En écartant des marchés publics les entrepreneurs sénégalais et occidentaux, au profit de celles des Arabes, le fils du président, Karim livre le Sénégal à des individus, qui n’ont toujours pas de considération pour les droits de l’Homme.Karim avait préféré les Arabes au groupe Bolloré, qui a été supplanté dans l’enceinte du Port autonome de Dakar, par Dubaï Port world, et aux Américains, qu’il a évincé de la Plateforme de Diamniadio, pour, encore, Dubaï.
Il avait décliné l’offre d’achat du terrain qui abrite le champ de tirs des Mamelles qu’avait faite l’entrepreneur sénégalais, Yérim Sow. Il avait craché sur les 13 milliards de nos francs que celui-ci avait mis sur la table, pour livrer l’espace à l’entreprise koweïtienne, Kharafi.
Ceci, dans des conditions nébuleuses. Les termes de l’octroi du terrain sont, jusque-là, inconnus. Karim a écarté Jean Lefevre Sénégal, parce que son patron Bara Tall est le moins-disant des soumissionnaires. Karim s'est porté sur les Arabes. Se considérant comme race supérieure, les Arabes n’ont aucune considération pour les droits de l’Homme. En atteste l’esclavage, que pratiquent, encore, les Arabes et Berbères.
Ils foulent au pied les règles élémentaires de gestion et de transparence. Mais, Karim les préfère pour les ristournes qu’ils lui remettent, et, probablement, qu’il a la même vision qu’eux, sur l’espèce humaine. En tout cas, depuis que son père de président l’a appelé aux affaires, il agit comme tel avec ses collaborateurs.
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