Habib le jeu a été très dur aujourd’hui n’est ce pas parce que vous avez affaire à un foot anglophone ?
Non on essaie de bien se préparer pour le mieux possible lors des rencontres. C’est pour ça qu’on met beaucoup d’engagement physique et je pense mieux on sera préparé au combat physique mieux on pourra contenir nos adversaires.
Dans quel esprit état abordez vous votre troisiéme Can ?
Avec le même que les deux précédentes c’est à un esprit de compétiteur, de gagneur. On a à cœur de faire un bon tournoi. Mais on prendra match après match et pour l’instant on se concentre pleinement sur le Zimbabwé.
Y a une semaine vous avez fêté la naissance de votre fille, qu’est ce que cela fait d’être papa ?
C’est déjà un bonheur et beaucoup de plaisir qu’on ressent pour un tel événement et je remercie le tout puissant pour cela. J’associe à ses remercie mes coaches qui ont eu la compréhension pour me laisser partir en plein regroupement et je leur en suis reconnaissant. Le fait d’assister à l’accouchement de ma femme et de voir ma fille me permettront d’être à trois cent pour cent dans ma Can. J’ai été très ravi de voir mon épouse et mon enfant qui sont en santé parfaite et maintenant je sis prêt pour la compétition.
Le groupe est très relevé et les adversaires qui sont à Port Said vous promettent l’enfer ?
Oui, nous même nous le savons mais cela ne nous ébranle pas nous ferons ce que nous avons à faire et le reste n’est pas notre probléme. On est tous de rosses cylindrés et celle qui trébuche sera laissée derrière.
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