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Politique

RIEN NE VAUT UNE PAIX DURABLE ET LA STABILITE DE NOTRE NATION

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RIEN NE VAUT UNE PAIX DURABLE ET LA STABILITE DE NOTRE NATION
Il existe des moments de l’histoire de la vie d’une nation où le peuple a besoin de grands hommes, de leaders confirmés, avertis qui, sans émotion ni passion, sont suffisamment imbus de valeurs, de clairvoyance et de hauteur d’esprit pouvant leur permettre de faire abstraction de leur prestige personnel pour orienter et guider leurs compatriotes en prenant des mesures qui, quoique difficiles, sont absolument essentielles pour la survie et le prestige de la nation.

Le report de l’élection présidentielle, votée par l’Assemblée nationale suite à une proposition de loi constitutionnelle initiée et défendue par des députés de l’opposition demeure, quoi qu’en disent ou pensent certains, une décision de très haute portée dans le contexte actuel. 

Il est vrai que le Sénégal a, jusque-là, connu, des périodes pré et post électorales plus ou moins tendues mais force est d’admettre, pour ceux qui en ont encore la lucidité, que jamais, dans l’histoire de notre pays, des institutions aussi importantes et prestigieuses ne s’étaient encore autant, ouvertement, confrontées sur des sujets aussi sensibles que des suspicions fondées ou non, de corruption de magistrats d’aussi hauts rangs.

La disqualification, en elle-même, d’un candidat, par le Conseil constitutionnel n’est nullement, comme certains veulent le faire croire à l’opinion, la raison qui fonde et qui a conduit au décalage de la tenue de l’élection présidentielle. S’il est avéré que des candidatures, ne remplissant pas les exigences légales, ont toujours fait l’objet de rejet par le Conseil constitutionnel, il n’en demeure pas moins que jamais dans l’histoire de notre pays une contestation d’une décision du Conseil constitutionnel n’a été soutenue sur la base d’accusation ouverte de corruption active de membres dudit Conseil. 

De telles gravissimes accusations, avec tout ce qui en est suivi et les conséquences irrémédiables qu’elles allaient, inévitablement, engendrer, justifient amplement la dérogation apportée visant à décaler, de quelques mois, l’élection présidentielle afin de lui garantir toutes les conditions de sérénité, de fiabilité, de transparence et d’inclusivité. 

Malheureusement, des membres d’une certaine opposition sénégalaise, au funeste dessein, préfèrent, sans retenue aucune, rejeter, de manière systématique, aveugle et impropre, toutes les considérations de droit et de fait qui fondent le caractère impérieux d’éviter une situation conflictuelle ouverte, qui, si elle devait perdurer, allait porter de graves atteintes au fonctionnement régulier de nos institutions et menacer durablement la stabilité de notre pays dans un contexte de vulnérabilité sécuritaire où des groupes organisés sont à l’affut et guettent, inlassablement, la moindre opportunité pour faire basculer notre pays dans des dérives et parachever leur tentative de déstabilisation.

Ces hommes politiques membres de cette opposition vendeuse d’illusion, adepte de la manipulation des masses et qui, obnubilée par la quête du pouvoir et très peu soucieuse de la stabilité du pays, de ses institutions et de la vie de nos jeunes compatriotes, sont accompagnés et soutenus par d’autres politiciens encagoulés se disant membres d’une certaine société civile ayant fini de convaincre sur son caractère partisan et sa propension à se mettre aux services et à la solde de groupes étrangers aux intérêts inavoués.

Les ennemis de notre pays, DIEU sait qu’il y en a, après avoir vainement tenté de nous déstabiliser par différents moyens, ont fini de jeter leurs dévolus sur le jeu politique et la remise en cause de l’islam confrérique au Sénégal qu’ils semblent avoir identifiés comme les seules niches pour accéder à leurs fins d’opposer les sénégalais entre eux et de saper les efforts, jusque-là, menés par les différents régimes pour promouvoir notre bien-être commun dans un commun vouloir de vie commune.

Aucun sénégalais ne devrait accepter de mettre en péril ce leg important d’une nation soudée autour d’un idéal de vie commune dans le respect de nos valeurs, de nos anciens, de nos chefs religieux mais aussi et surtout de nos institutions. Nous devons plus que jamais les épargner et les préserver pour notre intérêt commun afin d’éviter le chaos. 

Aucun des pays qui nous entourent, ni encore moins ceux, en Afrique, qui exploitent des richesses aussi convoitées que certains minerais précieux, le pétrole, le gaz etc…n’a su se préserver de la déstabilisation. 

Chacun d’entre nous a une partition à jouer, à cet effet, et le Chef de l’Etat, plus que quiconque, a une responsabilité historique à assumer.

