
C’est un marché de 5 milliards en produits phytosanitaires construit sur du faux et de la surfacturation. Car, plusieurs produits dont par exemple l’Agrigerme, l’Agrisect et le Propoxur n’ont pas été livrés contrairement à ce que prétendent les intéressés. Au moins, 1 milliard 126 millions de francs ont été surfacturés par la société adjudicataire avec sans doute la complicité des responsables du Plan Jaxaay au ministère de l’Habitat, et du Service d’hygiène.
Le marché est sulfureux. Cette commande de produits phytosanitaires, exécutée par le ministère de l’Habitat et la Construction à la suite d’un appel d’offres restreint de novembre 2011, est un concentré de faux et de magouilles dont les conséquences pour le contribuable sont inestimables. Aujourd’hui, plusieurs éléments remettent même en cause l’existence de marché et/ou confirment son caractère fictif sur plusieurs points, au-delà des conditions assez nébuleuses liées à son attribution. Destinés au Projet de construction de logements sociaux et de lutte contre les inondations et les bidonvilles (connu sous le nom de Plan Jaxaay), plusieurs produits n’ont pas été effectivement achetés et livrés, comme le prétend l’Entreprise générale de fournitures et entretien divers (Egfed), adjudicataire de ce marché de 5 milliards F Cfa. Car, les investigations menées auprès de quelques sociétés ont permis de renforcer l’hypothèse d’un marché fictif, exécuté avec l’aval de hautes autorités du ministère de la Construction et du Service d’hygiène. La Compagnie générale de sécurité européenne (Cgse), société détentrice d’un contrat d’exclusivité d’Agrisect delta et d’Agrigerme, n’a jamais vendu ces produits à l’Egfed comme cette dernière le prétend dans sa facture définitive datée du 3 avril 2012 ainsi que le procès-verbal de réception et sa mise à la disposition du Service d’hygiène. Pourtant, la commande «livrée» est tout simplement énorme, voire fantaisiste. Car, l’Egfed soutient avoir livré 5000 litres d’Agrisect delta et 3000 litres d’Agrigerme estimés respectivement à 375 millions et 525 millions F Cfa.
Selon l’usine Ceetal, spécialisée dans la conception et la formulation chimiques, dont le siège se trouve à Saint Etienne en France, cette commande n’a jamais non plus été honorée par ses services. Jean Claude Vidal, Président-directeur général de Ceetal, confirme : «Nous n’avons jamais vendu ces produits à aucune société sénégalaise, sinon à Csge Afrique qui est notre distributeur exclusif au Sénégal depuis de très nombreuses années.» A Cgse, les recoupements ont permis davantage à asseoir le caractère faux de ce marché via ses produits, qui s’entassent encore dans ses dépôts situés dans la banlieue proche de Dakar. «Nous n’avons jamais reçu une telle commande et nous n’avons jamais fait les livraisons. En réalité, on est en face d’un marché exécuté fictivement sur la base de faux. Car, dans cette affaire, des faux documents ont été confectionnés pour masquer l’absence de livraisons de nos produits», explique-t-on. Dans les coursives de cette entreprise, on s’étrangle de rage devant cette audace des hautes autorités de l’Etat qui ont poussé l’outrecuidance jusqu’à ce point.
Au-delà même des ces deux produits, d’autres éléments à charge viennent éclairer d’autres zones d’ombre de ce marché. Car, un troisième produit est venu rajouter une nouvelle énigme à cette affaire aux odeurs nauséabondes de faux. Commandé à hauteur de 5000 litres pour une valeur de 126 millions de francs, le Baytipin est interdit de fabrication depuis… 2009, à la suite d’un arrêté du ministère français de l’Agriculture, à cause de son caractère toxique et son impact nocif sur l’environnement et la santé des populations.
Sous le nom commercial de Bactipin et propriété de la Compagnie moderne des produits chimiques (Cmpc), située à Cambes en France et composé d’un dialdéhyde à base de fénitrothion, ce produit, dans tous ses stocks devait être détruit après cet arrêté ministériel. En d’autres termes, ce produit ne circule plus dans le monde en 2012 du fait de son degré de nocivité. Interpellé, un responsable de l’entreprise confirme effectivement cette mesure des autorités françaises en soutenant : «Ces produits ne sont plus fabriqués dans l’usine depuis trois ans. Tous les produits ont été mis sous scellés et détruits.»
