Dans la lettre en question, le groupe de presse de Youssou Ndour, en ordre de bataille depuis avant-hier samedi, (après l’agression dont a été victime le responsable du desk Sport de la Rfm, Boubacar Kambel Dieng et un journaliste de West democraty radio), fustige le comportement de la Police. En évoquant dans la même veine la sacro-sainte liberté de presse, violée à coups de matraques, preuves à l’appui.
Contactés par nos soins, les responsables du groupe de presse n’ont pas voulu révéler le contenu de la lettre. Selon les termes mêmes de Mamadou Ibra Kane, directeur de la Rfm, "nous réservons la primauté aux destinataires de la lettre", tranche-t-il sans commentaire.
De sources proches du gouvernement, des sanctions devraient tomber dans les tout prochains jours, après les conclusions de l’enquête ouverte par la Police sur les circonstances dans lesquelles Boubacar Kambel Dieng et Karamokho Koné de « West african democracy radio (WADR) » ont été agressés par des éléments de la Brigade d’intervention polyvalente (Bip), corps d’élite de la Police nationale.
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