C’est pourquoi nous devons, autant que nous sommes, lui faire entière confiance, le soutenir et l’aider à l’assumer entièrement pour le bénéfice de notre cher pays qui en aucune manière ne devrait sombrer.

Le Président Macky SALL, investi de la confiance des sénégalais, nous a, plus que jamais, rassuré sur sa volonté inébranlable de ne pas laisser sombrer notre pays et de se battre jusqu’à la fin de son magistère pour préserver l’unité de la nation, la cohésion sociale et les institutions de la République au risque de sacrifier son prestige et égratigner son aura personnelle face à l’intérêt supérieur de la nation. 

C’est bien cela qui est attendu d’un bon dirigeant et qui constitue une des marques des grands hommes. Certains, parce-que n’ayant pas bien compris ou bien cerné tous les enjeux, peuvent, parfois de bonne foi, lui être hostile et le critiquer, à tout va. D’autres, cependant, mettront plus en avant leur appartenance à un camp ou un courant politique pour faire valoir, en toute circonstance, une opposition systématique, farouche, ostentatoire et nihiliste. 
  
Nous avons tous l’obligation citoyenne de comprendre, d’admettre et d’accepter que le Chef de l’Etat est la clé de voute des institutions de notre nation, c’est lui qui incarne la volonté du peuple, qui est garant de l’unité et de la stabilité de l’Etat. Son rôle est crucial dans la prise de décisions difficiles et dans la défense des intérêts nationaux surtout dans les moments critiques de l’histoire.

Le Chef de l’Etat occupe une position centrale dans le système institutionnel de notre pays. Son leadership, sa sagesse et son engagement envers le bien commun sont essentiels pour assurer la stabilité et le progrès de notre nation.

Aujourd’hui, le Président Macky SALL qui a réaffirmé sa décision historique et inédite d’organiser une élection présidentielle à laquelle il ne prendra pas part, a fait un appel à l’ensemble de la classe politique afin d’engager un dialogue devant permettre de surmonter certains clivages, dissensions, incompréhensions et dysfonctionnements pouvant gravement nuire à la stabilité de notre pays du fait, notamment, des velléités de contestations post électorales qui demeurent, à l’heure actuelle, très nettement perceptibles.

Le dialogue est un outil puissant pour construire des ponts et résoudre des problèmes en promouvant la paix et la compréhension dans un monde aussi complexe. Il offre une plateforme pour résoudre des différends de manière pacifique et constructif. En écoutant activement et en cherchant des compromis, les parties au dialogue peuvent trouver des solutions qui répondent aux besoins de tous.

Ces concertations auxquelles nous appelle le Chef de l’Etat, en cela qu’elles aboutiront à la tenue, en décembre 2024, d’une élection sereine, libre, transparente et inclusive, devraient mobiliser tous les acteurs de la vie politique, sociale et institutionnelle du pays, soucieux du devenir de notre nation. Nous devons, aujourd’hui, plus qu’hier, taire nos querelles partisanes, nous démarquer, pour l’intérêt de la nation, de nos ambitions personnelles.   

C’est à ce prix que le Sénégal continuera à faire l’exception, en Afrique, notamment au sud du Sahara, d’un jeu politique avec des acteurs à la hauteur et des joutes électorales ne compromettant, nullement, la survie de notre peuple et le bon fonctionnement de nos institutions, au grand dam de nos ennemis. 

Alioune NDOYE
Ministre de l’Environnement, du développement durable et de la transition écologique
Maire de Dakar-Plateau



25 Commentaires

  1. Auteur

    Dofou Texas

    En Février, 2024 (23:00 PM)
    Alioune Ndoye, le maire qui a fait un arrêt municipal pour bloquer l'avenie Petersen pendant presque 5 ans juste pour faire plaisir à ses amis(electeurs) anarchistes. Tu as détruit des milliers de commerces  à Dakar Plateau et tu sais très bien que après Macky ce sera le tour de mauvais maires et députés comme toi de déguerpir. Donc on a pas de leçon à prendre de toi. 
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    • Auteur

      Reply_author

      En Février, 2024 (01:40 AM)
      Voilà exactement le type d'hommes politiques dont nous ne voulons plus. Avec tout ce qu'il s'est passé dans ce pays c'est maintenant qu'il prend sa plume. Penser que les gens qui ne sont pas impliqués en politique sont moins intelligents est une grande erreur. Avec toutes les dérives enregistrées vous voulez nous faire croire que l'intérêt du peuple sénégalais vous intéresse? Faites votre carrière et passez. Votre temps est révolu. Nous voulons mieux et avons plus d'ambition pour ce pays que des carriéristes obnubilé par les postes et avantages.
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    • Auteur