Par ailleurs, d’autres questions remettent en cause la véracité de ce marché à propos du Propoxur 3 %, commandé à hauteur de 600 tonnes pour une valeur de 2 milliards 700 millions. Pour le Propoxur dont la matière active est le pirimiphos, il n’y a que deux revendeurs qui commandent ces deux matières chez Dow Agro- sciences, qui est le plus grand laboratoire de recherche mondial de produits de protection des cultures et de lutte contre les parasites. Sans vouloir dévoiler leur identité, des interlocuteurs avouent leur incapacité à conditionner autant de tonnes dans leurs locaux en moins de cinq mois. «Pour conditionner 100 tonnes, il nous faut au moins 3 à 4 mois. Pour 600 tonnes, ce sera au moins 12 mois pour y arriver alors que nous n’en avons même les capacités», explique-t-on au niveau de ces deux usines spécialisées dans la production de produits phytosanitaires. Avez-vous reçu pendant la période de novembre 2011 à avril 2012 une commande de 600 tonnes de Propoxur 3% ?, leur a-t-il été demandé. Dans le cadre de cette enquête, il a été difficile de trouver une réponse à cette question. Les responsables de ces deux boîtes ont brandi l’argument du secret professionnel pour éviter de répondre. «S’il y a peut-être une enquête officielle, nous pourrons en parler à l’autorité compétente», justifie-t-on.
Un expert, qui travaille dans ce milieu depuis plusieurs décennies, reste assez ébahi devant l’immensité de ce marché. «Par exemple, le Service d’hygiène ne dispose pas de magasins pouvant stocker 600 tonnes de produits phytosanitaires. Pis, l’Etat du Sénégal ne dispose d’aucun magasin chimique pour les quantités commandées par le Plan Jaxaay. Si une telle commande avait été livrée en avril, quand le plan Orsec a été déclenché en septembre, l’Etat n’aurait en aucune façon eu besoin d’acheter un seul litre de produit. Il n’aura besoin que des prestations parce qu’un tel stock doit s’utiliser au moins sur 2 ans. Dans ma longue carrière, je n’ai jamais vu une telle commande», explique-t-il.
Pour l’instant, les autorités enquêtent sur la procédure de ce marché, approuvé curieusement par la Direction centrale des marchés publics (Dcmp).
Entreprise générale de fournitures et entretien divers : Bakhao Diongue, la propriétaire
Il restait une dernière énigme à percer. Dans ce dossier, l’Entreprise générale de fournitures et entretien divers (Egfed), créée officiellement en 2007, est un cas. Comment une société capable de gagner un marché de produits phytosanitaires de 5 milliards peut-elle rester introuvable ?
Adjudicataire du marché, elle n’a aucune adresse physique à Dakar, encore moins de coordonnées téléphoniques qui permettraient de la localiser. Dans la facture définitive, il est juste mentionné l’adresse de son compte bancaire, domicilié à Hann Plage, ainsi que son Ninea. En faisant un tour à Hann plage, aucune société portant un tel nom n’est visible. Est-ce une société écran ?
En faisant des enquêtes au niveau de la direction des Impôts et domaines, on tombe curieusement sur un nom qui n’est pas a priori lié à un business aussi florissant. Bakhao Ndiongue, célèbre syndicaliste et secrétaire générale du Syndicat national des enseignants de l’élémentaire (Sneel), est la propriétaire de la société si on en croit le Ninea de l’entreprise. Interrogée dans le cadre de cette enquête, l’ex-députée libérale rejette en bloc ces informations. «Moi ? Non ! Cette société ne m’appartient pas. Je suis une syndicaliste, je ne suis pas dans le business. Vous vous êtes trompés, et allez revoir votre source», proteste-t-elle au bout du fil avec beaucoup de surprise. La vérité aura fini par la rattraper. Si elle n’invoque pas une curieuse homonymie.
44 Commentaires
Joie
En Novembre, 2012 (14:18 PM)D’après vous pourquoi ABDOULAYE WADE a choisi OUMAR SARR pour diriger le parti démocratique sénégalais ?
La réponse est simple car il savait très bien qu’OUMAR SARR est un lâche, un homme sans scrupule une personne capable de tout pour arriver a ses fins rappelé le cas de NDIOBASS DIAW qu’il avait piégé en payant la prostitué ou le cas d ALIOU SOW en voulant le faire du mal il a entrenui des relations avec sa femme. Sénégalaise sénégalais méfions nous de cet homme il est très dangereux et avec sa bande de libéraux ils veulent complètement détruire le pays
Cretin
En Novembre, 2012 (14:21 PM)Les gens du PDS sont tous des escrocs ils veulent entrainer le Pays dans le chaos ils ne connaissent que ca d’ailleurs. Regardé cet OUMAR SARR qui dans le passé pour éliminer un adversaire politique à savoir NDIOBASS DIAW il est allé chercher une prostitué le payer en utilisant une vidéo pour ensuite le divulguer sur le net. Cela montre qu’il na aucune pudeur il mérite même pas l’enclos des moutons
Hug It Up
En Novembre, 2012 (14:34 PM)Messieurs de la justice, vous êtes entrain de bien travailler sur ces dossiers, continuez à le faire méthodiquement et montrez à l'opinion publique et au monde entier les vols commis par cette bande de voyous en cols blancs défraîchis.
Si tout est fait dans les règles de l'art (la loi, rien que la loi), ces fils indignes du pays ne pourront pas parler d'acharnement politique et l'opinion étrangère comprendra.
