Idrissa Seck a participé à la Conférence sur « la coopération entre migrants et partenaires européens dans les coopérations décentralisées avec l’Afrique » qui se tenait en Allemagne. L'occasion d'inviter ses compatriotes sénégalais à faire de la politique. Et pour commencer, il leur a demandé d’essayer d’être conseiller municipal dans leur localité. « Ça vous donne plus de crédibilité aux yeux des gens qui vous accueillent. Et ça vous permet d’être directement informé sur ce qui se passe », a indiqué le maire de Thiès dans les colonnes du Populaire. Sachant que la plupart des cadres ne veulent pas faire de la politique car se disant que c’est "sale", l’ancien Premier ministre de leur dire : « si vous voulez faire de belles roses, il ne faut pas dédaigner de toucher le fumier. Si le jardinier disait, le fumier-là je n’y touche pas… Non! C’est avec ça qu’on fait de belles roses. C’est vrai qu’il y a des pratiques… s ». Idrissa Seck est convaincu que « la plupart de ceux qui s’adonnent à la politique ne sont pas très bons, ils sont médiocres. Les meilleurs s’en écartent. Donc, le climat et les règles seront, malheureusement, de mauvaise qualité ».
43 Commentaires
Opsss!
En Mai, 2013 (10:09 AM)S. Seye
En Mai, 2013 (10:10 AM)Couillon
En Mai, 2013 (10:10 AM)Usa
En Mai, 2013 (10:17 AM)Dada
En Mai, 2013 (10:20 AM)Desart
En Mai, 2013 (10:21 AM)Le Peuple
En Mai, 2013 (10:21 AM)Xeuss
En Mai, 2013 (10:25 AM)Cool
En Mai, 2013 (10:29 AM)Be@
En Mai, 2013 (10:31 AM)Exsopiste
En Mai, 2013 (10:31 AM)Astou
En Mai, 2013 (10:32 AM)Makdia
En Mai, 2013 (10:33 AM)pensez vous pouvoir convaincre votre prochain en l'insultant?
SVP un peu de respect!!!
Ndiayde
En Mai, 2013 (10:34 AM)Arissoi
En Mai, 2013 (10:41 AM)Thosa
En Mai, 2013 (10:41 AM)Woody Allen
En Mai, 2013 (10:49 AM)Meilleur
En Mai, 2013 (10:58 AM)Voici la liste de quelques médiocres:
Farba Senghor
Moustapha Cissé LO
Mbaye Ndiaye
Pape Diop
Samuel Sarr
Thierno Lo etc....
Nts
En Mai, 2013 (11:07 AM)Son pére politique c'est WADE.il pense comme lui agit comme lui ment comme lui...........
WADE c'est le promoteur des médiocres sous sa magistére on a tout vu........
Ses fréres de parti ,IDY les considére comme des médiocres c'est pourquoi il décide tout seul agit tout seul et se trompe tout seul......
Avec lui comme président ,Wallahi le Sénégal le regrettera pour toujours...
Je vous fais une révélation nos ancétres qui ont batti ce pays à savoir Serigne TOUBA , maodo malick MAME LIMAMMOU ,El HADJI omar Mame abdou AZIZ SERIGNE saliou, tous les érudits les waliyou se sont réunis pour ne plus laisser le sénégal dirriger par un bandit ou un voyou et je vous jure qu'il nyaura plus de bandit à la téte de l'état sénégalais...
Et malheureusement IDY se définit comme un BANDIT.Il la dit que entre lui et WADE c'est un affaire de 2 grands BANDITS............