      Reply_author

      En Février, 2024 (01:50 AM)
      Toujours à chercher à jouer un coup politique. Moi d'abord. Si j'y gagne donc c'est bon. Si je n'y gagne pas donc ce n'est pas bon. Le Sénégal mérite mieux. Il faut renouveler le personnel politique. On est en 2024. On ne veut plus de "qu'est ce que j'y gagne" et de "moi d'abord". On veut des "le Sénégal d'abord", "la patrie d'abord". 
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      Reply_author

      En Février, 2024 (03:37 AM)
      Monsieur Ndoye un peu de dignité.
      Des annèes durant vous etiez parmi ceux qui encourageaient la fermeté et le mepris envers des senegalais qui n'ont d'autres torts qu'aimer leur pays. 
       
      Au lieu d'etre l'exception et de prodiguer ces conseils aux membres de Benno, tu avais preferé d'etre arrogant. SVP garder votre dignité jusqu'au bout. C'est parceque les patriotes aiment ce pays qu'ils ont voulu allé aux elections ce 25 Fevrier avec dignité.
       
      Dites à votre president de respecter le calendrier electoral. Personne ne vous maintenant vous et votre president. Vous avez trop abusé de la patience des Senegalais. 
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    • Auteur

      Reply_authormmactar

      En Février, 2024 (19:33 PM)
      Mon cher si vraiment tu ne sais pas remarquer le bien du mal ...le bosseur du léthargique .... fallait pas essayer de juger .....c'est le meilleur des maires possibles..alors faut aller salir ailleurs.
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      Reply_author

      En Février, 2024 (11:12 AM)
      Dofou Texas linga wakh d'où deugg le Ministre Maire Alioune NDOYE fermé woul Av Petersen pendant 5 ans lolou amoul oubli naka depuis 2020 Préfe Dakar moko fermé 2 Rue Av Petersen é Rue Valmy pour Travaux BRT de léne wakh deugg ndakh khamné nguéne lépp mais diabolisé rék mo Takh ngaye wakh li té kham ngané lingaye wakh d'où deugg
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    • Auteur

      Reply_author

      En Février, 2024 (11:12 AM)
      Dofou Texas linga wakh d'où deugg le Ministre Maire Alioune NDOYE fermé woul Av Petersen pendant 5 ans lolou amoul oubli naka depuis 2020 Préfe Dakar moko fermé 2 Rue Av Petersen é Rue Valmy pour Travaux BRT de léne wakh deugg ndakh khamné nguéne lépp mais diabolisé rék mo Takh ngaye wakh li té kham ngané lingaye wakh d'où deugg
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      Reply_author

      En Février, 2024 (11:12 AM)
      Dofou Texas linga wakh d'où deugg le Ministre Maire Alioune NDOYE fermé woul Av Petersen pendant 5 ans lolou amoul oubli naka depuis 2020 Préfe Dakar moko fermé 2 Rue Av Petersen é Rue Valmy pour Travaux BRT de léne wakh deugg ndakh khamné nguéne lépp mais diabolisé rék mo Takh ngaye wakh li té kham ngané lingaye wakh d'où deugg
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  2. Auteur

    En Février, 2024 (23:11 PM)
    Boffff, je ne perds pas mon temps avec ces torchons !
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      Borom Ndakaru Ak Liko Weur

      En Février, 2024 (23:46 PM)
      Tu n'arriverais jamais à lire et comprendre. C'est le meilleur Maire qui a ecrit,😎
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    Auteur

    Mafé Ndiaye

    En Février, 2024 (23:32 PM)
    Une honte pour les AET. Manges et laisses-nous en paix.
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    Wa Plateau

    En Février, 2024 (23:42 PM)
    Fier de notre Maire et ministre. Tout le Plateau est derrière vous. Vous n'avez pas une loyauté de circonstance. 

    Merci bcp pour ce beau texte 
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    Auteur

    Ngala

    En Février, 2024 (23:43 PM)
    Toi, je n' ai pas lu ton torchon. En te regardant on se demande toujours si tu n'as pas quelque chose de coincé dans le tuyau, peut etre quelque chose que Macky a oublié la bas. Va chier, ca devrait aider.

