour rendre inéligible pendant 25 ans (voire 40 ans) tous ceux qui ont participé et/ou sont complices des détournements de deniers publics
Loi pour les juger et exiger le remboursement jusqu’au dernier centime de tous ceux qui ont participé et/ou complices à ce massacre financier
Loi pour la confiscation automatique de tous leurs biens en commençant par feu Moustapha Ba et des autres ministres des finances depuis 2019
Loi pour demander l’extradition de tous les fossoyeurs aujourd’hui exilés sous peine de rompre les relations diplomatiques avec les pays d’accueil
Loi pour exiger des peines lourdes 25 et plus pour tous ceux qui ont participé et ou complices de ces faits abhorrents.
Répondre à
il y a 6 mois
J'ai toujours dit qu’il n’avait pas l’énergie pour diriger le Sénégal. Il dormait plus qu’il ne restait réveillé. Maintenant que clest lui le responsable. Pas de MASLA, on le ramène et on le juge. BASTA
Le Sénégalais il y a 6 mois
Les menteurs du grand menteur ont encore menti, et d'une manière éhontée. Sonko est une Calamité pour ce pays.
Le Sénégalais il y a 6 mois
Les menteurs du grand menteur ont encore menti, et d'une manière éhontée. Sonko est une Calamité pour ce pays.
Le Sénégalais il y a 6 mois
Les menteurs du grand menteur ont encore menti, et d'une manière éhontée. Sonko est une Calamité pour ce pays.
Le Sénégalais il y a 6 mois
Les menteurs du grand menteur ont encore menti, et d'une manière éhontée. Sonko est une Calamité pour ce pays.
Le Sénégalais il y a 6 mois
Les menteurs du grand menteur ont encore menti, et d'une manière éhontée. Sonko est une Calamité pour ce pays.
Le Sénégalais il y a 6 mois
Les menteurs du grand menteur ont encore menti, et d'une manière éhontée. Sonko est une Calamité pour ce pays.
Le Sénégalais il y a 6 mois
Les menteurs du grand menteur ont encore menti, et d'une manière éhontée. Sonko est une Calamité pour ce pays.
Le Sénégalais il y a 6 mois
Les menteurs du grand menteur ont encore menti, et d'une manière éhontée. Sonko est une Calamité pour ce pays.
Le Sénégalais il y a 6 mois
Les menteurs du grand menteur ont encore menti, et d'une manière éhontée. Sonko est une Calamité pour ce pays.
Le Sénégalais il y a 6 mois
Les menteurs du grand menteur ont encore menti, et d'une manière éhontée. Sonko est une Calamité pour ce pays.
reply_authoril y a 6 mois
Et qui a l'énergie pour diriger le Sénégal, ce duo Pawlish et Ouzin Keita??? Lol
Répondre à
Allemagne il y a 6 mois
Ki vrai domou xarame leu. Donc gnibissil xol. Vrai iblis ga. Bilahi walahi do reuthie. Guènte nala bigay wadial daw. Sa torokhtanguè aussi. Souniou lay diap daf lay bèteu yagatoul. By force tu vas payer lala wakh. Yagatoul in cha Allah
Répondre à Allemagne
Allemagne il y a 6 mois
Ki vrai domou xarame leu. Donc gnibissil xol. Vrai iblis ga. Bilahi walahi do reuthie. Guènte nala bigay wadial daw. Sa torokhtanguè aussi. Souniou lay diap daf lay bèteu yagatoul. By force tu vas payer lala wakh. Yagatoul in cha Allah
Répondre à Allemagne
il y a 6 mois
À quelle cour des comptes se fier ? Sous Macky tous les indicateurs étalent au vert sous Diomaye tout est rouge.Cheikh Diba l’actuel ministre des finances nous doit des explications !
Répondre à
Sénégal il y a 6 mois
Afrique confidentielle
Accueil Afrique Sénégal
Sénégal
Un rapport biaisé et incohérent :La Cour des comptes sous pression politique
13 février 2025
Le récent rapport de la Cour des comptes sur la gestion financière du précédent régime s’inscrit dans un contexte hautement politique. Or, loin d’apporter un éclairage impartial sur les finances publiques, il se distingue par des contradictions flagrantes, des imprécisions méthodologiques et une complaisance manifeste vis-à-vis du nouveau gouvernement. Ce document, censé être une référence en matière de transparence budgétaire, semble avoir été rédigé sous contrainte politique, compromettant ainsi sa crédibilité et son objectivité.
Une analyse approximative de la dette publique
L’un des axes majeurs du rapport concerne l’encours de la dette publique, mais il se distingue par une absence d’évaluation précise. Alors qu’il affirme que l’endettement de l’État est supérieur aux chiffres officiels, il ne propose aucune estimation concrète et laisse planer l’incertitude sur l’ampleur réelle du phénomène.
De plus, le rapport souligne des discordances entre les données de la Direction de la Dette Publique (DDP) et celles du Tableau des Opérations Financières de l’État (TOFE) sans arbitrer sur la fiabilité de l’une ou l’autre source. Il en résulte une lecture confuse de la situation budgétaire, où des accusations graves sont portées sans fondement précis.
Enfin, la Cour critique un manque de traçabilité sur certaines dettes bancaires tout en reconnaissant leur existence, sans apporter d’éléments probants sur leur volume ni leur impact réel sur les finances publiques.
Une contradiction sur l’évolution des recettes fiscales
Le rapport dépeint un tableau contradictoire des recettes fiscales. D’une part, il reconnaît que ces recettes ont connu une croissance soutenue entre 2019 et 2023, à l’exception de 2020, année marquée par la crise sanitaire. D’autre part, il affirme que le stock des créances fiscales impayées a progressé de 32 %, sans contextualiser ce chiffre ni en analyser les causes profondes. Cette juxtaposition d’affirmations contradictoires conduit à une lecture erronée de la dynamique budgétaire.
Par ailleurs, la Cour déplore un suivi insuffisant des dépenses fiscales (exonérations), tout en fournissant des estimations annuelles qui prouvent l’existence d’un mécanisme de contrôle. Cette incohérence illustre une volonté manifeste de pointer des irrégularités sans en démontrer la réalité.
Des failles méthodologiques
L’approche méthodologique adoptée par la Cour soulève de sérieuses interrogations. Elle dénonce des pratiques de rattachements irréguliers de recettes visant à minimiser artificiellement le déficit budgétaire, tout en évitant d’examiner d’autres pratiques comptables qui pourraient exagérer certaines dépenses.
De même, elle qualifie de « opaques » les Comptes Spéciaux du Trésor (CST), mais accepte les chiffres qui en émanent sans expliquer le processus de vérification employé. Une telle contradiction affaiblit la rigueur du rapport et met en doute la fiabilité de ses conclusions.
Une gestion budgétaire mal analysée
Le rapport accuse l’ancien gouvernement d’avoir contracté une dette bancaire hors du circuit budgétaire, sans expliciter comment cette dette a pu être dissimulée pendant plusieurs années. Une accusation d’une telle gravité nécessite des éléments concrets, que la Cour ne fournit pas.
En outre, elle critique les transferts vers les Services Non Personnalisés de l’État (SNPE), laissant entendre qu’il pourrait s’agir d’un détournement de fonds, mais sans fournir de preuve tangible. Une telle approche alimente le soupçon sans étayer les accusations, ce qui nuit à la crédibilité du document.
Un timing suspect et un manque d’indépendance
Le contexte de publication de ce rapport soulève des questions légitimes sur son indépendance. Il est rendu public immédiatement après l’arrivée du nouveau gouvernement et reprend presque mot pour mot les déclarations du Premier ministre Ousmane Sonko sur une supposée falsification des comptes. Cette synchronisation alimente le doute sur une possible instrumentalisation politique de la Cour des comptes.
De surcroît, le rapport s’appuie sur les documents officiels du précédent gouvernement pour en contester la fiabilité, sans justifier pourquoi certaines données seraient acceptées et d’autres rejetées. Cette sélectivité des critiques renforce l’idée d’un travail orienté.
Un rapport qui discrédite la Cour des comptes
Ce rapport, loin d’être un outil rigoureux de transparence budgétaire, illustre les dangers d’une institution sous pression politique. En multipliant les contradictions, les approximations et les assertions non étayées, il affaiblit sa propre crédibilité et jette un discrédit sur l’ensemble du processus d’audit.
Plutôt que d’être un instrument de vérification indépendante, la Cour des comptes semble avoir cédé à une logique partisane, compromettant ainsi sa mission de garant des finances publiques. Cette situation pose un précédent dangereux pour la gouvernance économique du pays, où l’expertise technique devrait prévaloir sur les agendas politiques.
Répondre à Sénégal
Sénégal il y a 6 mois
Afrique confidentielle
Accueil Afrique Sénégal
Sénégal
Un rapport biaisé et incohérent :La Cour des comptes sous pression politique
13 février 2025
Le récent rapport de la Cour des comptes sur la gestion financière du précédent régime s’inscrit dans un contexte hautement politique. Or, loin d’apporter un éclairage impartial sur les finances publiques, il se distingue par des contradictions flagrantes, des imprécisions méthodologiques et une complaisance manifeste vis-à-vis du nouveau gouvernement. Ce document, censé être une référence en matière de transparence budgétaire, semble avoir été rédigé sous contrainte politique, compromettant ainsi sa crédibilité et son objectivité.
