Orientation des bacheliers à l'Université Assane Seck de Ziguinchor
La décision du gouvernement d’orienter désormais tous les nouveaux bacheliers dans les universités publiques du pays, n'est pas du tout appréciée par le Syndicat autonome de l'enseignement supérieur (Saes). A l’université Assane Seck de Ziguinchor, avec 4000 étudiants déjà, le Saes redoute une situation qui risque d'empirer avec la décision d’y ajouter 3000 étudiants supplémentaires.
Daouda Niang Diatta, secrétaire général du Saes section Ziguinchor évoque le manque d’infrastructures capables d’accueillir ce surplus. « Les salles de classes et amphithéâtres qui vont les accueillir n'existent pas ». Et « les chantiers ne sont pas prêts. Et dans ce cas, il faut des mesures d'accompagnement », dit-il, car « les chambres qui existent ne suffisent pas pour les quatre mille du campus social ». L'université de Ziguinchor, pour rappel, a une capacité d'hébergement de 472 lits.
Macky lui même est une catastrophe ambulante
Gnaw ba fouri ...il ne recrute que des pouilleux
Nul comme ses pattes..il n'embauche que des gens qui lui ressemble et sont prêts à servir sa politique de merde.
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il y a 5 ans
Macky lui même est une catastrophe ambulante
Gnaw ba fouri ...il ne recrute que des pouilleux
Nul comme ses pattes..il n'embauche que des gens qui lui ressemble et sont prêts à servir sa politique de merde.
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Lapin flingueril y a 5 ans
Le fait d'avoir confié les rênes du MESRI à ce Monsieur revéle le niveau de considération qu'ont ces abrutis à l'égard de l'enseignement supérieur au Sénégal. Comment peux t-on enlever MTN et mettre ce va nu-pied !
Mais on a encore rien vu !
Répondre à Lapin flinguer
il y a 5 ans
Les universités sénégalaises c'est comme les cars rapides: jamais pleines
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il y a 5 ans
472 lits pour 4000 étudiants sans compter les 3000 à venir : c'est pire que rebeusse
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Abukeomil y a 5 ans
Et ce n'est qu'un début... la croissance demographique est telle qu'il sera difficile, voire impossible, de gérer tous ces enfants qui vont arriver par millions dans les maternelles, ecoles, collèges et lycées sans parler des hôpitaux et des universités. Quand il m'arrive de croiser une sortie de classes, la première question qui me vient à l'esprit, c'est de savoir où tous ces gosses vont travailler, ce qu'ils vont manger et boire et où ils vont habiter...
Je sais, Allah est grand. C'est l'éternelle réponse. Mais je doute qu'il soit capable d'endiguer cette folle course aux naissances.
reply_authoril y a 5 ans
il suffit juste que nos dirigeants bossent et arrétent de voler l'argent public pour que tous jeunes aient de quoi manger, étudier et se soigner
Répondre à Abukeom
il y a 5 ans
Recomposition politique au moment ou le pays est en pleine decomposition. lES POLITICIENS SE MOQUENT ROYALEMENT DE NOS PROBLEMES
reply_authoril y a 5 ans
Ca ne sert à rien d'envoyer tous les lycéens à l'université pour qu'ensuite ils deviennent balayeurs ou chauffeurs de Jakarta. Que l'on fasse un concours d'entrée à l'université en limitant le nombre de reçus au nombre de places disponibles dans les universités
Commentaires (7)
Macky lui même est une catastrophe ambulante
Gnaw ba fouri ...il ne recrute que des pouilleux
Nul comme ses pattes..il n'embauche que des gens qui lui ressemble et sont prêts à servir sa politique de merde.
Macky lui même est une catastrophe ambulante
Gnaw ba fouri ...il ne recrute que des pouilleux
Nul comme ses pattes..il n'embauche que des gens qui lui ressemble et sont prêts à servir sa politique de merde.
Le fait d'avoir confié les rênes du MESRI à ce Monsieur revéle le niveau de considération qu'ont ces abrutis à l'égard de l'enseignement supérieur au Sénégal. Comment peux t-on enlever MTN et mettre ce va nu-pied !
Mais on a encore rien vu !
Les universités sénégalaises c'est comme les cars rapides: jamais pleines
472 lits pour 4000 étudiants sans compter les 3000 à venir : c'est pire que rebeusse
Et ce n'est qu'un début... la croissance demographique est telle qu'il sera difficile, voire impossible, de gérer tous ces enfants qui vont arriver par millions dans les maternelles, ecoles, collèges et lycées sans parler des hôpitaux et des universités. Quand il m'arrive de croiser une sortie de classes, la première question qui me vient à l'esprit, c'est de savoir où tous ces gosses vont travailler, ce qu'ils vont manger et boire et où ils vont habiter...
Je sais, Allah est grand. C'est l'éternelle réponse. Mais je doute qu'il soit capable d'endiguer cette folle course aux naissances.
il suffit juste que nos dirigeants bossent et arrétent de voler l'argent public pour que tous jeunes aient de quoi manger, étudier et se soigner
Recomposition politique au moment ou le pays est en pleine decomposition. lES POLITICIENS SE MOQUENT ROYALEMENT DE NOS PROBLEMES
Ca ne sert à rien d'envoyer tous les lycéens à l'université pour qu'ensuite ils deviennent balayeurs ou chauffeurs de Jakarta. Que l'on fasse un concours d'entrée à l'université en limitant le nombre de reçus au nombre de places disponibles dans les universités
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