    Plus serieusement, vous nous prenez pour qui? vous vous prenez pour qui? La prochaine fois que vous reviendrez avec ce genre de contribution vous aurez des insultes de mere. Macky degage le 2 avril 2024. Un point c est tout.
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    • Auteur

      Reply_author

      En Février, 2024 (00:01 AM)
      Allez demander aux occupants de ses commerces le sort qui leur a été réservé dans la volonté du maire de réfectionner le marché . Si vous vous êtes réfractaire au development sa vous engage  De boutique mbague le Maîre Alioune NDOYE leur a offert une stabilité de leurs activités  avec plus de sécurité et dignité en leur donnant des cantines. Soyons plus sérieux 
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    • Auteur

      Ngala

      En Février, 2024 (00:16 AM)
      Je ne suis pas Dofou Texas. Je m'en fous des cantines du maire, mon probleme c est Macky et le 2 avril 2024. M Ndoye est peut etre un bon maire, c est possible. Mais une personne decente ne doit pas defendre l'indefendable.
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    Auteur

    Borom Ndakarou

    En Février, 2024 (23:48 PM)
    Vraiment ce pays est rempli de gens méchants, haineux dont la réflexion ne dépasse le bout du nez

    Voilà un Ministre très compètent, loyal et solidaire dans l'action gouvernementale. 

    Également un bon Maire voire un excellent maire au service exclusif de sa population. 

    Tous les habitants de Dakar-Plateau adhérent à ces positions et orientations 

    Bravo Ndoye, doxalale ba kène lale de 💪💪💪
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    Auteur

    Dramane

    En Février, 2024 (23:53 PM)
    Salam salam mr le Ministre je ne suis qu'un simple citoyen ordinaire dont  votre narratif aux contursions multiples et élogieux ne m'ont ete insensible, maïs ne pensez vous pas qu'il devait se faire à des moments  plus appropriés ou la cohésion nationale sentait de fragmentation? mais vous c'est-à-dire votre camp avait fait fi de la volonte de citoyens même s'ils étaient peu nombreux argant tout simplement la légitimité qui en réalité vient de la contribution de ce petit nombre. Je crois que cette parttie du peuple meritait le  respect  mais le langage va t'en en guerre et le fait de s'interdire toute modestie " Force doit rester a la loi, les manigances et autres roublardises dont le plus petit citoyen lamda pouvait tirer son analyse ont exacerbé la situation avec la manière abjecte de faire la politique en les complotant sur le dos du peuple . Monsieur vous nous avez habituer a clignoter a gauche pour tourner à droite si vous voulez reparer les torts faites au peuple vous savez comment y parvenir mais pour l'amour de notre peuple 10 mois encore avec ce regime c insoutenable. 

    Organisez le elections dans le mois de mars sinon au plus tard mai mais en moment avec un gouvernement dont les postes de l'intérieur, la justice et les collectivités territoriales seront entre des mains neutre. Un citoyen lamda qui essaye de donner son point de vue. Merci de m'avoir offert cet opportunité. 
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    Auteur

    Militants Socialistes

    En Février, 2024 (00:10 AM)
    Le Parti Socialiste est un grand parti donc tous ses membres y compris l'excellent Ministre de l'Environnement et Maire de Dakar-Plateau en fait parti. 

    Nous sommes disposes à accompagner le Parti et le Ministre dans toutes ses entreprises parce qu'il est imbu des valeurs socialistes tels que la générosité, la loyauté et l'engagement envers son pays et la République 

    Le chien aboie et la caravane passe. Vous resterez un homme digne et loyal 
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    Auteur

    Abdoulaye Kassé, Citoyen Sénég

    En Février, 2024 (00:12 AM)
    Nous saluons votre ouverture d'esprit, vos orientations et votre leadership. Au regard de vos nombreuses réalisations dans votre commune et dans votre département ministériel, les sénégalais ont de quoi être fier de vous. rien ne peut empêcher les gens de parler mais vous faites ce que vous avez à faire avec sincérité, honnêteté et engagement, qualités en voie de disparition dans notre société.toute œuvre humaine est perfectible mais quelque soit le baromètre utilisé, force est de constater que le Sénégal de 2012 et différent de celui de 2024 et vous y avait pleinement contribué. 
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    Auteur

    Citoyen Modèle

    En Février, 2024 (00:12 AM)
    Le plus grand républicain de la classe politique sénégalaise. Bravo au Ministre pour votre sens élevé de la République et d'amour de la patrie
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    Borom Hann Bel Air

    En Février, 2024 (00:35 AM)
    Monsieur le maire et ministre compétent qui fait la fierté du Parti socialiste 
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    Jeune Du Plateau

    En Février, 2024 (00:59 AM)
    Vous êtes le seul maire qui ose faire une promenade dans sa propre commune sans garde du corps car la population de dakar plateau est très fière de vous et à une très grande estime envers leur maire
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    Auteur