Une analyse approximative de la dette publique
L’un des axes majeurs du rapport concerne l’encours de la dette publique, mais il se distingue par une absence d’évaluation précise. Alors qu’il affirme que l’endettement de l’État est supérieur aux chiffres officiels, il ne propose aucune estimation concrète et laisse planer l’incertitude sur l’ampleur réelle du phénomène.
De plus, le rapport souligne des discordances entre les données de la Direction de la Dette Publique (DDP) et celles du Tableau des Opérations Financières de l’État (TOFE) sans arbitrer sur la fiabilité de l’une ou l’autre source. Il en résulte une lecture confuse de la situation budgétaire, où des accusations graves sont portées sans fondement précis.
Enfin, la Cour critique un manque de traçabilité sur certaines dettes bancaires tout en reconnaissant leur existence, sans apporter d’éléments probants sur leur volume ni leur impact réel sur les finances publiques.
Une contradiction sur l’évolution des recettes fiscales
Le rapport dépeint un tableau contradictoire des recettes fiscales. D’une part, il reconnaît que ces recettes ont connu une croissance soutenue entre 2019 et 2023, à l’exception de 2020, année marquée par la crise sanitaire. D’autre part, il affirme que le stock des créances fiscales impayées a progressé de 32 %, sans contextualiser ce chiffre ni en analyser les causes profondes. Cette juxtaposition d’affirmations contradictoires conduit à une lecture erronée de la dynamique budgétaire.
Par ailleurs, la Cour déplore un suivi insuffisant des dépenses fiscales (exonérations), tout en fournissant des estimations annuelles qui prouvent l’existence d’un mécanisme de contrôle. Cette incohérence illustre une volonté manifeste de pointer des irrégularités sans en démontrer la réalité.
Des failles méthodologiques
L’approche méthodologique adoptée par la Cour soulève de sérieuses interrogations. Elle dénonce des pratiques de rattachements irréguliers de recettes visant à minimiser artificiellement le déficit budgétaire, tout en évitant d’examiner d’autres pratiques comptables qui pourraient exagérer certaines dépenses.
De même, elle qualifie de « opaques » les Comptes Spéciaux du Trésor (CST), mais accepte les chiffres qui en émanent sans expliquer le processus de vérification employé. Une telle contradiction affaiblit la rigueur du rapport et met en doute la fiabilité de ses conclusions.
Une gestion budgétaire mal analysée
Le rapport accuse l’ancien gouvernement d’avoir contracté une dette bancaire hors du circuit budgétaire, sans expliciter comment cette dette a pu être dissimulée pendant plusieurs années. Une accusation d’une telle gravité nécessite des éléments concrets, que la Cour ne fournit pas.
En outre, elle critique les transferts vers les Services Non Personnalisés de l’État (SNPE), laissant entendre qu’il pourrait s’agir d’un détournement de fonds, mais sans fournir de preuve tangible. Une telle approche alimente le soupçon sans étayer les accusations, ce qui nuit à la crédibilité du document.
Un timing suspect et un manque d’indépendance
Le contexte de publication de ce rapport soulève des questions légitimes sur son indépendance. Il est rendu public immédiatement après l’arrivée du nouveau gouvernement et reprend presque mot pour mot les déclarations du Premier ministre Ousmane Sonko sur une supposée falsification des comptes. Cette synchronisation alimente le doute sur une possible instrumentalisation politique de la Cour des comptes.
De surcroît, le rapport s’appuie sur les documents officiels du précédent gouvernement pour en contester la fiabilité, sans justifier pourquoi certaines données seraient acceptées et d’autres rejetées. Cette sélectivité des critiques renforce l’idée d’un travail orienté.
Un rapport qui discrédite la Cour des comptes
Ce rapport, loin d’être un outil rigoureux de transparence budgétaire, illustre les dangers d’une institution sous pression politique. En multipliant les contradictions, les approximations et les assertions non étayées, il affaiblit sa propre crédibilité et jette un discrédit sur l’ensemble du processus d’audit.
Plutôt que d’être un instrument de vérification indépendante, la Cour des comptes semble avoir cédé à une logique partisane, compromettant ainsi sa mission de garant des finances publiques. Cette situation pose un précédent dangereux pour la gouvernance économique du pays, où l’expertise technique devrait prévaloir sur les agendas politiques.
reply_authoril y a 6 mois
cest le torchon de baba aidara ?
reply_authoril y a 6 mois
la question qu'il faut se poser est : est ce que le torchon de baba aidara est vraie?
Répondre à Sénégal
Sénégal il y a 6 mois
Afrique confidentielle
Accueil Afrique Sénégal
Sénégal
Un rapport biaisé et incohérent :La Cour des comptes sous pression politique
13 février 2025
Le récent rapport de la Cour des comptes sur la gestion financière du précédent régime s’inscrit dans un contexte hautement politique. Or, loin d’apporter un éclairage impartial sur les finances publiques, il se distingue par des contradictions flagrantes, des imprécisions méthodologiques et une complaisance manifeste vis-à-vis du nouveau gouvernement. Ce document, censé être une référence en matière de transparence budgétaire, semble avoir été rédigé sous contrainte politique, compromettant ainsi sa crédibilité et son objectivité.
Une analyse approximative de la dette publique
L’un des axes majeurs du rapport concerne l’encours de la dette publique, mais il se distingue par une absence d’évaluation précise. Alors qu’il affirme que l’endettement de l’État est supérieur aux chiffres officiels, il ne propose aucune estimation concrète et laisse planer l’incertitude sur l’ampleur réelle du phénomène.
De plus, le rapport souligne des discordances entre les données de la Direction de la Dette Publique (DDP) et celles du Tableau des Opérations Financières de l’État (TOFE) sans arbitrer sur la fiabilité de l’une ou l’autre source. Il en résulte une lecture confuse de la situation budgétaire, où des accusations graves sont portées sans fondement précis.
Enfin, la Cour critique un manque de traçabilité sur certaines dettes bancaires tout en reconnaissant leur existence, sans apporter d’éléments probants sur leur volume ni leur impact réel sur les finances publiques.
Une contradiction sur l’évolution des recettes fiscales
Le rapport dépeint un tableau contradictoire des recettes fiscales. D’une part, il reconnaît que ces recettes ont connu une croissance soutenue entre 2019 et 2023, à l’exception de 2020, année marquée par la crise sanitaire. D’autre part, il affirme que le stock des créances fiscales impayées a progressé de 32 %, sans contextualiser ce chiffre ni en analyser les causes profondes. Cette juxtaposition d’affirmations contradictoires conduit à une lecture erronée de la dynamique budgétaire.
Par ailleurs, la Cour déplore un suivi insuffisant des dépenses fiscales (exonérations), tout en fournissant des estimations annuelles qui prouvent l’existence d’un mécanisme de contrôle. Cette incohérence illustre une volonté manifeste de pointer des irrégularités sans en démontrer la réalité.
Des failles méthodologiques
L’approche méthodologique adoptée par la Cour soulève de sérieuses interrogations. Elle dénonce des pratiques de rattachements irréguliers de recettes visant à minimiser artificiellement le déficit budgétaire, tout en évitant d’examiner d’autres pratiques comptables qui pourraient exagérer certaines dépenses.
De même, elle qualifie de « opaques » les Comptes Spéciaux du Trésor (CST), mais accepte les chiffres qui en émanent sans expliquer le processus de vérification employé. Une telle contradiction affaiblit la rigueur du rapport et met en doute la fiabilité de ses conclusions.
Une gestion budgétaire mal analysée
Le rapport accuse l’ancien gouvernement d’avoir contracté une dette bancaire hors du circuit budgétaire, sans expliciter comment cette dette a pu être dissimulée pendant plusieurs années. Une accusation d’une telle gravité nécessite des éléments concrets, que la Cour ne fournit pas.
En outre, elle critique les transferts vers les Services Non Personnalisés de l’État (SNPE), laissant entendre qu’il pourrait s’agir d’un détournement de fonds, mais sans fournir de preuve tangible. Une telle approche alimente le soupçon sans étayer les accusations, ce qui nuit à la crédibilité du document.
Un timing suspect et un manque d’indépendance
Le contexte de publication de ce rapport soulève des questions légitimes sur son indépendance. Il est rendu public immédiatement après l’arrivée du nouveau gouvernement et reprend presque mot pour mot les déclarations du Premier ministre Ousmane Sonko sur une supposée falsification des comptes. Cette synchronisation alimente le doute sur une possible instrumentalisation politique de la Cour des comptes.
De surcroît, le rapport s’appuie sur les documents officiels du précédent gouvernement pour en contester la fiabilité, sans justifier pourquoi certaines données seraient acceptées et d’autres rejetées. Cette sélectivité des critiques renforce l’idée d’un travail orienté.
Un rapport qui discrédite la Cour des comptes
Ce rapport, loin d’être un outil rigoureux de transparence budgétaire, illustre les dangers d’une institution sous pression politique. En multipliant les contradictions, les approximations et les assertions non étayées, il affaiblit sa propre crédibilité et jette un discrédit sur l’ensemble du processus d’audit.
