La petite commune d’arrondissement de Sicap Mbao, est depuis quelque temps la cible des homosexuels, qui se livrent à des actes délictuels. La police de la localité vient de réussir un grand coup, en démantelant un vaste réseau d’homosexuels, établi dans un immeuble collectif. Une arrestation qui constitue le principal sujet de discussion chez les populations, qui s’interrogent sur ce phénomène en cours dans leur localité.
Après l’arrestation récente de deux homosexuels, surpris en pleins ébats dans maisons à Sicap Mbao, il y a une dizaine de jours, la police de la localité vient de démanteler un vaste réseau d’homosexuels. Les faits remontent au vendredi dernier, tard dans la soirée, lorsque les limiers du poste de police ont fait une descente dans un immeuble situé juste au nord de la grande mosquée de Sicap Mbao. Ces homosexuels avaient loué un appartement dans cet immeuble collectif, et s’y adonnaient souvent à des parties de jambes en l’air. Les limiers de la localité, informés de ces pratiques, n’ont pas tardé à réagir ; et de fil en aiguille, ont mis la main sur ces derniers, au nombre de huit, d’après une source proche de l’arrestation. Du côté du poste de police où ils sont toujours en garde-à-vue, l’enquête se poursuit. Une enquête qui ne sera pas une mince affaire pour les limiers de Sicap Mbao, d’après une source bien informée, parce que ces homosexuels commencent à citer des noms de hautes personnalités appartenant à leur réseau. A la tête de ce réseau très organisé, selon nos informations, un homosexuel bien connu, et qui n’a aucun complexe par rapport à son homosexualité. C’est d’ailleurs lui qui a personnellement loué l’appartement, et procédé au recrutement de jeunes homosexuels. Il a été arrêté avec ses pairs, muni d’un matériel très sophistiqué, qui leur permettraient de vivre pleinement leur sexualité. Du côté de leurs voisins, malgré l’ambiance qui régnait dans l’appartement, et les va-et-vient incessants, on ignorait qu’ils cohabitaient avec des homosexuels. « Ils étaient très gentils, et me saluaient gentiment à chaque fois qu’ils me dépassaient dans les couloirs », témoigne une des voisines, sous le sceau de l’anonymat. « Souvent, ils portaient des habits très serrés, des jeunes garçons y entraient souvent, et l’ambiance était toujours au rendez-vous, mais nous ne soupçonnions rien de ce qui s’y passait », ajoute-t-elle. «C’est le jour où la police a fait une descente, que nous avons su qu’ils étaient des homosexuels », poursuit-elle. A Sicap Mbao, la panique s’installe chez certains chefs de famille, qui estiment que si ces homosexuels continuent d’investir leur localité, les jeunes seront enclins à intégrer leur réseau.
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