Magal de Mbacké Kadior : Sécurité, santé, routes… le préfet de Kébémer rassure Serigne Cheikh Thioro
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Magal de Mbacké Kadior : Sécurité, santé, routes… le préfet de Kébémer rassure Serigne Cheikh Thioro
Au Fouladou, les jeunes filles demandent aux autorités de repousser l'âge du mariage à partir de 18 ans, contrairement au Code de la famille qui le fixe à 16 ans.
Tant attendue par le grand public et la communauté internationale, la célébration des quatre décennies de succès et de créativité de l’orchestre mythique Dandé Léniol, dirigé par son leader charismatique, la star de la musique sénégalaise Baaba Maal, a été synonyme d’une véritable fête nationale ce samedi 11 octobre 2025.
Le ministre de l’Urbanisme, des Collectivités territoriales, de l’Aménagement des territoires, Balla Moussa Fofana, et son collègue de l’Intérieur et de la Sécurité publique, Mouhamadou Bamba Cissé, ont présidé un atelier national sur la réforme des pôles territoires.
Le Ministre de l’Urbanisme, des Collectivités Territoriales et de l’Aménagement des Territoires, Balla Moussa Fofana et son collègue du Ministère de l’Intérieur et de la Sécurité publique, Mouhamadou Bamba Cissé, ont présidé un atelier national sur la réforme des Pôles Territoires.
A Abidjan, un centre d'accueil pour sortir de la drogue et des "fumoirs"
A Abidjan, un centre d'accueil pour sortir de la drogue et des "fumoirs" Dans un quartier cossu d'Abidjan, il faut emprunter une petite porte discrète pour accéder au Centre d'accueil, de soins et d'accompagnement (CASA), où se retrouvent des usagers de drogues, particulièrement vulnérables et marginalisés en Côte d'Ivoire. Ce pays côtier de l'Afrique de l'Ouest est devenu ces dernières années un pays de transit du trafic international d'héroïne, de cocaïne ou de médicaments dont l'usage est détourné. Et s'il existe peu de données officielles sur la consommation, le docteur Fériole Zahoui, addictologue au CASA estime "entre 30.000 et 40.000 le nombre d'usagers de drogue à Abidjan", trois à quatre fois plus qu'il y a dix ans. Grâce au bouche à oreille, le centre, ouvert en 2018, s'est fait peu à peu connaître et accueille maintenant quotidiennement une vingtaine d'usagers qui viennent se reposer, se laver, mais aussi bénéficier d'un accompagnement social, médical et psychologique adapté, gratuit. Car la Côte d'Ivoire n'a pas choisi la voie du tout répressif contre les usagers de drogue: une loi de 2022 a réduit les peines pour les consommateurs, de 1 à 3 mois de prison au lieu de 1 à 5 ans auparavant. En fin de matinée, le calme règne dans la salle de repos du CASA: certains somnolent, d’autres bavardent ou regardent la télévision. En poussant les portes, on trouve une pharmacie, un laboratoire dédié au dépistage, des salles de consultation, une infirmerie… Un véritable centre médical en circuit fermé aux allures de foyer chaleureux, discret pour ne pas déranger les riverains. Pour beaucoup, le CASA est avant tout une maison, et sa communauté une famille sur laquelle compter quand l’addiction a tout emporté. Auprès de sa compagne endormie au sol, Hassan Mohana raconte à l'AFP qu'il vient tous les jours prendre son traitement de méthadone, substitut de l'héroïne, mais également se reposer et se doucher avant de commencer son travail de nuit. "Ça m'a permis de me retrouver, de garder un travail, de me réinsérer dans la société", explique l'homme de 40 ans, qui fréquente le CASA depuis son ouverture. L'héroïne et le "Kadhafi", mélange de tramadol et d'alcool, populaire par son prix bas (moins d'un euro la dose), sont les principales drogues consommées par les usagers qui fréquentent le centre. Le CASA distribue de la méthadone, un substitut qui a permis à Mamadou Touré de connaître "une deuxième naissance", en arrêtant l'héroïne consommée depuis l'adolescence. "Pendant des années, j'alternais entre le fumoir et la prison", témoigne l'homme de 47 ans. Aujourd'hui, il dit avoir trouvé un sens à sa vie: il