La Patrie
En Novembre, 2012 (14:39 PM)Wayer
En Novembre, 2012 (14:41 PM)Bin Ladine
En Novembre, 2012 (14:54 PM)Ibus
En Novembre, 2012 (15:04 PM)Cakhadija
En Novembre, 2012 (15:05 PM)Nanananana
En Novembre, 2012 (15:07 PM)Peuls,
En Novembre, 2012 (15:09 PM)Lyns
En Novembre, 2012 (15:09 PM)Pipo
En Novembre, 2012 (15:12 PM)Du courage et bonne continuation. Les Sénégalais savent que pour se mettre sur le chemin du véritable développement économique, il faut d'abord souffrir. Les populations du monde rural commencent déjà à récolter les fruits de votre nouvelle orientation économique. Merci monsieur le président de la République.
Frrt
En Novembre, 2012 (15:29 PM)Fem
En Novembre, 2012 (15:55 PM)Fayesall
En Novembre, 2012 (16:04 PM)Scandales de Macky
Apres toutes ces auditions,Macky Sall doit lui aussi répondre devants la cour pour ces scandales:
-Le programme indépendance Kolda
- Les chantiers de Fatick
- Le compte " jam" pour la paix en casamance
-Le compte de la primature ouvert à Paris
- Le marché des 7 hélicoptères pour l'armée avec son attaché militaire Charles Gueye
- Le Pcrpe avec son dg Baydy souleymane Ndiaye qui lui a construit toutes ces villas
- Son patrimoine caché en Afrique du Sud
-Son appartement parisien à Malakoff
-Sa villa en Allemagne.
-Ses nombreux terrains et villas non déclarés de son patrimoine.
-Les millions (700) qu'il recevait du Pcci dans le cadre du contrat État- Employeur.
- Les deux permis d'exploitation de notre pétrole offerts à son frère de journaliste
- Les 9 milliards sortis par Mansour Faye le frère de Marieme Faye la veille de la Tabaski
-Les 1 milliard 200 millions donnés à Marieme Faye pour des billets pour la Mecque.
-L'avion présidentiel que Macky et Marieme Faye ont mis à la disposition de leur fils vaptisé le " le prince de nermoz" pour aller pour une semaine aux USA avec ses amis.
Deug Deug
En Novembre, 2012 (16:04 PM)Sjd
En Novembre, 2012 (16:05 PM)Ce n’est ni par sentiment de haine ni par esprit de parti. Ce n’est pas non plus par soif de vengeance. Macky Sall a nourri pendant trois ans la horde de plumitifs du journal « Il est midi » qui ont fait déferler leurs baves injurieuses sur d’honnêtes citoyens et sur moi-même. Son homme de main, Ndiogou Wack Seck, dans ses meilleurs jours, avait même bénéficié d’un groupe électrogène acheté par la Primature que dirigeait Macky Sall, qui indiquait lui-même la voie à suivre en s’attaquant à des hommes honorables comme Mamadou Dia et Amath Dansokho. Malgré tout, quand ses frères libéraux se sont vengés de ses attaques et quand Abdoulaye Wade a voulu l’humilier, j’ai été parmi ses plus grands défenseurs, l’enjoignant de quitter le Pds. Je ne peux donc être accusé de parti-pris. C’est une nécessité qu’arrivés à ce point dans la marche de notre pays, confrontés à des échéances qui seront décisives pour son avenir, nous exigions de chaque prétendant à la Magistrature suprême un minimum de vérité. Le leader de l’Apr en avait lui-même fait une exigence, qui avait convoqué le corps diplomatique accrédité à Dakar dans un hôtel, pour mettre en accusation son prédécesseur à la Primature, en violation flagrante de la présomption d’innocence.
Nous sommes donc effarés de découvrir que pendant qu’Idrissa Seck était inculpé et envoyé en prison, pendant que les missions rogatoires enquêtaient à l’étranger pour trouver les preuves de sa culpabilité, se manigançait un gigantesque détournement de fonds publics sur lequel Macky Sall est aujourd’hui interpellé. C’était en effet pendant la même période de l’année, à l’été 2005, que sept milliards de francs taïwanais destinés aux populations démunies ont été détournés par Pierre Aïm, ami du président Abdoulaye Wade, qui a lui-même avoué qu’il avait mis un milliard de francs dans sa poche et logé le reste dans un compte d’un prétendu ami de Karim Wade, à la demande du chef de l’Etat. Poursuivi par la clameur, le chef de l’Etat avait fini par déclarer, dans un communiqué du Conseil des ministres, qu’un de ses amis lui avait « offert » de l’argent qu’il voulait remettre dans les comptes du Trésor. C’était la première fois que dans l’histoire de ce pays, un communiqué du Conseil des ministres, celui du jeudi 5 janvier 2006, contenait un mensonge aussi grave.