    Awa Suzbarham

    En Février, 2024 (01:03 AM)
    Toute personne réfléchie peut aisément analyser la situation du pays et voir le bien-fondé de ce report car rien ne vaut un pays en paix et stable.
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    Auteur

    Tonghor

    En Février, 2024 (01:15 AM)
    J'adhère â cette belle proposition de se retrouver autour de l'essentiel c'est â dire que toutes les forces vives de la nation participent au Dialogue national afin de s'accorder sur un processus électoral et ainsi aller â la présidentielle de 2024 dans un scrutin calme , paisible , inclusif , sincère, d'où le verdict des urnes seulement sortira le 5eme président du Sénégal.  Bravo  monsieur le ministre pour ta pertinente réflexion.  Tu as fait tes preuves d'excellent manager dans le privé avant d'être le meilleur Maire du Sénégal et ensuite un des meilleurs ministres du gouvernement du président Maky Sall. 
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    Auteur

    @tab From Doulobou

    En Février, 2024 (04:22 AM)
    On approuve...excellent texte!

    Nous n'en attendions pas moins de Mr le Maire Alioune Ndoye.

     
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    Auteur

    Souba Teel

    En Février, 2024 (04:47 AM)
    La seule chose à faire : respecter le calendrier républicain. Sius un prétexte fallacieux, vous sabotez notre démocratie, pour venir ensuite tenter d'endormir les citoyens lucides avec des arguties de bas étage. Stop le jeu a assez duré ! 
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    Auteur

    En Février, 2024 (07:48 AM)
    Quel honte quand on peut pas dénoncer l'injustice ouvertement on se tait ce monsieur n'a aucune dignité ! 
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    Auteur

    Dembus

    En Février, 2024 (09:01 AM)
    Un texte dépourvu de toute verve intellectuelle. Rien de profond. Juste reprendre bêtement les arguments désossés (incapables de tenir debout) de son bienfaiteur. Ah, le quota lébou du gouvernement du monstre. Hi hi hi hi hi..!
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    Auteur

    En Février, 2024 (09:26 AM)
    Nous apprecions à sa juste valeur cette declaration du Ministre ALIOUNE NDOYE. Puisse le TOUT MISERICORDIEUX sauver notre tres cher pays le SENEGAL. AMINE YA RABBIL ALAMINE
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    Auteur

    Je Suis De Grand Yoff

    En Février, 2024 (09:58 AM)
    Merci pour la pertinence de votre discours, ceux qui cherchent la paix peuvent vous comprendre. Vous êtes un  homme d'état très responsable, heureusement que vous n'avez pas l'esprit d'un gamin qui cherche à tout prix à brûler ce pays et insulter les dirigeants, je suis joyeuse que vous ne faites pas parti des immatures.
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    Auteur

    Léo Sedar

    En Février, 2024 (10:17 AM)
    Beaucoup d'estime et de considération pour ce grand monsieur, grand républicain imbu de valeurs et convictions socialistes. En plus d'être élégant il est connu de tous que le Ministre Ndoye est un Grand bosseur. En témoigne ses résultats à la tête de la Mairie de Dakar Plateau et au ministère de l'environnement. Le Sénégal peut compter sur lui
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    Auteur

    En Février, 2024 (11:03 AM)
    Merci pour cette lucidité 

    Merci beaucoup. Ce texte de haute facture s adresse bien évidemment aux compatriotes reflechis qui ne sont victimes d aucune manipulation. Rien ne vaut la stabilité de notre cher SÉNÉGAL
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    Auteur

    Fifi Bou Alioune Ndoye

    En Février, 2024 (17:13 PM)
    C'est toujours un plaisir de lire vos textes qui s'adresse à la population Sénégalaise réfléchis.

    Vous êtes un homme exemplaire qui œuvre pour le bien être de la nation en commençant par votre commune.

    Vous êtes digne intégre respectueux et surtout honnête. 

    Le Sénégal a besoin des hommes comme vous et son Excellence Monsieur Macky Sall pour  préserver la paix et la stabilité dans  ce pays.

    Nous habitants de Dakar Plateau sommes fières de vous.

