Les Chrétiens du monde entier célèbrent, le 25 décembre, la Nativité de Jésus-Christ. Les Ecritures saintes nous proposent plusieurs récits bibliques dont celui de Mathieu 1 : 24-25 : « Joseph s’étant réveillé fit ce que l’ange du Seigneur lui avait ordonné, et il prit sa femme avec lui. Mais il ne la connut point jusqu’à ce qu’elle eut enfanté son fils premier né, auquel il donna le nom de Jésus ».
La Nativité de Jésus que l’on appelle aussi Noël est l’une des fêtes les plus populaires du calendrier liturgique catholique. On fête la naissance de Jésus-Christ, le « Sauveur » ou encore « l’Emmanuel », autre nom tiré de l’hébreu et qui signifie « Dieu avec nous ». Venus se faire recenser dans la ville de Bethléem, Joseph et Marie trouveront toutes les places occupées dans les auberges et lieux d’accueil des voyageurs et finiront par s’installer dans une étable.
Marie met au monde l’enfant Jésus, en ce lieu. Il est emmailloté est couché au fond d’une mangeoire utilisée pour les animaux. C’est aussi l’une des plus célèbres images de Noël qui rappelle cet événement extraordinaire : la naissance de l’enfant divin sur la terre des hommes et dans un grand dénuement.
L’enfant divin dans la mangeoire, au milieu de Joseph et Marie entourés par les animaux de l’étable. C’est tout un symbole remémoré dans les millions de crèches qui seront montées dans les maisons et au cœur des églises.
Noël est représenté également dans l’imagerie populaire par le sapin enguirlandé où le Père Noël vient déposer des cadeaux. De nos jours, cet aspect profane de la fête fait l’objet d’une industrie commerciale déployée aux quatre coins du monde et déclinée dans toutes les cultures et toutes les langues. Cela est l’autre magie de Noël, celle de la naissance d’un petit enfant venu sauver le monde et que la terre entière accueille dans la joie et l’allégresse. C’est aussi pour saluer l’événement que les hommes de bonne volonté oeuvrent en ce jour en faveur de la paix.
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