Selon l’explication de Macky Sall, l’argent, celui de Taïwan bien sûr, a été restitué et distribué à différents ministres. Une explication qui ne peut pas suffire. Comment a-t-il été restitué, dans quels comptes, par qui, et pourquoi avoir versé de l’argent d’un obscur ami du chef de l’Etat dans des comptes du Trésor, sans aucune loi de finances rectificatives, sans dire dans quel compte cet argent a été viré ? Quel que soit le bout par lequel on prend cette affaire, il s’agit d’un détournement de fonds publics et Macky Sall ne peut pas s’en laver les mains avec ses réfutations captieuses. C’est trop gros pour être avalé et la réponse qu’il donne face à une affaire d’une telle gravité est simplement scandaleuse !
Au même moment, toujours pendant l’arrestation d’Idrissa Seck, se déroulait un autre détournement sur lequel des preuves évidentes ont été fournies, au moins concernant le virement de 26 milliards de francs qui ont disparu dans la nature, qui devaient servir à la construction de villas présidentielles elles-mêmes introuvables. Mais là aussi survient un curieux retournement de situation. Interrogé sur la question de savoir s’il allait convoquer Karim Wade dans les mêmes termes, Macky Sall s’est rebiffé, déclarant que s’il devait le refaire, il demanderait l’avis d’Abdoulaye Wade avant de convoquer son fils, ne sachant pas que « c’était si important ». Monsieur ne se donne aucune limite, sur le chemin de la repentance. Il peut même accueillir Karim Wade dans une équipe qu’il va diriger.
Il s’agit d’une absolution choquante. Et quand même on penserait qu’il en voudrait à celui qui lui a causé tant de souffrances, il dit que non. Le président aurait été « abusé ». Monsieur Sall est donc tombé des grandeurs, par ce qu’il avoue être une maladresse qu’il ne répétera plus. Que n’a-t-il pas ajouté un merci à ses bienfaiteurs puisque de ses propres aveux, il n’est redevable des honneurs qu’il a reçus et de sa haute fortune qu’à la bonté des Wade et à leur générosité.
Soit ! Il doit au peuple qu’il appelle à l’élire, des réponses précises sur ses actes de gestion. Les Wade ne nous aideront jamais dans ce sens, puisqu’ils sont les instigateurs de tous ces scandales. C’est le cas de cette licence attribuée aux trafiquants de drogue de Ndangane Samba alors que Macky Sall était Premier ministre et Djibo Kâ ministre de la Pêche. Idrissa Seck a été interpellé sur sa gestion de la plus violente des façons, jeté en prison, alors que la moindre preuve de sa culpabilité n’avait été produite par ses accusateurs. Il serait donc injuste que l’on se taise devant tant de faits accablants et de mensonges évidents. A Macky Sall, nous demandons la vérité sur cette affaire. Nous ne pouvons déroger à cette règle sans être injustes. Il louait un modeste appartement à Derklé. Il possède maintenant une radio qui vaut 200 millions de francs, un appartement plus coûteux à Huston, une maison qui vaut un milliard de francs dans laquelle il vient de déménager avec un parc automobile que personne ne possède dans ce pays. Qu’il nous dise comment il s’est bâti cette fortune colossale en six ans. Nous osons aussi lui demander, lui qui a fait nommer sa sœur à l’ambassade du Sénégal à Paris, son frère à l’ambassade du Sénégal en Chine, son beau-frère au Consulat à New-York, s’il ne souffre pas des mêmes maux dont il accable l’actuel régime. Et que ceux qui ont eu la patience de me lire me disent s’ils ont vu dans mes écrits une volonté de nuire ou un souci de vérité. Qu’ils me disent, dans ce qui vient d’être dit, une seule chose qui ne méritait pas d’être sue par mes concitoyens. Qu’ils me disent ensuite si un homme qui figure dans un rapport d’une institution comme l’Onel, pour avoir voté de force dans une élection, sans pièce d’identité, qui a fait nommer les membres de sa famille dans nos ambassades et consulats alors qu’ils n’ont jamais été diplomates, qui, parti de rien, s’est bâti une fortune colossale en six ans, ne mérite pas que l’on s’interroge sur ses prétentions.
SJD
Sorry cher jules mais devoir de mémoire oblige!!!!!!!!!!!!!!
Yatt
En Novembre, 2012 (16:06 PM)1/ si des produits phytosanitaires pour un plan de logement ont coûté 5 milliards quel est ratio valeur du projet et celle de ces produits qui sont marginaux par rapport à l'objet du projet ?
2/ des produits phytosanitaires coûtant entre 75 000 et 175 000 francs le litre sont fabriqués à base de quelle substance ?
Pour ce qui du Service National d'Hygiène, les rapports d'audit de l'exercice 2008 ont montré des marchés attribués à des entreprises qui n'étaient même pas invitées à soumissionner !!!
Maintenant on n'en comprend que mieux la frénésie de l'agitation de ces gros insectes mutants qui se nourrissent de....produits phytosanitaires !!!
Sokone
En Novembre, 2012 (16:07 PM)LATIF COULIBALY
Car moi le Latif Coulibaly que j'ai connu c'est celui-là même qui disait que l'Apix de Aminata NIANE constitue « le plus gros scandale du siècle tant dans son fonctionnement que dans sa structuration. »
Le Latif Coulibaly que j'ai connu c'est celui-là même qui interpellait au mois d'Avril 2012 le PM Abdoul Mbaye pour que ce dernier procède à sa déclaration de patrimoine.