     
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    Auteur

    Ancien Enfant De Troupe

    En Février, 2024 (18:45 PM)
    Réponse à Monsieur Ndoye Ceci est une petite contribution en réponse à une tribune intitulée "Rien ne vaut une paix durable et la stabilité de notre nation". De l'auteur L'auteur est donc le ministre de l'Environnement et le maire du Plateau. À ces titres, il est très peu qualifié pour la circonstance. Concernant le ministre, le rayon de ses attributions est tellement large qu'on l'aurait attendu beacoup plus sur les lancinantes questions environnementale comme la mort programmée de la bande des filaos ou la disparition suspecte des oryx par exemple. Par ailleurs, le gouvernement et la Présidence ont, chacun, un porte-parole. Concernant le maire, l'image hideuse de la capitale avec ses problèmes structurels  d'encombrement, de congestion urbaine, de salubrité et de promiscuité, devraient l'occuper presque exclusivement. Le trou béant de Sangada symbolise le mal développement urbain et tous les défis relatifs à la préservation du patrimoine de l'ancienne capitale de l'Aof. En réalité, la transparence aurait commandé que le texte fut signé par le responsable politique et membre éminent d'un parti historique qui s'est vassalisé au point de renoncer, une deuxième fois, à la course à la Présidence. Masquer cette casquette relève d'une forme de duperie ou de malhonnêteté intellectuelle. Enfin, faut-il rappeler que l'auteur a  récemment baptisé une des principales avenues de la ville au nom du Président en exercice. La  cérémonie pompeuse et folklorique qui s'en est suivie pourrait entacher l'objectivité du texte et le faire passer pour un énième acte  d'allégeance au Prince. Enfin, le patron de l'auteur aime rappeler à ses troupes la nécessité voire l'obligation de le défendre, d'aller au contact et de "mouiller le maillot". Ainsi, beaucoup ont obtenu des promotions ou gardé des postes uniquement par ce fait et non par leurs compétences. Par ailleurs, le prolongement (illégal) du mandat, entraînant celui du bail ministériel, allez savoir alors les motivations réelles de l'auteur. Mais, pour éviter tout jugement primesautier ou ad hominem, interrogeons-nous sur le texte. Sur la forme Le père Léo (ancêtre et maitre des socialistes) avait même pris des décrets relatifs à la rédaction administrative mais aussi sur le bon usage des mots. Ainsi, lorsqu'il est substantif, le mot designant la  nationalité s'ecrit avec une majuscule (donc, Sénégalais). Aussi, certaines légèretés avec la langue ne sont pas acceptables de la part d'un ancien èleve au Prytanée. La longueur excessive de certaines phrases et leur récurrence n'aident pas à la compréhension. J'espère que ce n'est pas fait à dessein. Sur le fond Le texte cherche à la fois, à défendre le Président de la République, jeter l'opprobre sur l'opposition, justifier ou masquer un coup d'état constitutionnel et faire un appel au dialogue avec un chantage à peine masqué. C'est là où l'exercice devient périlleux et la mission impossible. La spécioté se lit dès le deuxième paragraphe qui parle de la "proposition de loi constitutionnelle initiée et défendue par des députés de l’opposition". Ceci est une demi-verité car il s'agit non pas d'une partie de l'opposition mais d'un parti bien spécifique (PDS) encouragé et soutenu par la majorité. De plus, cette majorité mécanique ne suffisant pas, il a fallu rajouter l'apport de supplétifs armés pour faire passer, en force cette proposition de loi frappée d'illégalité et d'illégitimité. C'est alors, un quart de vérité. Aussi, ce n'est pas dire toute la vérité que de parler de suspicion de corruption de hauts magistrats en