Plutôt que d’être un instrument de vérification indépendante, la Cour des comptes semble avoir cédé à une logique partisane, compromettant ainsi sa mission de garant des finances publiques. Cette situation pose un précédent dangereux pour la gouvernance économique du pays, où l’expertise technique devrait prévaloir sur les agendas politiques.
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Mohamed LOil y a 6 mois
Maquis est un DOUOUOUOUOULKAT, le plus gros FENNNNKAT de la république et tous les imbéciles qui le soutiennent n'ont plus que l'insulte et les invectives à la bouche. Maquis a fait pas moins que de la très haute trahison. Il sera bientôt demandé son extradition pour le trainer devant la haute cour de justice. MAQUIS EST DE LA POURITURE AVARIEE!
Répondre à Mohamed LO
Mohamed LOil y a 6 mois
Maquis est un DOUOUOUOUOULKAT, le plus gros FENNNNKAT de la république et tous les imbéciles qui le soutiennent n'ont plus que l'insulte et les invectives à la bouche. Maquis a fait pas moins que de la très haute trahison. Il sera bientôt demandé son extradition pour le trainer devant la haute cour de justice. MAQUIS EST DE LA POURITURE AVARIEE!
reply_authoril y a 6 mois
Ki dou rousse.
reply_authoril y a 6 mois
Ki dou rousse.
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Mohamed LOil y a 6 mois
Maquis est un DOUOUOUOUOULKAT, le plus gros FENNNNKAT de la république et tous les imbéciles qui le soutiennent n'ont plus que l'insulte et les invectives à la bouche. Maquis a fait pas moins que de la très haute trahison. Il sera bientôt demandé son extradition pour le trainer devant la haute cour de justice. MAQUIS EST DE LA POURITURE AVARIEE!
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Mohamed LOil y a 6 mois
Maquis est un DOUOUOUOUOULKAT, le plus gros FENNNNKAT de la république et tous les imbéciles qui le soutiennent n'ont plus que l'insulte et les invectives à la bouche. Maquis a fait pas moins que de la très haute trahison. Il sera bientôt demandé son extradition pour le trainer devant la haute cour de justice. MAQUIS EST DE LA POURITURE AVARIEE!
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Mohamed LOil y a 6 mois
Maquis est un DOUOUOUOUOULKAT, le plus gros FENNNNKAT de la république et tous les imbéciles qui le soutiennent n'ont plus que l'insulte et les invectives à la bouche. Maquis a fait pas moins que de la très haute trahison. Il sera bientôt demandé son extradition pour le trainer devant la haute cour de justice. MAQUIS EST DE LA POURITURE AVARIEE!
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Mohamed LOil y a 6 mois
Maquis est un DOUOUOUOUOULKAT, le plus gros FENNNNKAT de la république et tous les imbéciles qui le soutiennent n'ont plus que l'insulte et les invectives à la bouche. Maquis a fait pas moins que de la très haute trahison. Il sera bientôt demandé son extradition pour le trainer devant la haute cour de justice. MAQUIS EST DE LA POURITURE AVARIEE!
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Apr=ande poupe réwmi il y a 6 mois
Haute trahison, prison à vie pour macky sall
Répondre à Apr=ande poupe réwmi
Apr=ande poupe réwmi il y a 6 mois
Haute trahison, prison à vie pour macky sall
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Apr=ande poupe réwmi il y a 6 mois
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Apr=ande poupe réwmi il y a 6 mois
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Apr=ande poupe réwmi il y a 6 mois
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lolil y a 6 mois
la cour doit nous edifier sur les rapports des annees passees. Se contredit elle?
reply_authoril y a 6 mois
Ki dou rousse.
reply_authoril y a 6 mois
en fait, pour comparer les rapports entre ceux de Macky le grand délinquant il faut également nous édifier et réclamer ceux de 2024.
on serait étonné de leur similitude.
reply_authoril y a 6 mois
la réponse et oui évidemment
Répondre à lol
Bande de manipulateurs !il y a 6 mois
Juste une question, la cour des comptes viendrait-elle d'être créée et ses membres nommés ?
Qu'avez indiqués les rapports de cette même cour entre 2019 et 2023 ?
Ce régime ne peut pas juste éternellement mettre tout sur le dos du régime précédent que les sénégalais on fini de sanctionner. Commencez par payer les bourses aux étudiants, construire des autoroutes, TEr, BRT et ponts, ensuite on en reparle...
A choisir, je préfère un régime qui apporte de l'argent, résoud des problèmes (et même vole un peu ) qu'un régime n'apporte rien et ne résout aucun problème et ne fait que manipuler les moutons...
reply_authoril y a 6 mois
Franchement je ne suis pas sure que le régime de Macky soit voleur à ce point sinon les bailleurs de fonds ne financeront pas le PSE. La question qu'il faut se poser pourquoi ils n'arrivent pas à financer leur porozet
reply_authoril y a 6 mois
Minable de votre part de revendiquer soutenir des voleurs.
Répondre à Bande de manipulateurs !
il y a 6 mois
La haute cour pour trahison. CPI
reply_authoril y a 6 mois
vous etes marrants les fils de macky truand sale
reply_authoril y a 6 mois
C'est sonko qui doit être traduit en justice.
reply_authoril y a 6 mois
Ki dou rousse.
reply_authoril y a 6 mois
méme les plus farouches ne parlent plus de CPI fofou baxoule do nopalou touti changé disque
Répondre à
Nianthio il y a 6 mois
La cour des comptes ment pour plaire à un MENTEUR
Arrêtez vos manipulations !!
Sonko à menti et veut se cacher derrière ses mensonges pour se credibiliser
reply_authoril y a 6 mois
Ki dou rousse.
Menteur que tu esil y a 6 mois
reply_authoril y a 6 mois
Non seulement sonko mais la cour des comptes le contredit sur la falsification
Senegalusil y a 6 mois
Nianthio on comprend le réchauffement de ton cœur va boire de l'eau fraîche.
Répondre à Nianthio
il y a 6 mois
Mann deh li Macky Sall wakh la gueum nous avons affaire à un pouvoir manipulateur
Je n ai jamais été malade je faisais semblant ya un compte de 1000 milliards dixit sonko
reply_authoril y a 6 mois
Gnoun peul yi, ayy Sathie lagnou
reply_authoril y a 6 mois
😆 Gnoun peul. Yi ayy Sathi. Lagnou
Different de nos cousins. JOLLAS ET SERERES
reply_authoril y a 6 mois
et cest cette méme cour des comptes qui avait validé et bénis les chiffres de MACKY non durant son mandant ? ALORS QUI CROIRE ENTRE LES DEUX COURS ?
Répondre à
Senegal il y a 6 mois
Il n'y a rien de pire au monde d'être abruti, minable. Peut être qu'il y a malversation et le train de vie d'un état. Mais aussi Il faut pleinement assumer les conséquences économiques d'un covid mal géré et surtout le fait de mettre en campagne tout un pays de 2019 à 2024 pressé de goûter aux délices du pouvoir. Maintenant on pleure.
reply_authoril y a 6 mois
Apprenez L'ARABE ou bien L'ANGLAIS à distance et en un temps record.
Suivi personnel, méthode douce selon votre rythme.
CONTACT e-mail : senprof2024@gmail.com
Sène il y a 6 mois
C’est un voleur soutenu par d’autres voleurs dont tous ces chroniqueurs et faux journalistes sont à la solde. On comprend tout. Mandat d’arrêt immédiat.
reply_authoril y a 6 mois
Merci Sonko, un homme digne et intègre. Rien à voir avec le déserteur d’ex président pilleur et protecteur des délinquants financiers.
reply_authoril y a 6 mois
La parole de Macky est 1000 fois plus crédible que ce vaurien de sonko même si je ne suis pas de APR. Le pays fonctionnait bien avant l'arrivée de ses vauriens
reply_authoril y a 6 mois
Ki dou rousse.
Hé! il y a 6 mois
Kiy DOUL bamou nékéé ci opposition bi ba légui kham na gnou ko.
reply_authoril y a 6 mois
Macky a maquillé les compte
Macky le sai sai
reply_authoril y a 6 mois
Il voulait dire vers la faillite 🤣
reply_authoril y a 6 mois
Cette histoire c'est comme un voleur qui reconnais avoir voler un bien en 2024 et nie les faits en 2025. on a gouvernement médiocre issue d'un peuple médiocre. C'est triste de voir comment tout un peuple se fait manipuler par pastef
reply_authoril y a 6 mois
Macky a raison tout était vert dans les faits avant de quitter le pays.
Yattil y a 6 mois
Après lecture du rapport de la Cour des Comptes, il se fait sentir une forte pulsion à prendre bâtons,gourdins et cailloux pour chasser du voleur !!
A traquer tous les trolls ignobles qui essayent de les dédouaner et à les coiffer avec des tessons de bouteilles.
A pendre les Madiambal, Cheikh Yerim, Moustapha Diakhaté.... par les testicules et enfin à obliger les Maimouna Ndour Faye, Aissatou Diop Fall ... à puiser à la corde d'un puits de 110 m de profondeur pour arroser 50 000 ha de bananeraies dans les sables du Ferlo.