Le Latif Coulibaly que j'ai connu c'est celui-là même qui reprochait un mauvais casting du premier gouvernement alors formé par Maky Sall avec la nomination de Mbaye Ndiaye à l'Intérieur.
Enfin, le Latif Coulibaly que j'ai connu c'est celui-là même qui disait que Mon Président et leader de l’APR, Monsieur Maky Sall n'avait pas l'envergure pour être Président de ce Sénégal et c'est lui encore qui à propos de ce même Maky disait que cela ne servait à rien qu'il signe la Charte des Assises sans l'appliquer.
Mais dites-moi mes chers amis, c'est ce Latif là qui est aujourd’hui dans le gouvernement dirigé par le PM Monsieur Abdoul Mbaye? En qualité de Ministre, porte-parole de ce gouvernement? Assis autour de la même table avec Madame Aminata Niane, Monsieur Mbaye Ndiaye, et son Excellence Monsieur Maky Sall?
Non mais…arrêtez vos blagues, kii dou Latif. Ce serait plutôt son homonyme venu de Sokone : le ci-devant Abdou Coulibaly Latif.
Daou Gor Mbaye
En Novembre, 2012 (16:07 PM)omar sarr , et les soeurs bakhao ndiongue et aida ndiongue sont des cousins habitant dagana
TOUTES LEURS MAGOUILLES SE FAISAIENT EN COMPLICITE AVEC LE COUSIN GERMAIN DE AIDA NDIONGUE LE DG DE LA DOUANE MATAR CISSE QUI A DONNE UNE DIZAINE DE VEHICULES A OMAR SARR LORS DE SA CAMPAGNE ELECTORALE A DAGANA
LE VEHICULE LE PLUS VISIBLE EST LE 4X4 HILLUX QUE CONDUIT RAHIM KANE LE SECRETAIRE PERMANENT DU PDS A DAGANA
LE DG DES DOUANES A REMIS DES MILLIONS AUX PARTISANS DE OMAR SARR A DAGANA
D'eugène
En Novembre, 2012 (16:08 PM)L’euphorie de l’alternance y est peut-être pour quelque chose : la justice va dans tous les sens ; elle s’est emballée, et personne ne semble vouloir l’arrêter. Pourtant, hier seulement, même les moins sachant s’étaient érigés à la fois en législateur, en doctrine et juge. Il est vrai, qu’à l’époque, l’irrégularité de la candidature du Président ABDOULAYE WADE ne pouvait autoriser une quelconque réserve, sauf à vouloir braver le peuple, celui du 23 juin, celui des Assises et celui des « constitutionnalistes » d’origine ou d’emprunt. Il faut demander au Conseil constitutionnel, seul organe habilité à se prononcer, comment parvenir à la résilience après être passé en profondeur sous les fourches caudines populaires.
Mais les juristes de la bonne école, ceux pour qui la versatilité doctrinale est une tare, savent que la justice populaire est la sœur aînée de la justice d’exception. Elles s’abreuvent, en effet toutes deux, dans le fleuve de l’injustice, de l’arbitraire et de la démesure. Or, aujourd’hui, tout laisse présager qu’on s’achemine à grands pas vers cette justice de réaction.²
Le processus déclenché par les nouvelles autorités est suffisamment révélateur à cet égard.
La résurrection d la Cour de répression de l’enrichissement illicite en constitue la première illustration. Cette cour a un vice congénital par sa nature : elle est une juridiction d’exception qui viole ostensiblement les principes qui gouvernent une justice équitable : renversement du fardeau de la preuve, absence de double degré de juridiction.
Certes, elle avait été mise en veilleuse plus par opportunité politicienne que par souci d’orthodoxie. Son brutal réveil peut surprendre à double titre. D’abord, il était reproché à ses initiateurs de s’indigner sélectivement par rapport aux personnes susceptibles d’être poursuivies ; ensuite par ce que l’arsenal juridique mis en place était fort éloigné de l’idée que l’on peut se faire de la Loi
. Il est dés lors inquiétant que le nouveau Pouvoir feigne de croire que cette double objection dirimante a miraculeusement disparu. Cela est d’autant plus invraisemblable que dans le projet de réforme envisagé, il est question de rétablir les droits de la défense dans le dispositif de la future juridiction chargée de lutter, entre autres, contre les délinquants en col blanc.
Mais alors pourquoi vouloir se précipiter à juger ? Y aurait-il d’autres raisons qui ne s’accommodent pas avec le Droit ?
La »sortie « médiatique du Procureur spécial ne contribue pas à dissiper le doute, ni sur la forme ni sur le fond.
Sur le premier terme, .Monsieur NDao a certainement cru que son jour de gloire était arrivé ; c’est le sentiment qui anime, bien souvent, ceux qui sortent soudainement de l’ombre pour découvrir la lumière du jour. Si tel est le cas, il aurait alors intérêt à se munir d’un groupe électrogène car les délestages sont encore récurrents. Mais ce narcissisme de circonstance est véniel comparé à la teneur de son propos.