occultant volontairement le corrupteur présumé. Ce corrupteur putatif, cité nommément dans l'exposé des motifs, est pourtant le premier ministre du gouvernement dans lequel siège le ministre rédacteur. En outre, partir de simples allégations (sans preuve aucune) de corruption de membres du Conseil constitutionnel pour justifier le report unilatéral de la Présidentielle me semble un peu fort de café. Le texte n'éclaire pas en ce sens qu'il ne permet pas de distinguer de manière nette ceux qu'il fustige. Jëw baaxul ! Gaaruwaale baaxul ! Il n'est pas du registre du courage ou de la noblesse que de calomnier ou jeter la suspicion sur un groupe (une certaine opposition que l'on refuse de nommer). Par ailleurs, le registre de langage et le champ sémantique utilisé pour décrire "une certaine opposition" est insultant et accusatoire à son égard. Il ne semble pas que ce soit la manière la plus avisée de l'appeler au dialogue. Nous aurions aimé que "les "ennemis de notre pays" fussent identifiés et désignés clairement par ceux qui disent détenir, non pas l'information, mais le renseignement. Autrement, c'est installer un climat délétère de suspicion et de méfiance. Paradoxalement, c'est l'un des buts du terrorisme que monsieur Ndoye prétend dénoncer. L'auteur nous exhorte à faire confiance à un homme à la parole labile qui ne respecte ni serment, ni promesses et qui viole souvent la loi. Ce sera difficile voire impossible car chat échaudé craint l'eau froide. Quant à l'unité nationale, la cohésion sociale et le respect des institutions, chaque Sénégalais peut mesurer l'état déliquescent dans lequel le président et son régime les ont mis. Ressasser une "décision historique d'organiser une élection à laquelle il ne participera pas" est assimilable à un couteau qu'on remue dans la plaie. En effet, aucun homme digne ne devrait se vanter de renoncer à une chose à laquelle il n'a pas droit. Heureusement que nous savons lire... la Constitution. Nous ne sommes pas amnésiques non plus et les images du monsieur qui a dit, répété et écrit qu'il en était à son "second et dernier mandat" (sic) sont encore là. À nos oreilles, résonnent encore les paroles péremptoires de celui qui fut, il y a bien longtemps, un professeur de droit respecté et un honnête homme. Oui, pour le dialogue quant à ses vertus et sa nécessité. Mais il requiert, comme préalable, une certaine "éthique" de la discussion ainsi que la négociation des issues ou résultats. Ici, il semble qu'il s'agisse plutôt de l'acceptation sans conditions, de la banalisation et du blanchiment d'une forfaiture prise comme déjà actée (l'annulation des élections de février et le prolongement illégal et illégitime du mandat présidentiel). Alors que le décret présidentiel et la loi votée à l'assemblée nationale font l'objet de recours, monsieur le maire les tient déjà pour acquis et définifs. Cette manière d'imposer sa volonté et non celle du juge, des juges est une autre forfaiture qui s'ajoute aux deux autres. Dont acte. C'est par une vision manichéenne que l'auteur affirme que les résultats miraculeux du dialogue se feront "au grand dam de nos ennemis" (sic). Nous souhaiterions que cela fut plutôt au grand bonheur des Sénégalais qui, pour la très grande majorité, condamnent le viol de leur constitution et le coup de force qu'on tente vainement de leur imposer. À quelques semaines de la fin de son ministère, monsieur le ministre devrait prioritairement nous faire une contribution sur le bilan et l'évaluation de son action pour l'Environnement, la préservation et la valorisation des ressources naturelles (notamment halieutiques). Un citoyen sénégalais
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    Auteur