.
Le grand Chef Mafieux il y a 6 mois
Il nous a mis dans la liste des plus mauvais régimes pilleurs en Afrique et dans le monde. Lire ce terrible article du " Monde"
: https://www.lemonde.fr/afrique/article/2016/08/05/confessions-d-experts-du-pillage-de-tresor-public-en-afrique_4978708_3212.html
reply_authoril y a 6 mois
Covid mal géré? N’insulte pas Covid-19! Quand quelqu’un décide de prendre l’argent du contribuable et de brader des maisons du patrimoine foncier comme si c’était les siennes, ça n’a rien à voir à la pandémie. Il faut appeler un chat un chat. Il faut aussi se demander si tout cet argent volé en plein jour avait été bien investi, est-ce que tous ou une bonne partie de nos jeunes morts en haute mer ou dans le désert n’auraient pas pu être sauvés? L’absence de leadership, et la corruption institutionnalisée sous le dernier régime, a causé un mal profond à tous les sénégalais, d’une manière ou d’une autre. Et pourtant c’était par des gens à qui les sénégalais avaient tout donné en salaires de plusieurs millions, maison gratuite, véhicule et carburant gratuits!
reply_authoril y a 6 mois
Criminel et voleur 89 morts
reply_authoril y a 6 mois
Criminel et voleur 89 morts bastardo
reply_authoril y a 6 mois
Macky a maquillé les comptes
reply_authoril y a 6 mois
Il nous a mis dans la liste des plus mauvais régimes pilleurs en Afrique et dans le monde. Lire ce terrible article du " Monde"
: https://www.lemonde.fr/afrique/article/2016/08/05/confessions-d-experts-du-pillage-de-tresor-public-en-afrique_4978708_3212.html
reply_authoril y a 6 mois
Il nous a mis dans la liste des plus mauvais régimes pilleurs en Afrique et dans le monde. Lire ce terrible article du " Monde"
: https://www.lemonde.fr/afrique/article/2016/08/05/confessions-d-experts-du-pillage-de-tresor-public-en-afrique_4978708_3212.html
Commentaires (84)
Macky mo kate ndéyam way
Everyone know this country is in deep debt
Why all these polemic in the media?????
Waste of time
They party with the nation's fundings
Pasarpassarè alalou tous les senegalais et appel soi meme milliadaire niak diomme rek
We all know where the money went just lock them up and move on working hard . Just giving buzz to those thieves who don't dare to set foot at their own soil.
Khalisse bo sathie si fitna ngakoye diemma ressalè
Court des comptes bou sonko way
Bsr je suis a Dakar le 13 Février 2025 Svp Président Macky Sall les Fe son rouge faut plus venir au Sénégal ce qui tâtent c'est grave geste hmt merci
NDAFFA , porte très bien son nom . C'est un déshonneur pour le SÉNÉGAL . Quelle HONTE , heureusement que ces ROUBLARDS , CHAROGNARDS , ont débarrassé le PLANCHER . Mes RESPECTS , et merciiii à SONKO / DIOMAYE FAYE . Gatché ngalama sounouy ROBUSTES et BRAVES DJAMBARS PATRIOTES COMBATTANTS POLITIQUE EXTRAORDINAIRES .
NDAFFA , porte très bien son nom . C'est un déshonneur pour le SÉNÉGAL . Quelle HONTE , heureusement que ces ROUBLARDS , CHAROGNARDS , ont débarrassé le PLANCHER . Mes RESPECTS , et merciiii à SONKO / DIOMAYE FAYE . Gatché ngalama sounouy ROBUSTES et BRAVES DJAMBARS PATRIOTES COMBATTANTS POLITIQUE EXTRAORDINAIRES .
Sonko ne sera crédible que s'il vire Diba,tous les hauts- fonctionnaires ayant touché de près ou de loin à cette opération de" falsification des comptes "publics et bien sûr l'ensemble des membres de la Cour des Comptes qui avaient validé les comptes de l'année 2022.
Tous ces fonctionnaires ont perdu leur crédibilité aux yeux des Sénégalais.
Accabler Macky et ses ministres ne suffira pas à apaiser l'inquiétude et la colère des Sénégalais.
Ce n'est pas Macky et ses ministres qui sont à l'origine des chiffres falsifiés .
Les véritables responsables , c'est la haute administration du Ministère de l'Economie et des Finances et les membres de la Cour des Comptes qui sont toujours en fonction.
Des Hauts-fonctionnaires souvent apolitiques ou membres de formations politiques autres que BBY .
On ne peut comprendre que des cadres à l'origine de comptes truqués et de leur validation continuent de bénéficier de la confiance du PM qui les a accusés et confondus.
QUAND L'IMAGINATION VA À LA RECHERCHE DU BOIS MORT ,IL REVIENT AVEC LE FAGOT QUI LUI PLAÎT dit un proverbe africain.
KÉNE MENOUGNO TÉRÉ KHALAT!
Si SONKO veut rassurer les Sénégalais sur son intégrité ,tous le fonctionnaires du MEF et les membres de la Cour des Comptes doivent être virés manu militari .
Sinon n'importe qui dans ce pays pourrait penser légitimement que cette opération de falsification des comptes publics a été une commande politique de SONKO à quelques taupes à l'intérieur du système afin de nuire à l'ancien régime.
Personne ne peut empêcher notre esprit de divaguer quand la situation n'est pas claire.
On attend la suite des évènements.
99,67 % du PIB🥵
18 milles milliards FCFA selon la cours des comptes c'est la dette du régime de Macky. Et comme un hasard les apprentis du Pastef prétendent qu'il leur faut 18 milles milliards pour réaliser leur projet!
Fermons nos écoles de journalisme, nos facultés de droit pour économiser notre argent
1 chaque jour on voit des gens manipuler des trucs pour le plaisir de quelqu'un. Ce document sans cachet officiel est entrain d'être credibiliser
2. Pour un document de +50 pages les journalistes sont permis de tirer des conclusions hâtives en attaquant des gens
Pastef vous manipule. Un rapport ce sont les magistrats qui le défendent mais pas des politiciens
La manipulation ne passera jamais,la dette intérieur qui gonfle les chiffres est payé par les décaissement de la dette extérieure,donc la dette intérieure n'est pas une dette réelle elle est presque fictive ,mais cela des vernacles ne peuvent pas le comprendre
Voici le véritable objectif de la publication du rapport tronqué de la Cour des Comptes. Force est de constater la technique très rôdée du Pastef: pour chaque front chaud, ils ouvrent un autre. La raison: le Sénégalais préfère plus parler que bosser. Les peuples ont les dirigeants qu'ils méritent car ils sont issus de ces peuples. Et souvent, on ne choisit pas les meilleurs!
Voici le véritable objectif de la publication du rapport tronqué de la Cour des Comptes. Force est de constater la technique très rôdée du Pastef: pour chaque front chaud, ils ouvrent un autre. La raison: le Sénégalais préfère plus parler que bosser. Les peuples ont les dirigeants qu'ils méritent car ils sont issus de ces peuples. Et souvent, on ne choisit pas les meilleurs!
Voici le véritable objectif de la publication du rapport tronqué de la Cour des Comptes. Force est de constater la technique très rôdée du Pastef: pour chaque front chaud, ils ouvrent un autre. La raison: le Sénégalais préfère plus parler que bosser. Les peuples ont les dirigeants qu'ils méritent car ils sont issus de ces peuples. Et souvent, on ne choisit pas les meilleurs!
Voici le véritable objectif de la publication du rapport tronqué de la Cour des Comptes. Force est de constater la technique très rôdée du Pastef: pour chaque front chaud, ils ouvrent un autre. La raison: le Sénégalais préfère plus parler que bosser. Les peuples ont les dirigeants qu'ils méritent car ils sont issus de ces peuples. Et souvent, on ne choisit pas les meilleurs!
Voici le véritable objectif de la publication du rapport tronqué de la Cour des Comptes. Force est de constater la technique très rôdée du Pastef: pour chaque front chaud, ils ouvrent un autre. La raison: le Sénégalais préfère plus parler que bosser. Les peuples ont les dirigeants qu'ils méritent car ils sont issus de ces peuples. Et souvent, on ne choisit pas les meilleurs!
Voici le véritable objectif de la publication du rapport tronqué de la Cour des Comptes. Force est de constater la technique très rôdée du Pastef: pour chaque front chaud, ils ouvrent un autre. La raison: le Sénégalais préfère plus parler que bosser. Les peuples ont les dirigeants qu'ils méritent car ils sont issus de ces peuples. Et souvent, on ne choisit pas les meilleurs!
Voici le véritable objectif de la publication du rapport tronqué de la Cour des Comptes. Force est de constater la technique très rôdée du Pastef: pour chaque front chaud, ils ouvrent un autre. La raison: le Sénégalais préfère plus parler que bosser. Les peuples ont les dirigeants qu'ils méritent car ils sont issus de ces peuples. Et souvent, on ne choisit pas les meilleurs!
Voici le véritable objectif de la publication du rapport tronqué de la Cour des Comptes. Force est de constater la technique très rôdée du Pastef: pour chaque front chaud, ils ouvrent un autre. La raison: le Sénégalais préfère plus parler que bosser. Les peuples ont les dirigeants qu'ils méritent car ils sont issus de ces peuples. Et souvent, on ne choisit pas les meilleurs!