Il est certes admis, aujourd’hui, que la justice doit communiquer pour mieux informer. Ici,l’information du Procureur spécial était plutôt une révélation. Elle a mis à l’index des personnes que la justice n’a pas encore incriminées ,mais que Monsieur NDAO soupçonne d’avoir distrait indûment» des milliards ».
Où sont donc ensevelis le secret de l’enquête et la présomption d’innocence, et pourquoi ?
Monsieur le Procureur spécial semble même avoir oublié qu’il ne lui appartient pas de juger, qu’il est du parquet. Il souligne, presque triomphalement, l’inopposabilité des privilèges et immunités devant la Cour de répression de l’enrichissement illicite.
Pourtant sur ce dernier aspect, Monsieur le Procureur spécial n’a pas osé décliner la totalité de son pouvoir de poursuite : le Chef suprême des armées a reconnu formellement , à travers le journal officiel, qu’il est parvenu à accumuler au moins un milliard de francs CFA au bout de Huit (08) années d’exercice professionnel, essentiellement dans l’administration sénégalaise; si ce n’est pas un record , cela lui ressemble étrangement.
C’est vrai que la vitalité autoproclamée de Monsieur NDAO n’est dirigée qu’à l’égard des « vaincus » et de ceux qui sont réputés être leurs alliés. Pendant ce temps, le Président de sa propre juridiction, tout juste à ses côtés, n’a pas été disert. Ce n’est certainement pas ainsi qu’une bonne justice pourrait être rendue.
Le procès programmé de Monsieur Habré présente déjà les mêmes contours.
Personne n’ose contester que Monsieur Habré doive être jugé, comme auraient dû l’être beaucoup d’anciens chefs d’Etats africains avant lui. Mais peut-être que c’est aujourd’hui que l’Afrique veut se donner bonne conscience et prouver, en même temps, à la « communauté internationale » qu’elle compte désormais bannir le règne de l’impunité de ses dirigeants. Alors, pour l’exemple, il n’est pas impie de commencer par Monsieur Hissène Habré, même si ce dernier n’avait jamais imaginé que la TERANGA sénégalaise pouvait être vécue, un jour par lui, à reculons.
Le Sénégal s’est engagé à le juger in situ ; il montre ainsi son aptitude à s’élever jusqu’aux cimes des principes universels qui attestent de la solidité de son ouverture démocratique. Le modus opérandi est
simple : il faut des moyens matériels et institutionnels. Comme le financement peut être supporté par tous ceux qui y ont intérêt, il suffit, en fin de compte, de réaménager le système judiciaire sénégalais pour l’adapter à la spécificité de l’affaire HABRE ;
Par la grâce d’une Convention et d’une loi (projet) en doublon, il serait envisagé de créer, au sein des juridictions sénégalaises, des chambres spéciales d’instruction et de jugement, avec notamment des juges sénégalais ( proposés par le Ministre de la Justice) et étrangers , tous nommés par la Commission africaine.
Le procédé est inédit, atypique et fortement contestable.
Cette architecture juridictionnelle n’existe nulle part dans le monde, du moins jusqu’à plus ample informé ; certes, il n’est pas souvent mauvais d’innover surtout pour améliorer l’existant ; mais ici, l’innovation constitue, à l’ évidence , une incongruité qui s’apparente à un camaïeu juridique que le droit, surtout en matière pénale, réprouve .
Il aurait été mieux inspiré de créer une juridiction ad hoc, comme il en existe déjà, même si le système reste à parfaire.
Mais c’est surtout la légalité du dispositif qui est douteuse. L’organisation judiciaire du Sénégal va se retrouver totalement transfigurée. Dans la Constitution qui lui sert de support principal, le pouvoir judiciaire est exercé par le Conseil constitutionnel, la Cour suprême et la Cour des comptes .
Une loi de 1984 donne la physionomie actuelle du système judiciaire qui repose sur un schéma pyramidal avec la Cour Suprême, les Cours d’Appel et les tribunaux régionaux et départementaux.
Les magistrats sont généralement nommés après avis du Conseil supérieur de la magistrature ; la justice est rendue au nom du peuple sénégalais … par des Sénégalais.
Manifestement, le projet publié récemment par la presse s’est éloigné sur des rives lointaines d’un no mans land ; il faut alors reconnaître que le fruit est déjà pourri : il s’oppose frontalement à la Constitution .Même l’abandon de souveraineté pouvant résulter de nos engagements internationaux ne peut légitimer un tel arrimage.
Les chambres spéciales qualifiées -semble t-il – d’extraordinaires ne seraient par ailleurs fonctionnelles que pour l’affaire HABRE. Et après ?
Les prémisses d’une justice populaire se font jour ; elles ne sont pas en adéquation avec la gouvernance dite de rupture ; c’est plutôt la justice des vainqueurs, donc de l’injustice judiciaire.