    Ancien Enfant De Troupe

    En Février, 2024 (18:45 PM)
    Réponse à Monsieur Ndoye Ceci est une petite contribution en réponse à une tribune intitulée "Rien ne vaut une paix durable et la stabilité de notre nation". De l'auteur L'auteur est donc le ministre de l'Environnement et le maire du Plateau. À ces titres, il est très peu qualifié pour la circonstance. Concernant le ministre, le rayon de ses attributions est tellement large qu'on l'aurait attendu beacoup plus sur les lancinantes questions environnementale comme la mort programmée de la bande des filaos ou la disparition suspecte des oryx par exemple. Par ailleurs, le gouvernement et la Présidence ont, chacun, un porte-parole. Concernant le maire, l'image hideuse de la capitale avec ses problèmes structurels  d'encombrement, de congestion urbaine, de salubrité et de promiscuité, devraient l'occuper presque exclusivement. Le trou béant de Sangada symbolise le mal développement urbain et tous les défis relatifs à la préservation du patrimoine de l'ancienne capitale de l'Aof. En réalité, la transparence aurait commandé que le texte fut signé par le responsable politique et membre éminent d'un parti historique qui s'est vassalisé au point de renoncer, une deuxième fois, à la course à la Présidence. Masquer cette casquette relève d'une forme de duperie ou de malhonnêteté intellectuelle. Enfin, faut-il rappeler que l'auteur a  récemment baptisé une des principales avenues de la ville au nom du Président en exercice. La  cérémonie pompeuse et folklorique qui s'en est suivie pourrait entacher l'objectivité du texte et le faire passer pour un énième acte  d'allégeance au Prince. Enfin, le patron de l'auteur aime rappeler à ses troupes la nécessité voire l'obligation de le défendre, d'aller au contact et de "mouiller le maillot". Ainsi, beaucoup ont obtenu des promotions ou gardé des postes uniquement par ce fait et non par leurs compétences. Par ailleurs, le prolongement (illégal) du mandat, entraînant celui du bail ministériel, allez savoir alors les motivations réelles de l'auteur. Mais, pour éviter tout jugement primesautier ou ad hominem, interrogeons-nous sur le texte. Sur la forme Le père Léo (ancêtre et maitre des socialistes) avait même pris des décrets relatifs à la rédaction administrative mais aussi sur le bon usage des mots. Ainsi, lorsqu'il est substantif, le mot designant la  nationalité s'ecrit avec une majuscule (donc, Sénégalais). Aussi, certaines légèretés avec la langue ne sont pas acceptables de la part d'un ancien èleve au Prytanée. La longueur excessive de certaines phrases et leur récurrence n'aident pas à la compréhension. J'espère que ce n'est pas fait à dessein. Sur le fond Le texte cherche à la fois, à défendre le Président de la République, jeter l'opprobre sur l'opposition, justifier ou masquer un coup d'état constitutionnel et faire un appel au dialogue avec un chantage à peine masqué. C'est là où l'exercice devient périlleux et la mission impossible. La spécioté se lit dès le deuxième paragraphe qui parle de la "proposition de loi constitutionnelle initiée et défendue par des députés de l’opposition". Ceci est une demi-verité car il s'agit non pas d'une partie de l'opposition mais d'un parti bien spécifique (PDS) encouragé et soutenu par la majorité. De plus, cette majorité mécanique ne suffisant pas, il a fallu rajouter l'apport de supplétifs armés pour faire passer, en force cette proposition de loi frappée d'illégalité et d'illégitimité. C'est alors, un quart de vérité. Aussi, ce n'est pas dire toute la vérité que de parler de suspicion de corruption de hauts magistrats en occultant volontairement le corrupteur présumé. Ce corrupteur putatif, cité nommément dans l'exposé des motifs, est pourtant le premier ministre du gouvernement dans lequel siège le ministre rédacteur. En outre, partir de simples allégations (sans preuve aucune) de corruption de membres du Conseil constitutionnel pour justifier le report unilatéral de la Présidentielle me semble un peu fort de café. Le texte n'éclaire pas en ce sens qu'il ne permet pas de distinguer de manière nette ceux qu'il fustige. Jëw baaxul ! Gaaruwaale baaxul ! Il n'est pas du registre du courage ou de la noblesse que de calomnier ou jeter la suspicion sur un groupe (une certaine opposition que l'on refuse de nommer). Par ailleurs, le registre de langage et le champ sémantique utilisé pour décrire "une certaine opposition" est insultant et accusatoire à son égard. Il ne semble pas que ce soit la manière la plus avisée de l'appeler au dialogue. Nous aurions aimé que "les "ennemis de notre pays" fussent identifiés et désignés clairement par ceux qui disent détenir, non pas l'information, mais le renseignement. Autrement, c'est installer un climat délétère de suspicion et de méfiance. Paradoxalement, c'est l'un des buts du terrorisme que monsieur Ndoye prétend dénoncer. L'auteur nous exhorte à faire confiance à un homme à la parole labile qui ne respecte ni serment, ni promesses et qui viole souvent la loi. Ce sera difficile voire impossible car chat échaudé craint l'eau froide. Quant à l'unité nationale, la cohésion sociale et le respect des institutions, chaque Sénégalais peut mesurer l'état déliquescent dans lequel le président et son régime les ont mis. Ressasser une "décision historique d'organiser une élection à laquelle il ne participera pas" est assimilable à un couteau qu'on remue dans la plaie. En effet, aucun homme digne ne devrait se vanter de renoncer à une chose à laquelle il n'a pas droit. Heureusement que nous savons lire... la Constitution. Nous ne sommes pas amnésiques non plus et les images du monsieur qui a dit, répété et écrit qu'il en était à son "second et dernier mandat" (sic) sont encore là. À nos oreilles, résonnent encore les paroles péremptoires de celui qui fut, il y a bien longtemps, un professeur de droit respecté et un honnête homme. Oui, pour le dialogue quant à ses vertus et sa nécessité. Mais il requiert, comme préalable, une certaine "éthique" de la discussion ainsi que la négociation des issues ou résultats. Ici, il semble qu'il s'agisse plutôt de l'acceptation sans conditions, de la banalisation et du blanchiment d'une forfaiture prise comme déjà actée (l'annulation des élections de février et le prolongement illégal et illégitime du mandat présidentiel). Alors que le décret présidentiel et la loi votée à l'assemblée nationale font l'objet de recours, monsieur le maire les tient déjà pour acquis et définifs. Cette manière d'imposer sa volonté et non celle du juge, des juges est une autre forfaiture qui s'ajoute aux deux autres. Dont acte. C'est par une vision manichéenne que l'auteur affirme que les résultats miraculeux du dialogue se feront "au grand dam de nos ennemis" (sic). Nous souhaiterions que cela fut plutôt au grand bonheur des Sénégalais qui, pour la très grande majorité, condamnent le viol de leur constitution et le coup de force qu'on tente vainement de leur imposer. À quelques semaines de la fin de son ministère, monsieur le ministre devrait prioritairement nous faire une contribution sur le bilan et l'évaluation de son action pour l'Environnement, la préservation et la valorisation des ressources naturelles (notamment halieutiques). Un citoyen sénégalais
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