Jambar1
En Mai, 2013 (11:39 AM)Bounkhatab
En Mai, 2013 (11:49 AM)Santa
En Mai, 2013 (12:01 PM)Abdou Karim Diedhiou
En Mai, 2013 (12:02 PM)UNE POSTURE A ÉQUIDISTANCE DES CLIVAGES
LE JUSTE MILIEU QUI FÂCHE LES ICONOCLASTES
A partir de 2004 une voie politique nouvelle et née au Sénégal sans que les observateurs de la scène politique, les politicologues, et autres journalistes politiques n’y aient beaucoup trop prêté attention. Ce manque de vigilance sur les concepts nouveau des sciences politiques, est à la base de tous les traitements (analyses comme commentaires) qui ont manqué de tenter d’en savoir exactement et au juste de quoi relève un comportement politique aussi inédit et jusque là inconnu. Les hommes de la presse et la classe politique se sont juste bornés tout simplement à faire des critiques relevant de la subjectivité au lieu de sérieusement étudier le contenu de la chose, ce qui en est la motivation à la base et vers où ou vers quoi cette nouvelle démarche mène-t-elle.
L’an 2004 comme une année de référence pour matérialiser l’apparition d’une nouvelle donne politique majeure au Sénégal semble arbitraire. Et sans doute que la bonne question sera : pourquoi cette année au juste 2004 et quelle donne politique révolutionnaire ?
En 2004, c'est-à-dire 4 ans après que fût intervenue la victoire d’Abdoulaye Wade sur Abdou Diouf, correspondant à la 1er alternance démocratique issue d’une élection à la présidentielle au Sénégal, tout le monde peut bien se rappeler qu’il s’est produit un fait politique qu’aucun esprit ne pouvait imaginer et qui en son temps était très médiatisé tellement cela ne pouvait être rangé que dans l’extraordinaire politique. Je suis entrain d’invoquer l’année du début d’une crise vers une « rupture », après un court compagnonnage entre Wade et Idy dans la gestion du pouvoir 4 ans après la victoire de Wade en 2000 à la présidentielle. Et ce dernier s’est retrouvé dans une nouvelle posture politique malgré lui.
Lors que Idrissa Seck s’est retrouvé écarté du pouvoir et du parti politique où il à eu à mener tous les combats politiques de sa vie à côté et en compagnie de personnes qui étaient presque devenus des frères de sang pour ne pas dire des frères d’idéologie et de conviction politique. entre le marteau et l’enclume, c'est-à-dire exclu du pouvoir contre son gré, rejeté par l’opposition pour des suspicions de connivence avec le pouvoir et par une certaine peur de cette opposition de se voir dans l’ombre un d’un ex-baron très influent du pouvoir en place, Idrissa Seck devait par tous les moyens chercher une manière d’exister politique entre les 2 camps.
Et, pendant qu’il survivait politiquement, l’épreuve l’a conduit à choisir une posture politique que beaucoup de sénégalais ont eu du mal à comprendre jusqu’à ce jour. Tous les critiques qui émanaient d’esprits limités pour fustiger sa conduite ou sa posture politique pendant ses années de braise et jusqu’’à ce jour, ont été faits par conservatisme des routines politique classiques doublé d’un refus de la nouveauté et du progrès dans les stratégies politiques.
Les populations et les hommes de la presse ont eu tendance à vouloir toujours comparaitre les parcours politiques de Macky Sall et d’Idrissa Seck avec beaucoup de maladresses. Et les explication dans ce sens donnent toujours comme raison que la victoire de Macky est due à son refus de rencontrer ou de dialoguer avec Wade contrairement à Idy. Et ces mêmes raisonnement établissent comme vérité absolue que c’est cela qui a fait que les sénégalais ont plébiscité Macky. Ce qui est tout à fait faux comme raisonnement, car c’est seulement 26% des sénégalais qui ont jugé opportun de voter pour Macky. Ce score est loin d’être un plébiscite, malgré les soi-disant 3 années de tournées à l’intérieur du pays et à l’étranger. Les 65% du 2e tour sont le résultat d’un effort collectif, et non le poids ou le fruit du travail de MACKY2012. C’est sans nier également que 26% est une score honorable et très honorable même et surtout pour une 1er participation.