Voici le véritable objectif de la publication du rapport tronqué de la Cour des Comptes. Force est de constater la technique très rôdée du Pastef: pour chaque front chaud, ils ouvrent un autre. La raison: le Sénégalais préfère plus parler que bosser. Les peuples ont les dirigeants qu'ils méritent car ils sont issus de ces peuples. Et souvent, on ne choisit pas les meilleurs!
Voici le véritable objectif de la publication du rapport tronqué de la Cour des Comptes. Force est de constater la technique très rôdée du Pastef: pour chaque front chaud, ils ouvrent un autre. La raison: le Sénégalais préfère plus parler que bosser. Les peuples ont les dirigeants qu'ils méritent car ils sont issus de ces peuples. Et souvent, on ne choisit pas les meilleurs!
Voici le véritable objectif de la publication du rapport tronqué de la Cour des Comptes. Force est de constater la technique très rôdée du Pastef: pour chaque front chaud, ils ouvrent un autre. La raison: le Sénégalais préfère plus parler que bosser. Les peuples ont les dirigeants qu'ils méritent car ils sont issus de ces peuples. Et souvent, on ne choisit pas les meilleurs!
Voici le véritable objectif de la publication du rapport tronqué de la Cour des Comptes. Force est de constater la technique très rôdée du Pastef: pour chaque front chaud, ils ouvrent un autre. La raison: le Sénégalais préfère plus parler que bosser. Les peuples ont les dirigeants qu'ils méritent car ils sont issus de ces peuples. Et souvent, on ne choisit pas les meilleurs!
Voici le véritable objectif de la publication du rapport tronqué de la Cour des Comptes. Force est de constater la technique très rôdée du Pastef: pour chaque front chaud, ils ouvrent un autre. La raison: le Sénégalais préfère plus parler que bosser. Les peuples ont les dirigeants qu'ils méritent car ils sont issus de ces peuples. Et souvent, on ne choisit pas les meilleurs!
Voici le véritable objectif de la publication du rapport tronqué de la Cour des Comptes. Force est de constater la technique très rôdée du Pastef: pour chaque front chaud, ils ouvrent un autre. La raison: le Sénégalais préfère plus parler que bosser. Les peuples ont les dirigeants qu'ils méritent car ils sont issus de ces peuples. Et souvent, on ne choisit pas les meilleurs!
Voici le véritable objectif de la publication du rapport tronqué de la Cour des Comptes. Force est de constater la technique très rôdée du Pastef: pour chaque front chaud, ils ouvrent un autre. La raison: le Sénégalais préfère plus parler que bosser. Les peuples ont les dirigeants qu'ils méritent car ils sont issus de ces peuples. Et souvent, on ne choisit pas les meilleurs!
Macky sall mo kate ndéyam way!!!
La Manipulation ne passera pas.
C'est la même Cour des Comptes qui a certifié les gestions de l'année 2019,2020,2021, et 2022...
Qu'est-ce qui s'est passé entre 2023 et 2024?
Ousmane sonko et le Pastef,verse toujours dans la manipulation pour espérer arriver à leur fin.
cest trop facile qu'il s'en tire comme ca! Il doit comparaître devant la justice😡
rapport papier Q de Pastef
Les Senegalais sont betes. On leur montre un rapport detaille de la situation du Senegal, mais ils ne voient que Sonko.
La cour des contes mdrr!!!
Cette fois-ci ci la manipulation.
C'est de la diversion pure et simple. Cette cour des comptes qui était là, pourquoi ne l'avait-elle pas signalée? Et puis au temps de Macky, l'économie roulait quand même. Non je n'y crois pas. Moi je pense tout simplement que ce régime veut trouver des alibis face à leur incapacité à gérer ce pays. En tout cas les gens souffrent et ce qui nous importe c'est d'apporter des solutions urgentes face à cette crise
en tout cas moi le petit gorgolou qui ne comprend rien dans tous ses chiffres ou qui a raison ou a tord mon seul constat est mon quotidien est 10 fois dificile aujourdhui que quand macky sall était la les raisons je ne sais et sonko mavait dis que jallais étre bien au depart de macky
peut etre c'est son gros dérriére et les grosses fesses de sa femme qui clignotaient vert
Pire criminel de toute notre histoire et toute catégorie confondu il mérite d'être violemment lapidé ce sale voleur sans vergogne
Un rapport qui répond à une commande politique de sonko pour masquer son échec de traduire ses mensonges en réalité. Ils se sont couchés pour plaire à un homme qui les déteste tous et il ne l’a jamais caché.
Tu as tout compris! Merci.
J'étais membre du parti Pastef et maintenant je le quitte pour être aux côtés du président Macky Sall, maintenant je sais qu'il est l'un des plus grands personnages du monde
doule rek ga meune
J'étais membre du parti Pastef et maintenant je le quitte pour être aux côtés du président Macky Sall, maintenant je sais qu'il est l'un des plus grands personnages du monde
La cours des compte vient de se condamner tout seul. Cette histoire c'est comme un voleur qui reconnais avoir voler un bien en 2024 et nie les faits en 2025. on a gouvernement médiocre issue d'un peuple médiocre. C'est triste de voir comment tout un peuple se fait manipuler par pastef
19000 milliards de dettes !! Ce pays est bien foutu
Les banques sont complices dans cette histoire de détournements et de destruction de l'economie
attention, les 19 000 milliard c'est sur 12 ans plus le stock laissé par les autres régimes, alors que tes amis les stagiaire ont déja emprunté 4500 milliards en 2024 et compte emprunter le même montant cette année, soit un total de 9000 milliards su deux ans. ET le topo c'est qu'il ne règle aucun problème, bien au contraire
Cette histoire c'est comme un voleur qui reconnais avoir voler un bien en 2024 et nie les faits en 2025. on a gouvernement médiocre issue d'un peuple médiocre. C'est triste de voir comment tout un peuple se fait manipuler par pastef
un grand voleur et menteur
un grand voleur et menteur
un grand voleur et menteur
MACKY MÉRITE PENDAISON
Je ne savais pas que Macky Sall était daltonien,qu'il voit du vert à la place du rouge, sacré maquieur de chiffres.
Cher Pr de la Republique,
Cher Pr.de l’AN,
Cher PM,
Le Senegal n’a nul besoin de WhatsAppeur, d’influenceur ou de tik tokeur, PUTAIN faites le travail pour lequel vous Avez ete ELU et grassement payé!
On vous demande juste de livrer les promesses !
Pour garantir qu’aucun futur dirigeant sénégalais, en particulier dans une nation classée parmi les 125 pays les moins avancés, ne puisse détourner les biens publics et compromettre le développement du pays, des dispositions légales rigoureuses peuvent être mises en place. Voici quelques idées inspirantes basées sur des principes de gouvernance et de transparence.
Les nouveaux dirigeants du pays ont tous les éléments en main pour neutraliser les fossoyeurs de la République:
Les 6 priorités majeures
Loi pour rendre inéligible pendant 25 ans (voire 40 ans) tous ceux qui ont participé et/ou sont complices des détournements de deniers publics
Loi pour les juger et exiger le remboursement jusqu’au dernier centime de tous ceux qui ont participé et/ou complices à ce massacre financier
Loi pour la confiscation automatique de tous leurs biens en commençant par feu Moustapha Ba et des autres ministres des finances depuis 2019
Loi pour demander l’extradition de tous les fossoyeurs aujourd’hui exilés sous peine de rompre les relations diplomatiques avec les pays d’accueil
Loi pour exiger des peines lourdes 25 et plus pour tous ceux qui ont participé et ou complices de ces faits abhorrents.
Et l aneantissement de la loi d amnesty
Et l aneantissement de la loi d amnesty
Cher Pr de la Republique,
Cher Pr.de l’AN,
Cher PM,
Le Senegal n’a nul besoin de WhatsAppeur, d’influenceur ou de tik tokeur, PUTAIN faites le travail pour lequel vous Avez ete ELU et grassement payé!
On vous demande juste de livrer les promesses !
Pour garantir qu’aucun futur dirigeant sénégalais, en particulier dans une nation classée parmi les 125 pays les moins avancés, ne puisse détourner les biens publics et compromettre le développement du pays, des dispositions légales rigoureuses peuvent être mises en place. Voici quelques idées inspirantes basées sur des principes de gouvernance et de transparence.
Les nouveaux dirigeants du pays ont tous les éléments en main pour neutraliser les fossoyeurs de la République:
Les 6 priorités majeures
Loi pour rendre inéligible pendant 25 ans (voire 40 ans) tous ceux qui ont participé et/ou sont complices des détournements de deniers publics
Loi pour les juger et exiger le remboursement jusqu’au dernier centime de tous ceux qui ont participé et/ou complices à ce massacre financier
Loi pour la confiscation automatique de tous leurs biens en commençant par feu Moustapha Ba et des autres ministres des finances depuis 2019
Loi pour demander l’extradition de tous les fossoyeurs aujourd’hui exilés sous peine de rompre les relations diplomatiques avec les pays d’accueil
Loi pour exiger des peines lourdes 25 et plus pour tous ceux qui ont participé et ou complices de ces faits abhorrents.