La bonne justice ,c’est celle qui requiert la sérénité ,la mesure et l’objectivité. Elle ne peut avoir pour compagnons ni la fausse glorification, ni la partialité masquée artificiellement.
On peut constater et réprouver l’intempérance d’un procureur tardivement promu ,, en mal de gloire ou d’honneur, mais on ne peut tolérer que l’Etat trace les mêmes sillons. La justice populaire restera toujours une justice de réaction, d’arbitraire et dérives .
S
En Novembre, 2012 (16:13 PM)Huboul
En Novembre, 2012 (16:15 PM)Leur grand père Amadou Diaw était un ivrogne devenu même clochard.on me dit un jour alors le président Senghor venait à Richard toll,il était tellement ivre que les enfants le lapidaient avec des pierres.
Leur papa pour certains de ses fils rek,il était aussi un ivrogne et est devenu fou à la fin de sa vie à cause de l'alcool.
Leur mère Diaba pauvre misérable que son mari chassait de la maison parce que elle lui portait pas bonheur.
Une famille chassée de Gaé pour Cause de prostitution.On me dit même que c'est la famille de Oumar Sarr qui les a accueilli et c'est pourquoi on dit à Dagana que leur maison n'a pas de porte de sortie.
Doudou Diaw l'aîné est un raté, un homme qui n'a fait que échouer dans toutes ses entreprises.nul n'était Oumar Sarr qui lui a payé ses études et amené sa mère à la Mecque il allait se suicider parce que ne pouvant pas supporter la réussite de son frère Diombass.
Leur père BAKHAW à violé Bineta Diaw sa fille c'est a dire la sœur de doudou Diaw
Voilà chèrs internautes j'ai vérifié pour vous tous a dgana
Ok
En Novembre, 2012 (16:15 PM)Innon
En Novembre, 2012 (16:16 PM)-le recensement et gestion des sinistrés: ce recensement était fait par les autorités administratives sur les quartiers test de Pikine( 12 sur 127 réellement inondés) et de guediawaye.
Résultats: 3550 familles constituant les premières cibles à reloger sur près de 13000 cas à l'époque.
- attributions des logements: 2075 logements sont réceptionnés et 2062 attribués et remis à la Sn HLM ( expliquer la procédure d'attribution).
Sur les travaux réalisés:
1- les travaux d'aménagement des bassins en eau.
- Médina Gounass- 41665m2-
- Bagdad-23267m2-
- Wakhinane Nimzath-61384m2-
-Niety Mbar-51280m2-
- Zone de captage-72460m2-
Vue l'importance des superficies, ces bassins ont une grande capacité de stockage bien entendu s'ils sont écrêtés régulièrement ce qui ne fut pas le cas cette année.
Ces bassins ne sont pas une protection absolue contre les inondations néanmoins ils permettent de les gérer en retenant temporairement les eaux provenant du ruissellement de surface ou de remontée de appe pendant l'orage pour les restituer après l'averse avec un débit contrôlé par un dispositif de pompage qui ont un rôle de vidange du surplus d'eau.
Dans ce même ordre d'idées les points noirs de Dakar n'ont pas été traités. Il s'agit de
- Dispensaire philippes Maguilene Senghor
- Canal de Cices
-Yoff Virage
-Yoff Ranran
Zone de captage
Ces points ne sont pas traités pendant la période pré hivernales qui ont été à la base des inondations dans Dakar.
2- Realiations d'ouvrages hydrauliques
Le régime sortant leur a laissé 13 projets de réalisation d'ouvrages hydrauliques en cours d'execution dans les communes d'arrondissement de Pikine et Guediawaye
- Lac Wouye: réalisation d'une station de pompage de 10000m3/h avec une conduite de refoulement de D800 et une réalisation d'une digue d'une hauteur de 1m avec enrochement et revêtement de talus par perrés maconnés.( 45% de réalisation mais retard du aux tracasseries avec les Eaux et Forêts)
- Un système de drainage gravitaire par la connexion du bassin de Wakhinane Nimzath au lac Thiourour avec un dispositif d'ecretage permanent du bassin.( 95%)
-Lac Wourouwayr: réalisation d'une station de pompage de 3500m3 avec la pose de conduite permettant de transiter le débit de la crue du lac vers la mer.(95%)
- Ouvrage de drainage des zyeumbeul Nord et Sud: réhabilitation du réseau hydrographique par la pose de buses , de canaux et de regards sur 1649ml à Yeumbeul Nord, deux bâches avec piège à sable, 10 regards, pose de buses sur 230ml et 56 en dalot à Yrumbeul Sud avec un ouvrage d'affranchissement.(93%)
-Bassin de Diacksao: les démolitions d'impenses , terrassement, interconnexion avec le réseau de canalisation de PAPCREE.(90%)
-Bassin de Mousdalifa exécuté à 45% mais il y'a eu des blocages avec les familles qui refusent de libérer les lieux
-Finalisation du Bassin de Médina Gounass: sécurisation par clôture.(46%)
-Finalisation du Bassin de Niety Mbar: sécurisation par clôture.(25%)
-Finalisation de Madialé( c'est le 2ème bassin de Wakhinane Ni zath):sécurisation.(35%)
-Mare de Guinaw Rail: aménagement de la mare, interconnexion de la mare à la mare de la cotonnière en bons D800 et réalisation de 7 regards.(95%)
-Réseau d'évacuation des eaux de Dalifort- techno pôle: réhabilitation du réseau hydrographique par pose de buses, de canaux et regard à Dalifort , station de pompage et ouvrages de franchissement rail et route de rufisque.(50%)
-Réseau d'évacuation des eaux de Keur Massar- Aïnoumady: réhabilitation du réseau hydrographique par la réalisation de canaux et regards sur 2650ml à Aïnoumady et réalisation de regards et bâches avec piège à sable.(53% )
-Reseu d'évacuation des eaux de Diamaguene Rond point Sicap Mbao: réhabilitation du réseau hydrographique par la réalisation de canaux et regards sur 4800ml à Sicap Mbao, de regards et bâches de piège à sable.(25%)
Au total en plus des 251109m2 de surface de stockage des eaux( bassins) , c'est 40172,57 ml de canalisation qui seront réalisés à la fin de ces différents projets.
