UNE NUIT QUI FINIT MAL : Tenant à une passe avec préservatif, la prostituée se fait tabasser

Une fille de joie a passé un mauvais quart d’heure avec un client. Celui-ci a violenté la prostituée qui s’opposait à une relation sexuelle sans préservatif.

A l’heure ou tous les chats sont gris, la dame M. D. qui a ses bases dans l’un des nombreux bars restaurants de la place se fait aborder par un client et au terme de la discussion, ils tombent d’accord sur une passe pour la somme de 15.000 francs. Au moment de partir à l’hôtel et voyant que l’aube pointe du nez, la femme propose à l’homme d’aller chez elle pour lui éviter de rentrer le matin au vu de tout le monde avec des habits peu décents. En plus, propose-t-elle à son client, au lieu de payer 10.000 francs pour l’hôtel il n’a qu’à lui donner 5.000 de plus. Le marché conclu, M. D. et son client se rendent chez elle. Lors de l’acte sexuel, le client s’est mis tout à coup à s’agiter et à reprocher à sa partenaire sa passivité. Tout à coup, il l’insulte en lui disant qu’il allait retirer le préservatif.

Ne voulant prendre aucun risque, la prostituée s’oppose catégoriquement. C’est là que les choses ont dégénéré, puisque le bonhomme s’est mis à arroser de coups de poing la dame qui se blottit pour se protéger. Le client tire sur son greffage, enlevant du coup la moitié de ses cheveux.

Pour ne pas ameuter les voisins M. D. se laisse battre en silence et voler l’argent qu’elle a encaissé dès qu’elle a mis les pieds chez elle. Elle a dû son salut au chauffeur de taxi « clando » qui l’a conduite chez elle. Las de ne pas voir descendre la dame qui avait pris ses services pour un aller-retour, le chauffeur de clando est monté prendre des nouvelles. Lorsque le chauffeur a frappé à la porte, M. D. ouvre aussitôt pour sortir nue de la chambre. Dans sa panique, elle s’agrippe à la main du chauffeur et descend avec lui. Celui-ci la couvre de ses propres habits. Une fois remonté dans la chambre de M. D., le client rétorque au taximan et à la fille qu’ils sont de mèche pour l’agresser. Ne voulant pas que le voisinage soit attiré par cette histoire, la fille préfère laisser partir son client. Elle ignorait que celui-ci avait fait main basse sur son sac à main pour le vider des 20.000 francs encaissés.

Correspondance particulière