Par ailleurs les 26% sont à analyser comme le résultat un travail collectif dans lequel ont prit part : des lobbyings de la presse et d’une certaine société civile et les composants de la coalition MACKY2012. Voila ce qui peut être admis comme une analyse et raisonnement scientifique ou une lecture politique loin d’être erroné à tous point de vue.
Si l’’adhésion totale des sénégalais à la candidature de Macky pour le porter au pouvoir, est issue des 3 années de tournées dans tous les coins et recoins du Sénégal comme ses affidés et autres mauvais analystes s’efforcent à le faire croire à l’opinion, devait se matérialiser par une victoire dés le 1er tour ou au moins sortir 1er dés le 1er tour.
Les analystes et observateurs de la politique oublient toujours qu’il était trop facile pour Macky de tourner la page PDS, pour la simple raison qu’il n’a rien de fraternel, d’authentique et de profond qui le lie réellement avec le PDS.
Le passage de Macky au PDS fut juste une parenthèse heureuse de sa vie politique et qui l’a conduit là où il est présentement au sommet de l’Etat. Ce n’est pas un secret, tout le monde sait que Macky fut un produit de la gauche sénégalaise plus précisément d’AND DIEUF ou AJ de Landing Savané avant de venir se reconvertir au PDS de manière radicale du maoïsme au libéralisme. Et pourtant malgré tout, les politicologues ne trouvent rien à dire de ce parcours atypique, si non que des louanges qui enseignent rien en sciences politiques.
Par conséquent aujourd’hui personne ne peut dire avec exactitude dans quelle système ou vision idéologie le Président conduit le Sénégal dans sa politique étatique et économique et également avec quelle idéologie fonctionne le parti APR. on pourrait comprendre ou interpréter cette confusion des idéologies dans la gestion actuelle du pays et à l’intérieur de l’APR comme étant la résultante un choc de différentes idéologies issues d’un parcours politique.
Contrairement à Macky Sall, Idrissa Seck n’a connu autre parti que le PDS et autre idéologie qui n’est le libéralisme. Comment peut-on imaginer qu’Idrissa puisse d’un coup de baguette magique faire comme si toute sa vie politique qui ne s’est effectuée au PDS, soit jetée d’un coup comme un rêve le temps un sommeil et qui s’estompe juste au réveil. La relation Idy-PDS est authentique, fraternelle et très profonde politiquement.
Le fait-il que Idrissa Seck ait eu à déclarer que sa famille naturelle c’est le libéralisme, qu’il est actionnaire majoritaire du PDS (bien évidemment après Wade), qu’il compte s’appuyer sur cette famille pour arriver au pouvoir, renseigne de son attachement à cette famille que l’on confonde avec Wade. Persister dans cette constance par rapport à ses propos, pourquoi cela devrait-il être vu comme un scandale ou une incohérence politique par les journalistes et les adversaires politiques. Cette relation historique et fraternelle aide à comprendre et de prévoir avec très fortes probables retrouvailles entre le REWMI et le PDS qui ne sont qu’un en plusieurs. Ce qui reste à savoir, c’est comment et quand pour les retrouvailles ?
Sa fidélité à sa vision politique et à ses convictions, depuis les bouleversements intervenus dans son parcours politique en 2004 jusqu’à ce jour, font qu’Idrissa Seck s’est tracé une voie politique qui incarne une 3e VOIE qu’on peut qualifier d’une posture : A MI-CHEMIN ENTRE LE POUVOIR ET L’OPPOSITION. Cette posture de ni dans le pouvoir ni dans l’opposition est la posture du juste milieu. Cela fait qu’Idy soit tout à fait à l’aise pour pouvoir critiquer le pouvoir quant il le faut et de pouvoir se démarquer des positions de l’opposition quant il n’est pas en phase avec ses initiatives politiques contre le pouvoir.
L’ensemble éléments de la démonstration de cette 3e VOIE, échappant aux politiciens, aux journalistes et observateurs de la scène politique, fait que tout ce beau monde et plus particulièrement cette incongruité de coalition BENNO BOK YAKAR ne puisse comprendre comment ce fait-il qu’un responsable politique de la trempe d’Idy comme Jean Paul Diaz aime le qualifier d’homme intelligeant, d’ECOFI, de sciences PO, d’homme de l’entreprise et d’auditeur, puisse porter des critiques sur la gestion faite par une coalition où il est membre à part entier.
