Dakar, Seneweb.com - Mamadou Diop Decroix fustige les efforts de certains milieux politiques «en bout de course, tendant à créer une crise politique artificielle dans le pays». A l’entendre, certains milieux politiques qui, naguère, ameutaient la presse contre l’Idewa (Initiative pour le départ de Abdoulaye Wade), lancée par l’Opposition en novembre 2004, au motif qu’une telle action était antidémocratique et antirépublicaine parce que Wade était un Président élu, clament aujourd’hui sur tous les toits qu’il faut abréger le mandat de ce même Président Wade. Cependant, Mamadou Diop Decroix poursuit sa randonnée diplomatique et politique avec les partis Amis et les missions étrangères accréditées à Dakar, et se prononce toujours sur les questions d’actualité.
«Certains milieux politiques qui, naguère, ameutaient la presse contre l’Idewa (Initiative pour le départ de Abdoulaye Wade), lancée par l’Opposition en novembre 2004, au motif qu’une telle action était antidémocratique et antirépublicaine parce que Wade était un Président élu, clament aujourd’hui sur tous les toits qu’il faut abréger le mandat de ce même Président Wade», a souligné Mamadou Diop Decroix. Ainsi, il fustige les efforts de certains milieux politiques «en bout de course, tendant à créer une crise politique artificielle dans le pays. Poursuivant son programme de déploiement, AJ/PADS, sous la conduite de son Secrétaire Général Mamadou Diop «Decroix» a rencontré son Excellence l’Ambassadeur de la République du Liban, Doyen du Corps Diplomatique, Son Excellence l’Ambassadeur de la République Islamique d’Iran au Sénégal, Son Excellence l’Ambassadeur de la République de Turquie. Ces rencontres ont permis de magnifier l’excellence des relations entre le Sénégal et ces différents pays. Le Secrétaire Général a réaffirmé la volonté d’And-Jëf d’apporter sa contribution au renforcement continue de ces relations.
Pour DiopDecroix, la parution du livre comme la controverse qui se développe à son sujet, largement relayée dans tous les coins du pays par les radios, les télévisions, la presse écrite et l’internet ; après l’arrêt de la Cour suprême disant que la communauté rurale de Mbane a été gagnée non pas par la Coalition Sopi 2009 au pouvoir, mais par Bennoo Siggil Senegaal de l’Opposition, montrent à profusion, s’il en était encore besoin, que le Sénégal n’est pas une petite démocratie. «C’est exactement comme cela que ça se passe dans tous les grands pays de démocratie. S’évertuer à présenter le pays comme une république banania ne peut pas être productif pour tout porteur de ce projet funeste», s’est-il enorgueilli. Réagissant toujours sur le livre de Latif, Mamadou Diop Decroix indique que l’Anoci a publié un rapport sur sa gestion. Latif a écrit, en s’appuyant dit-on, sur des documents fournis par ceux-là mêmes qu’il accuse de mauvaise gestion. «N’est-il pas plus juste et plus équilibré d’écouter l’autre son de cloche, c'est-à-dire la réplique de ceux qui sont accusés, ou de constater leur absence de réaction, avant de se forger une opinion», s’est-il interrogé. En vérité, poursuit le secrétaire d’And-Jëf «les manifestations sont l’expression d’une très mauvaise perception du rapport des forces par certains milieux qui versent dans l’appel à l’insurrection pensant ainsi tirer les marrons du feu».
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