Cher Pr de la Republique,
Cher Pr.de l’AN,
Cher PM,
Le Senegal n’a nul besoin de WhatsAppeur, d’influenceur ou de tik tokeur, PUTAIN faites le travail pour lequel vous Avez ete ELU et grassement payé!
On vous demande juste de livrer les promesses !
Pour garantir qu’aucun futur dirigeant sénégalais, en particulier dans une nation classée parmi les 125 pays les moins avancés, ne puisse détourner les biens publics et compromettre le développement du pays, des dispositions légales rigoureuses peuvent être mises en place. Voici quelques idées inspirantes basées sur des principes de gouvernance et de transparence.
Les nouveaux dirigeants du pays ont tous les éléments en main pour neutraliser les fossoyeurs de la République:
Les 6 priorités majeures
Loi pour rendre inéligible pendant 25 ans (voire 40 ans) tous ceux qui ont participé et/ou sont complices des détournements de deniers publics
Loi pour les juger et exiger le remboursement jusqu’au dernier centime de tous ceux qui ont participé et/ou complices à ce massacre financier
Loi pour la confiscation automatique de tous leurs biens en commençant par feu Moustapha Ba et des autres ministres des finances depuis 2019
Loi pour demander l’extradition de tous les fossoyeurs aujourd’hui exilés sous peine de rompre les relations diplomatiques avec les pays d’accueil
Loi pour exiger des peines lourdes 25 et plus pour tous ceux qui ont participé et ou complices de ces faits abhorrents.
J'ai toujours dit qu’il n’avait pas l’énergie pour diriger le Sénégal. Il dormait plus qu’il ne restait réveillé. Maintenant que clest lui le responsable. Pas de MASLA, on le ramène et on le juge. BASTA
Les menteurs du grand menteur ont encore menti, et d'une manière éhontée. Sonko est une Calamité pour ce pays.
Les menteurs du grand menteur ont encore menti, et d'une manière éhontée. Sonko est une Calamité pour ce pays.
Les menteurs du grand menteur ont encore menti, et d'une manière éhontée. Sonko est une Calamité pour ce pays.
Les menteurs du grand menteur ont encore menti, et d'une manière éhontée. Sonko est une Calamité pour ce pays.
Les menteurs du grand menteur ont encore menti, et d'une manière éhontée. Sonko est une Calamité pour ce pays.
Les menteurs du grand menteur ont encore menti, et d'une manière éhontée. Sonko est une Calamité pour ce pays.
Les menteurs du grand menteur ont encore menti, et d'une manière éhontée. Sonko est une Calamité pour ce pays.
Les menteurs du grand menteur ont encore menti, et d'une manière éhontée. Sonko est une Calamité pour ce pays.
Les menteurs du grand menteur ont encore menti, et d'une manière éhontée. Sonko est une Calamité pour ce pays.
Les menteurs du grand menteur ont encore menti, et d'une manière éhontée. Sonko est une Calamité pour ce pays.
Et qui a l'énergie pour diriger le Sénégal, ce duo Pawlish et Ouzin Keita??? Lol
Ki vrai domou xarame leu. Donc gnibissil xol. Vrai iblis ga. Bilahi walahi do reuthie. Guènte nala bigay wadial daw. Sa torokhtanguè aussi. Souniou lay diap daf lay bèteu yagatoul. By force tu vas payer lala wakh. Yagatoul in cha Allah
Ki vrai domou xarame leu. Donc gnibissil xol. Vrai iblis ga. Bilahi walahi do reuthie. Guènte nala bigay wadial daw. Sa torokhtanguè aussi. Souniou lay diap daf lay bèteu yagatoul. By force tu vas payer lala wakh. Yagatoul in cha Allah
À quelle cour des comptes se fier ? Sous Macky tous les indicateurs étalent au vert sous Diomaye tout est rouge.Cheikh Diba l’actuel ministre des finances nous doit des explications !
Afrique confidentielle
Accueil Afrique Sénégal
Sénégal
Un rapport biaisé et incohérent :La Cour des comptes sous pression politique
13 février 2025
Le récent rapport de la Cour des comptes sur la gestion financière du précédent régime s’inscrit dans un contexte hautement politique. Or, loin d’apporter un éclairage impartial sur les finances publiques, il se distingue par des contradictions flagrantes, des imprécisions méthodologiques et une complaisance manifeste vis-à-vis du nouveau gouvernement. Ce document, censé être une référence en matière de transparence budgétaire, semble avoir été rédigé sous contrainte politique, compromettant ainsi sa crédibilité et son objectivité.
Une analyse approximative de la dette publique
L’un des axes majeurs du rapport concerne l’encours de la dette publique, mais il se distingue par une absence d’évaluation précise. Alors qu’il affirme que l’endettement de l’État est supérieur aux chiffres officiels, il ne propose aucune estimation concrète et laisse planer l’incertitude sur l’ampleur réelle du phénomène.
De plus, le rapport souligne des discordances entre les données de la Direction de la Dette Publique (DDP) et celles du Tableau des Opérations Financières de l’État (TOFE) sans arbitrer sur la fiabilité de l’une ou l’autre source. Il en résulte une lecture confuse de la situation budgétaire, où des accusations graves sont portées sans fondement précis.
Enfin, la Cour critique un manque de traçabilité sur certaines dettes bancaires tout en reconnaissant leur existence, sans apporter d’éléments probants sur leur volume ni leur impact réel sur les finances publiques.
Une contradiction sur l’évolution des recettes fiscales
Le rapport dépeint un tableau contradictoire des recettes fiscales. D’une part, il reconnaît que ces recettes ont connu une croissance soutenue entre 2019 et 2023, à l’exception de 2020, année marquée par la crise sanitaire. D’autre part, il affirme que le stock des créances fiscales impayées a progressé de 32 %, sans contextualiser ce chiffre ni en analyser les causes profondes. Cette juxtaposition d’affirmations contradictoires conduit à une lecture erronée de la dynamique budgétaire.
Par ailleurs, la Cour déplore un suivi insuffisant des dépenses fiscales (exonérations), tout en fournissant des estimations annuelles qui prouvent l’existence d’un mécanisme de contrôle. Cette incohérence illustre une volonté manifeste de pointer des irrégularités sans en démontrer la réalité.
Des failles méthodologiques
L’approche méthodologique adoptée par la Cour soulève de sérieuses interrogations. Elle dénonce des pratiques de rattachements irréguliers de recettes visant à minimiser artificiellement le déficit budgétaire, tout en évitant d’examiner d’autres pratiques comptables qui pourraient exagérer certaines dépenses.
De même, elle qualifie de « opaques » les Comptes Spéciaux du Trésor (CST), mais accepte les chiffres qui en émanent sans expliquer le processus de vérification employé. Une telle contradiction affaiblit la rigueur du rapport et met en doute la fiabilité de ses conclusions.
Une gestion budgétaire mal analysée
Le rapport accuse l’ancien gouvernement d’avoir contracté une dette bancaire hors du circuit budgétaire, sans expliciter comment cette dette a pu être dissimulée pendant plusieurs années. Une accusation d’une telle gravité nécessite des éléments concrets, que la Cour ne fournit pas.
En outre, elle critique les transferts vers les Services Non Personnalisés de l’État (SNPE), laissant entendre qu’il pourrait s’agir d’un détournement de fonds, mais sans fournir de preuve tangible. Une telle approche alimente le soupçon sans étayer les accusations, ce qui nuit à la crédibilité du document.
Un timing suspect et un manque d’indépendance
Le contexte de publication de ce rapport soulève des questions légitimes sur son indépendance. Il est rendu public immédiatement après l’arrivée du nouveau gouvernement et reprend presque mot pour mot les déclarations du Premier ministre Ousmane Sonko sur une supposée falsification des comptes. Cette synchronisation alimente le doute sur une possible instrumentalisation politique de la Cour des comptes.
De surcroît, le rapport s’appuie sur les documents officiels du précédent gouvernement pour en contester la fiabilité, sans justifier pourquoi certaines données seraient acceptées et d’autres rejetées. Cette sélectivité des critiques renforce l’idée d’un travail orienté.
Un rapport qui discrédite la Cour des comptes
Ce rapport, loin d’être un outil rigoureux de transparence budgétaire, illustre les dangers d’une institution sous pression politique. En multipliant les contradictions, les approximations et les assertions non étayées, il affaiblit sa propre crédibilité et jette un discrédit sur l’ensemble du processus d’audit.
Plutôt que d’être un instrument de vérification indépendante, la Cour des comptes semble avoir cédé à une logique partisane, compromettant ainsi sa mission de garant des finances publiques. Cette situation pose un précédent dangereux pour la gouvernance économique du pays, où l’expertise technique devrait prévaloir sur les agendas politiques.
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Un rapport biaisé et incohérent :La Cour des comptes sous pression politique
13 février 2025
Le récent rapport de la Cour des comptes sur la gestion financière du précédent régime s’inscrit dans un contexte hautement politique. Or, loin d’apporter un éclairage impartial sur les finances publiques, il se distingue par des contradictions flagrantes, des imprécisions méthodologiques et une complaisance manifeste vis-à-vis du nouveau gouvernement. Ce document, censé être une référence en matière de transparence budgétaire, semble avoir été rédigé sous contrainte politique, compromettant ainsi sa crédibilité et son objectivité.