est devenu éducateur pair au centre, un référent qui aide les usagers à s'en sortir à leur tour. - "Comme des chiens" - Sa fille de neuf mois endormie contre sa poitrine, Massita Konaté se rappelle l'enfer des fumoirs, où elle a vécu pendant des années. "Les gens y meurent comme des chiens, personne ne vient les chercher", témoigne la jeune maman, dont les avant-bras portent les stigmates des injections d'héroïne. A 35 ans, Massita aussi est sous méthadone. Si elle a retrouvé un appartement, elle continue de passer ses journées au CASA pour "être avec des gens qui (la) comprennent". Le CASA ne peut accueillir tous les consommateurs: alors, des maraudes sont menées dans des fumoirs, aussi appelés ghettos. Dans ces abris de fortune, les usagers fument du crack, du cannabis, s'injectent de l'héroïne, et essayent de survivre. Un bon accueil est réservé aux visages familiers des bénévoles et employés de CASA, venus faire de la prévention, distribuer des préservatifs ou des seringues à usage unique. "On n'a pas la force, on est faibles. Mais avec de l'aide, on peut changer, et travailler", assure David Junior, 34 ans. "Beaucoup de personnes malades au fumoir n'osent pas venir au CASA", explique Anicet Tagnon, responsable des activités communautaires. "C'est donc le centre qui se déplace vers eux", poursuit-il. "Il y a un fort enjeu d'information. Certains ne savent même pas qu'ils pourraient avoir accès à de la méthadone", appuie le Dr Fériole Zahoui. Depuis son ouverture, sous l'impulsion de Médecins du Monde et géré par l'ONG Espace Confiance, le CASA estime avoir accompagné plus de 3.000 personnes. Son fonctionnement annuel coûte environ 218.000 euros, financés en grande partie par l'agence de coopération Expertise France.
En Corée du Sud, le taux de natalité est très faible
C'est au coeur de Conakry, une ville réputée pour sa richesse culturelle et ses nombreux artistes qui font la fierté de l'Afrique, dans le mythique stade de Petit Sory, que Souleymane Bangoura, communément appelé "Soûl Bang's" a décidé d'y écrire une nouvelle page de son histoire en y organisant son grand show inédit intitulé "Victoire".
C'est au coeur de Conakry, une ville réputée pour sa richesse culturelle et ses nombreux artistes qui font la fierté de l'Afrique, dans le mythique stade de Petit Sory, que Souleymane Bangoura, communément appelé "Soûl Bang's" a décidé d'y écrire une nouvelle page de son histoire en y organisant son grand show inédit intitulé "Victoire".
De réfugié à Prix Nobel de chimie, Omar Yaghi rend hommage à la "force" de la science
« Je voulais vraiment en finir » : le candidat exclu du Bac raconte sa tentative de suicide
Très actif sur les réseaux sociaux et adepte des sorties médiatiques commentées, Mounir Nasraoui a une relation fusionnelle avec son fils Lamine Yamal. À tel point d'avoir une mauvaise influence sur le podige espagnol du Barça? C'est ce qu'assurent certains observateurs. D'autres, comme le président Laporta, y voyant juste un père de famille "très passionné", fier de la réussite de son fils.
Un Comité départemental de développement (CDD) consacré à la préparation de la rentrée scolaire 2025/2026 s’est tenu jeudi à Dakar
Les éléments de la Brigade régionale des stupéfiants de l'OCRTIS de Kaffrine ont mené, le 1er octobre 2025 au petit matin, une opération coup de poing dans le département de Malem Hodar.
Xalam, DJ, prison, walkman… : Souleymane Faye en dix folles histoires
La Fondation Endeavour a organisé le samedi 27 septembre sa Rentrée Solidaire simultanément sur son site de Sabodala-Massawa et...
Dans les aéroports de l’Union européenne (UE), le temps des tampons sur les passeports est révolu
La Direction de la Santé de la Mère et de l'Enfant (DSME), en collaboration avec l'ONG RAES, a réuni ce mardi 30 Septembre à Dakar, les parties prenantes clés du secteur de la santé pour le lancement de l'atelier de partage du projet SANSAS.
L’Union africaine vient de décider, cette année, de la création d’une agence panafricaine de notation.