Cette posture politique à mi-chemin entre le pouvoir et l’opposition aussi délicate et aussi difficile à tenir, n’est possible que quand celui qui s’y exerce à l’incarner possède une vision claire de ce qu’il fait, les convictions solides par rapport à sa démarche et le tout reposant sur un plan de carrière bien établi.
De toute l’histoire politique du Sénégal, seul Idrissa Seck ait incarné et maintenu une telle posture d’équilibriste des années durant sans se soucier des incompréhensions que cela suscite auprès des conservateurs de système politiques figés dans le classicisme et entre autre souvent archaïques pour certains d’entre.
On se posera toujours et sans cesse la question de savoir : à quand pour les intellectuels africains et sénégalais en particulier pour comprendre que le rôle 1er d’un intellectuel est de créer ou d’innover des concepts de développement, de faire évoluer les méthodes de gestion et en fin de comprendre que chaque pays comme chaque personne doit se frayer son propre chemin pour atteindre son but ou ses objectifs.
Arrêtons de singer le colonisateur jusque dans ses tares et ses mœurs incompatibles à nos réalités.
Idrissa SECK a le vécu, le parcours et et les qualités intellectuelles requises pour être bon très bon et excellent dans tous les domaines pour la gestion d'un Etat. les signes et les symboles de la médiocrités sont constatables facilement chez d'autres politiciens à travers leurs carences dans biens des domaines. suivez mon regard.
Dié
En Mai, 2013 (12:02 PM)Luisinane
En Mai, 2013 (12:14 PM)Malik
En Mai, 2013 (12:16 PM)Yesss
En Mai, 2013 (12:34 PM)J'en Sais Trop
En Mai, 2013 (13:01 PM)Que DIEU nous préserve de ce DANGER qui guette le SENEGAL ...AMEN
Paranoya
En Mai, 2013 (13:03 PM)Borom Gualem Gui
En Mai, 2013 (13:26 PM)John
En Mai, 2013 (13:28 PM)Deug-deug
En Mai, 2013 (13:35 PM)Thièy Idy...
En Mai, 2013 (13:54 PM)Miss
En Mai, 2013 (13:58 PM)Deugdeug
En Mai, 2013 (14:26 PM)Citoyen_lamda
En Mai, 2013 (14:50 PM)"Waaye Waaye Waaye IDY nopal niou" les sénégalais ont choisi Macky Sall pour diriger le pays.
Tes 8% de la dernière présidentielle de 2012 t'ont disqualifié à jamais.
Il n'y a qu'un seul Président au Sénégal et il s'appelle Macky SALL.
Alors, arrêtes de jouer au Président et de te faire appeler Président car tu ne l'es pas et tu ne présides que ton parti. Et un président d'un parti politique n'est pas un président de la République.
Tu peux leurrer les membres de Rewmi mais tu ne pourras jamais leurrer les sénégalais.
Va rejoindre l'opposition et reviens te présenter dans 7ans. Alors arrête de te regarder dans ton petit miroir et de nous pomper l'air et de jouer au Président sans mandat, sans palais, sans "gornement".
PS: Je ne suis ni de l'APR, ni du PDS mais tout simplement un citoyen qui en a marre de ta malhonnêtement et de ton "dioublang"
Ady
En Mai, 2013 (14:55 PM)Assilum
En Mai, 2013 (15:48 PM)Deug-deug
En Mai, 2013 (16:27 PM)Moo
En Mai, 2013 (17:05 PM)mais je pense que les senegalais ne st plus ignorents
Titi
En Mai, 2013 (17:50 PM)Gadaye
En Mai, 2013 (18:18 PM)Idylogue
En Mai, 2013 (21:12 PM)Participer à la Discussion