Une analyse approximative de la dette publique
L’un des axes majeurs du rapport concerne l’encours de la dette publique, mais il se distingue par une absence d’évaluation précise. Alors qu’il affirme que l’endettement de l’État est supérieur aux chiffres officiels, il ne propose aucune estimation concrète et laisse planer l’incertitude sur l’ampleur réelle du phénomène.
De plus, le rapport souligne des discordances entre les données de la Direction de la Dette Publique (DDP) et celles du Tableau des Opérations Financières de l’État (TOFE) sans arbitrer sur la fiabilité de l’une ou l’autre source. Il en résulte une lecture confuse de la situation budgétaire, où des accusations graves sont portées sans fondement précis.
Enfin, la Cour critique un manque de traçabilité sur certaines dettes bancaires tout en reconnaissant leur existence, sans apporter d’éléments probants sur leur volume ni leur impact réel sur les finances publiques.
Une contradiction sur l’évolution des recettes fiscales
Le rapport dépeint un tableau contradictoire des recettes fiscales. D’une part, il reconnaît que ces recettes ont connu une croissance soutenue entre 2019 et 2023, à l’exception de 2020, année marquée par la crise sanitaire. D’autre part, il affirme que le stock des créances fiscales impayées a progressé de 32 %, sans contextualiser ce chiffre ni en analyser les causes profondes. Cette juxtaposition d’affirmations contradictoires conduit à une lecture erronée de la dynamique budgétaire.
Par ailleurs, la Cour déplore un suivi insuffisant des dépenses fiscales (exonérations), tout en fournissant des estimations annuelles qui prouvent l’existence d’un mécanisme de contrôle. Cette incohérence illustre une volonté manifeste de pointer des irrégularités sans en démontrer la réalité.
Des failles méthodologiques
L’approche méthodologique adoptée par la Cour soulève de sérieuses interrogations. Elle dénonce des pratiques de rattachements irréguliers de recettes visant à minimiser artificiellement le déficit budgétaire, tout en évitant d’examiner d’autres pratiques comptables qui pourraient exagérer certaines dépenses.
De même, elle qualifie de « opaques » les Comptes Spéciaux du Trésor (CST), mais accepte les chiffres qui en émanent sans expliquer le processus de vérification employé. Une telle contradiction affaiblit la rigueur du rapport et met en doute la fiabilité de ses conclusions.
Une gestion budgétaire mal analysée
Le rapport accuse l’ancien gouvernement d’avoir contracté une dette bancaire hors du circuit budgétaire, sans expliciter comment cette dette a pu être dissimulée pendant plusieurs années. Une accusation d’une telle gravité nécessite des éléments concrets, que la Cour ne fournit pas.
En outre, elle critique les transferts vers les Services Non Personnalisés de l’État (SNPE), laissant entendre qu’il pourrait s’agir d’un détournement de fonds, mais sans fournir de preuve tangible. Une telle approche alimente le soupçon sans étayer les accusations, ce qui nuit à la crédibilité du document.
Un timing suspect et un manque d’indépendance
Le contexte de publication de ce rapport soulève des questions légitimes sur son indépendance. Il est rendu public immédiatement après l’arrivée du nouveau gouvernement et reprend presque mot pour mot les déclarations du Premier ministre Ousmane Sonko sur une supposée falsification des comptes. Cette synchronisation alimente le doute sur une possible instrumentalisation politique de la Cour des comptes.
De surcroît, le rapport s’appuie sur les documents officiels du précédent gouvernement pour en contester la fiabilité, sans justifier pourquoi certaines données seraient acceptées et d’autres rejetées. Cette sélectivité des critiques renforce l’idée d’un travail orienté.
Un rapport qui discrédite la Cour des comptes
Ce rapport, loin d’être un outil rigoureux de transparence budgétaire, illustre les dangers d’une institution sous pression politique. En multipliant les contradictions, les approximations et les assertions non étayées, il affaiblit sa propre crédibilité et jette un discrédit sur l’ensemble du processus d’audit.
Plutôt que d’être un instrument de vérification indépendante, la Cour des comptes semble avoir cédé à une logique partisane, compromettant ainsi sa mission de garant des finances publiques. Cette situation pose un précédent dangereux pour la gouvernance économique du pays, où l’expertise technique devrait prévaloir sur les agendas politiques.
cest le torchon de baba aidara ?
la question qu'il faut se poser est : est ce que le torchon de baba aidara est vraie?
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Un rapport biaisé et incohérent :La Cour des comptes sous pression politique
13 février 2025
Le récent rapport de la Cour des comptes sur la gestion financière du précédent régime s’inscrit dans un contexte hautement politique. Or, loin d’apporter un éclairage impartial sur les finances publiques, il se distingue par des contradictions flagrantes, des imprécisions méthodologiques et une complaisance manifeste vis-à-vis du nouveau gouvernement. Ce document, censé être une référence en matière de transparence budgétaire, semble avoir été rédigé sous contrainte politique, compromettant ainsi sa crédibilité et son objectivité.
Une analyse approximative de la dette publique
L’un des axes majeurs du rapport concerne l’encours de la dette publique, mais il se distingue par une absence d’évaluation précise. Alors qu’il affirme que l’endettement de l’État est supérieur aux chiffres officiels, il ne propose aucune estimation concrète et laisse planer l’incertitude sur l’ampleur réelle du phénomène.
De plus, le rapport souligne des discordances entre les données de la Direction de la Dette Publique (DDP) et celles du Tableau des Opérations Financières de l’État (TOFE) sans arbitrer sur la fiabilité de l’une ou l’autre source. Il en résulte une lecture confuse de la situation budgétaire, où des accusations graves sont portées sans fondement précis.
Enfin, la Cour critique un manque de traçabilité sur certaines dettes bancaires tout en reconnaissant leur existence, sans apporter d’éléments probants sur leur volume ni leur impact réel sur les finances publiques.
Une contradiction sur l’évolution des recettes fiscales
Le rapport dépeint un tableau contradictoire des recettes fiscales. D’une part, il reconnaît que ces recettes ont connu une croissance soutenue entre 2019 et 2023, à l’exception de 2020, année marquée par la crise sanitaire. D’autre part, il affirme que le stock des créances fiscales impayées a progressé de 32 %, sans contextualiser ce chiffre ni en analyser les causes profondes. Cette juxtaposition d’affirmations contradictoires conduit à une lecture erronée de la dynamique budgétaire.
Par ailleurs, la Cour déplore un suivi insuffisant des dépenses fiscales (exonérations), tout en fournissant des estimations annuelles qui prouvent l’existence d’un mécanisme de contrôle. Cette incohérence illustre une volonté manifeste de pointer des irrégularités sans en démontrer la réalité.
Des failles méthodologiques
L’approche méthodologique adoptée par la Cour soulève de sérieuses interrogations. Elle dénonce des pratiques de rattachements irréguliers de recettes visant à minimiser artificiellement le déficit budgétaire, tout en évitant d’examiner d’autres pratiques comptables qui pourraient exagérer certaines dépenses.
De même, elle qualifie de « opaques » les Comptes Spéciaux du Trésor (CST), mais accepte les chiffres qui en émanent sans expliquer le processus de vérification employé. Une telle contradiction affaiblit la rigueur du rapport et met en doute la fiabilité de ses conclusions.
Une gestion budgétaire mal analysée
Le rapport accuse l’ancien gouvernement d’avoir contracté une dette bancaire hors du circuit budgétaire, sans expliciter comment cette dette a pu être dissimulée pendant plusieurs années. Une accusation d’une telle gravité nécessite des éléments concrets, que la Cour ne fournit pas.
En outre, elle critique les transferts vers les Services Non Personnalisés de l’État (SNPE), laissant entendre qu’il pourrait s’agir d’un détournement de fonds, mais sans fournir de preuve tangible. Une telle approche alimente le soupçon sans étayer les accusations, ce qui nuit à la crédibilité du document.
Un timing suspect et un manque d’indépendance
Le contexte de publication de ce rapport soulève des questions légitimes sur son indépendance. Il est rendu public immédiatement après l’arrivée du nouveau gouvernement et reprend presque mot pour mot les déclarations du Premier ministre Ousmane Sonko sur une supposée falsification des comptes. Cette synchronisation alimente le doute sur une possible instrumentalisation politique de la Cour des comptes.
De surcroît, le rapport s’appuie sur les documents officiels du précédent gouvernement pour en contester la fiabilité, sans justifier pourquoi certaines données seraient acceptées et d’autres rejetées. Cette sélectivité des critiques renforce l’idée d’un travail orienté.
Un rapport qui discrédite la Cour des comptes
Ce rapport, loin d’être un outil rigoureux de transparence budgétaire, illustre les dangers d’une institution sous pression politique. En multipliant les contradictions, les approximations et les assertions non étayées, il affaiblit sa propre crédibilité et jette un discrédit sur l’ensemble du processus d’audit.