Cartographie des zones inondées : le SIG qui permet d'avoir une connaissance fine et précise de la planimétrie( tous les objets cartographiables) et de l'altimètre ( a partir du MNT d' avoir la cote dur toutes la region de DKavec une
precision de 30 cm)de Pikine et Guediawaye
MNT qui permet de définir les bassins versants( le tracé d'un cours d'eau de sa source vers son exécutoire) et les voies d'eau.
C'est ce MNT et les prises de vue aériennes qui ont une précision de 15 cm qui ont servi à l'élaboration du Plan directeur de drainage des eaux pluviales par la BM. C'est ce fameux plan directeur qui est magnifié par le gouvernement comme solution.
Constat D'un Sénégalais
En Novembre, 2012 (16:20 PM)Lyns
En Novembre, 2012 (16:25 PM)L'ange
En Novembre, 2012 (16:27 PM)Honette
En Novembre, 2012 (16:30 PM)........
En Novembre, 2012 (16:39 PM)Laskha
En Novembre, 2012 (16:40 PM)Pact
En Novembre, 2012 (16:50 PM)Thensa
En Novembre, 2012 (17:26 PM)Madgueye Thissene
En Novembre, 2012 (17:29 PM)Lefaucon
En Novembre, 2012 (18:27 PM)J’ai vu au Sénégal des gens mourir devant les hôpitaux parce ils n’ont pas de moyens d’acheter un ticket pour se faire consulter.
j ai vu des coins au Sénégal manquer d’électricité 200 ans après la découverte du courant.
j ai vu des coins au Sénégal ou les gens ne mange qu’un seul repas par jour et parfois c'est du riz Sec.
j ai vu des coins au Sénégal ou l'asphalte na jamais été posé.
j ai vu au Sénégal des diplômés bac + 7 percevoir moins qu’un bac -3.
J’ai aussi vu au Sénégal des milliardaires qui n’ont aucune activité génératrice de revenu.
J ai vu au Sénégal des gens pavaner avec des bagnoles de plusieurs dizaines de millions voire centaines.
J’ai vu au Sénégal des gens se la couler douce sans se soucier que leur compatriote sont dans une grosse galère.
Tout ceci à cause des hommes politiques qui se sont partagé le bien commun comme un cadeau d'anniversaire.
Je n’insulterai pas, mais je dirai ceci, si la justice des hommes ne juge pas ces hommes, que Dieu les Juges.
En attendant nous le bas peuple, nous les regardons faire leur cinéma, si Dieu existe vraiment tôt ou tard , ils rendront des comptes
Bravo
En Novembre, 2012 (18:31 PM)Beaucoup de journalistes devraient s'en inspirer au lieu de nous servir des accusations gratuites.
Je parle juste du travail de journaliste sans m'intéresser à qui est accusé de quoi.
Ceo
En Novembre, 2012 (19:12 PM)La maison de IADA NDIONGUE SE TROUVE A HANN et doit surement servie d'adresses de domiciliation de la dite societe...
MACKY ET TON GOUVERNEMENT SARAKH NIOU WALLAHI RASSOU LYY TE DEF SEN LIGUEYE TEUTHIE TOUS CES VOLEURS...C TT CE QU'ON VEUT VOUS DEMANDE RIEN DE PLUS...
Nan
En Novembre, 2012 (19:22 PM)Molo
En Novembre, 2012 (19:22 PM)Cakhadija
En Novembre, 2012 (20:46 PM)Fans Diakhles Tokyo
En Novembre, 2012 (23:30 PM)Lol
En Novembre, 2012 (00:25 AM)From Fraude
En Novembre, 2012 (04:10 AM)étranger
En Novembre, 2012 (07:19 AM)vrai criminels hors classe
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