Plutôt que d’être un instrument de vérification indépendante, la Cour des comptes semble avoir cédé à une logique partisane, compromettant ainsi sa mission de garant des finances publiques. Cette situation pose un précédent dangereux pour la gouvernance économique du pays, où l’expertise technique devrait prévaloir sur les agendas politiques.
Maquis est un DOUOUOUOUOULKAT, le plus gros FENNNNKAT de la république et tous les imbéciles qui le soutiennent n'ont plus que l'insulte et les invectives à la bouche. Maquis a fait pas moins que de la très haute trahison. Il sera bientôt demandé son extradition pour le trainer devant la haute cour de justice. MAQUIS EST DE LA POURITURE AVARIEE!
Maquis est un DOUOUOUOUOULKAT, le plus gros FENNNNKAT de la république et tous les imbéciles qui le soutiennent n'ont plus que l'insulte et les invectives à la bouche. Maquis a fait pas moins que de la très haute trahison. Il sera bientôt demandé son extradition pour le trainer devant la haute cour de justice. MAQUIS EST DE LA POURITURE AVARIEE!
Ki dou rousse.
Ki dou rousse.
Maquis est un DOUOUOUOUOULKAT, le plus gros FENNNNKAT de la république et tous les imbéciles qui le soutiennent n'ont plus que l'insulte et les invectives à la bouche. Maquis a fait pas moins que de la très haute trahison. Il sera bientôt demandé son extradition pour le trainer devant la haute cour de justice. MAQUIS EST DE LA POURITURE AVARIEE!
Maquis est un DOUOUOUOUOULKAT, le plus gros FENNNNKAT de la république et tous les imbéciles qui le soutiennent n'ont plus que l'insulte et les invectives à la bouche. Maquis a fait pas moins que de la très haute trahison. Il sera bientôt demandé son extradition pour le trainer devant la haute cour de justice. MAQUIS EST DE LA POURITURE AVARIEE!
Maquis est un DOUOUOUOUOULKAT, le plus gros FENNNNKAT de la république et tous les imbéciles qui le soutiennent n'ont plus que l'insulte et les invectives à la bouche. Maquis a fait pas moins que de la très haute trahison. Il sera bientôt demandé son extradition pour le trainer devant la haute cour de justice. MAQUIS EST DE LA POURITURE AVARIEE!
Maquis est un DOUOUOUOUOULKAT, le plus gros FENNNNKAT de la république et tous les imbéciles qui le soutiennent n'ont plus que l'insulte et les invectives à la bouche. Maquis a fait pas moins que de la très haute trahison. Il sera bientôt demandé son extradition pour le trainer devant la haute cour de justice. MAQUIS EST DE LA POURITURE AVARIEE!
Haute trahison, prison à vie pour macky sall
Haute trahison, prison à vie pour macky sall
Haute trahison, prison à vie pour macky sall
Haute trahison, prison à vie pour macky sall
Haute trahison, prison à vie pour macky sall
Haute trahison, prison à vie pour macky sall
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Haute trahison, prison à vie pour macky sall
la cour doit nous edifier sur les rapports des annees passees. Se contredit elle?
Ki dou rousse.
en fait, pour comparer les rapports entre ceux de Macky le grand délinquant il faut également nous édifier et réclamer ceux de 2024.
on serait étonné de leur similitude.
la réponse et oui évidemment
Juste une question, la cour des comptes viendrait-elle d'être créée et ses membres nommés ?
Qu'avez indiqués les rapports de cette même cour entre 2019 et 2023 ?
Ce régime ne peut pas juste éternellement mettre tout sur le dos du régime précédent que les sénégalais on fini de sanctionner. Commencez par payer les bourses aux étudiants, construire des autoroutes, TEr, BRT et ponts, ensuite on en reparle...
A choisir, je préfère un régime qui apporte de l'argent, résoud des problèmes (et même vole un peu ) qu'un régime n'apporte rien et ne résout aucun problème et ne fait que manipuler les moutons...
Franchement je ne suis pas sure que le régime de Macky soit voleur à ce point sinon les bailleurs de fonds ne financeront pas le PSE. La question qu'il faut se poser pourquoi ils n'arrivent pas à financer leur porozet
Minable de votre part de revendiquer soutenir des voleurs.
La haute cour pour trahison. CPI
vous etes marrants les fils de macky truand sale
C'est sonko qui doit être traduit en justice.
Ki dou rousse.
méme les plus farouches ne parlent plus de CPI fofou baxoule do nopalou touti changé disque
La cour des comptes ment pour plaire à un MENTEUR
Arrêtez vos manipulations !!
Sonko à menti et veut se cacher derrière ses mensonges pour se credibiliser
Ki dou rousse.
Non seulement sonko mais la cour des comptes le contredit sur la falsification
Nianthio on comprend le réchauffement de ton cœur va boire de l'eau fraîche.
Mann deh li Macky Sall wakh la gueum nous avons affaire à un pouvoir manipulateur
Je n ai jamais été malade je faisais semblant ya un compte de 1000 milliards dixit sonko
Gnoun peul yi, ayy Sathie lagnou
😆 Gnoun peul. Yi ayy Sathi. Lagnou
Different de nos cousins. JOLLAS ET SERERES
et cest cette méme cour des comptes qui avait validé et bénis les chiffres de MACKY non durant son mandant ? ALORS QUI CROIRE ENTRE LES DEUX COURS ?
Il n'y a rien de pire au monde d'être abruti, minable. Peut être qu'il y a malversation et le train de vie d'un état. Mais aussi Il faut pleinement assumer les conséquences économiques d'un covid mal géré et surtout le fait de mettre en campagne tout un pays de 2019 à 2024 pressé de goûter aux délices du pouvoir. Maintenant on pleure.
Apprenez L'ARABE ou bien L'ANGLAIS à distance et en un temps record.
Suivi personnel, méthode douce selon votre rythme.
CONTACT e-mail : senprof2024@gmail.com
C’est un voleur soutenu par d’autres voleurs dont tous ces chroniqueurs et faux journalistes sont à la solde. On comprend tout. Mandat d’arrêt immédiat.
Merci Sonko, un homme digne et intègre. Rien à voir avec le déserteur d’ex président pilleur et protecteur des délinquants financiers.
La parole de Macky est 1000 fois plus crédible que ce vaurien de sonko même si je ne suis pas de APR. Le pays fonctionnait bien avant l'arrivée de ses vauriens
Ki dou rousse.
Kiy DOUL bamou nékéé ci opposition bi ba légui kham na gnou ko.
Macky a maquillé les compte
Macky le sai sai
Il voulait dire vers la faillite 🤣
Cette histoire c'est comme un voleur qui reconnais avoir voler un bien en 2024 et nie les faits en 2025. on a gouvernement médiocre issue d'un peuple médiocre. C'est triste de voir comment tout un peuple se fait manipuler par pastef
Macky a raison tout était vert dans les faits avant de quitter le pays.
Après lecture du rapport de la Cour des Comptes, il se fait sentir une forte pulsion à prendre bâtons,gourdins et cailloux pour chasser du voleur !!
A traquer tous les trolls ignobles qui essayent de les dédouaner et à les coiffer avec des tessons de bouteilles.
A pendre les Madiambal, Cheikh Yerim, Moustapha Diakhaté.... par les testicules et enfin à obliger les Maimouna Ndour Faye, Aissatou Diop Fall ... à puiser à la corde d'un puits de 110 m de profondeur pour arroser 50 000 ha de bananeraies dans les sables du Ferlo.
.
Il nous a mis dans la liste des plus mauvais régimes pilleurs en Afrique et dans le monde. Lire ce terrible article du " Monde"
: https://www.lemonde.fr/afrique/article/2016/08/05/confessions-d-experts-du-pillage-de-tresor-public-en-afrique_4978708_3212.html
Covid mal géré? N’insulte pas Covid-19! Quand quelqu’un décide de prendre l’argent du contribuable et de brader des maisons du patrimoine foncier comme si c’était les siennes, ça n’a rien à voir à la pandémie. Il faut appeler un chat un chat. Il faut aussi se demander si tout cet argent volé en plein jour avait été bien investi, est-ce que tous ou une bonne partie de nos jeunes morts en haute mer ou dans le désert n’auraient pas pu être sauvés? L’absence de leadership, et la corruption institutionnalisée sous le dernier régime, a causé un mal profond à tous les sénégalais, d’une manière ou d’une autre. Et pourtant c’était par des gens à qui les sénégalais avaient tout donné en salaires de plusieurs millions, maison gratuite, véhicule et carburant gratuits!
Criminel et voleur 89 morts
Criminel et voleur 89 morts bastardo
Macky a maquillé les comptes
Il nous a mis dans la liste des plus mauvais régimes pilleurs en Afrique et dans le monde. Lire ce terrible article du " Monde"
: https://www.lemonde.fr/afrique/article/2016/08/05/confessions-d-experts-du-pillage-de-tresor-public-en-afrique_4978708_3212.html
Il nous a mis dans la liste des plus mauvais régimes pilleurs en Afrique et dans le monde. Lire ce terrible article du " Monde"
: https://www.lemonde.fr/afrique/article/2016/08/05/confessions-d-experts-du-pillage-de-tresor-public-en-afrique_4978708_3212.html
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