Farba Senghor n’a pas goûté l’image de Wade se débattant à 93 ans au milieu de l’arène politique. Pour l’ancien ministre le seul responsable de cette situation, c’est Karim Wade.
Numéro 7 toutes ces insultes pour Macky qui lui n'a jamais insulté quelqu'un. Après vos campagnes de diabolisation, de diffamation et de dénigrement , vous venez de vous rendre que vous avez mis le doigt dans vos c.....car le peuple lui, n'est pas ingrat et sait faire la différence entre le verbiage creux, les promesses illusoires et l'action sur le terrain Ce que MACKY a réalisé au Sénégal, aucun de ces prédécesseurs ne l'a fait et ce peuple, dont vous etes autoproclamés porte -parole, est plus intelligent que vous ne le croyez pour se laisser par des discours pompeux, de la fanfaronnade et de l'invective. Je jure que Macky infligera à l'opposition la plus grande défaite de l'histoire du Sénégal. Macky est un stratège politique et un homme intelligent; courtois, patriote et sincère et Dieu aime ceux qui font du bien.
ce mec a été le larbin du panafricain de Versailles pendant 20 ans et son intelligence "italienne" ne se réveille qu'aujourd'hui pour y voir enfin clair au sujet du fils de l'illustre kleptomane :
Comprenez que Karim n’a rien d’un africain souche mais il parle Il agit il réfléchit en Toubab et c’est Pourquoi il attend tout de son vieux papa.Sa maman une Toubabesse aussi a éduqué son fils en touban.Notez ceci:Quand le fils du paysan sénégalais est éduqué dès sa naissance par le président français malgré sa peau noire il reste français.De même quand même quand le fils du président François est éduqué dès sa naissance par un paysan sénégalais malgré sa peau blanche il reste sénégalais.Donc tout réside sur l’education
Comprenez que Karim n’a rien d’un africain souche mais il parle Il agit il réfléchit en Toubab et c’est Pourquoi il attend tout de son vieux papa.Sa maman une Toubabesse aussi a éduqué son fils en touban.Notez ceci:Quand le fils du paysan sénégalais est éduqué dès sa naissance par le président français malgré sa peau noire il reste français.De même quand même quand le fils du président François est éduqué dès sa naissance par un paysan sénégalais malgré sa peau blanche il reste sénégalais.Donc tout réside sur l’education
au senegal tout le monde connait la verite, personne n'est dupe. Le seul probleme est k chacun choisit son moment ou sa circonstance pour le reconnaitre. Wade n'a plus les manette, on redevient lucide.
seneweb arrêtez votre cinéma ce que vous faite n' a rien avoir avec le journalisme si vous voulez aussi chercher un nouveau métier allez au fond la caisse dans votre délire votre acharnement sur Wade en donnant a ce moins que rien la parole ne nous étonne pas
Macky a bouclé ses sept ans de gouvernance et sollicite un second mandat après avoir, renié tous ses engagements et terriblement dégradé toutes nos valeurs de référence. Nous refusons d’être amnésiques et nous rappelons encore comme si c’était hier son premier message à la Nation le 2 avril 2012. Il y affirmait notamment :
– « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.
– Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.
– À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !
Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».
Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.
Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
Macky a bouclé ses sept ans de gouvernance et sollicite un second mandat après avoir, renié tous ses engagements et terriblement dégradé toutes nos valeurs de référence. Nous refusons d’être amnésiques et nous rappelons encore comme si c’était hier son premier message à la Nation le 2 avril 2012. Il y affirmait notamment :
– « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.
– Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.
– À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !
Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».
Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.
Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
Macky a bouclé ses sept ans de gouvernance et sollicite un second mandat après avoir, renié tous ses engagements et terriblement dégradé toutes nos valeurs de référence. Nous refusons d’être amnésiques et nous rappelons encore comme si c’était hier son premier message à la Nation le 2 avril 2012. Il y affirmait notamment :
– « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.
– Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.
– À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !
Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».
Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.
Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
Macky a bouclé ses sept ans de gouvernance et sollicite un second mandat après avoir, renié tous ses engagements et terriblement dégradé toutes nos valeurs de référence. Nous refusons d’être amnésiques et nous rappelons encore comme si c’était hier son premier message à la Nation le 2 avril 2012. Il y affirmait notamment :
– « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.
– Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.
– À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !
Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».
Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.
Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
Macky a bouclé ses sept ans de gouvernance et sollicite un second mandat après avoir, renié tous ses engagements et terriblement dégradé toutes nos valeurs de référence. Nous refusons d’être amnésiques et nous rappelons encore comme si c’était hier son premier message à la Nation le 2 avril 2012. Il y affirmait notamment :
– « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.
– Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.
– À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !
Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».
Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.
Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
Macky a bouclé ses sept ans de gouvernance et sollicite un second mandat après avoir, renié tous ses engagements et terriblement dégradé toutes nos valeurs de référence. Nous refusons d’être amnésiques et nous rappelons encore comme si c’était hier son premier message à la Nation le 2 avril 2012. Il y affirmait notamment :
– « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.
– Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.
– À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !
Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».
Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.
Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
Macky a bouclé ses sept ans de gouvernance et sollicite un second mandat après avoir, renié tous ses engagements et terriblement dégradé toutes nos valeurs de référence. Nous refusons d’être amnésiques et nous rappelons encore comme si c’était hier son premier message à la Nation le 2 avril 2012. Il y affirmait notamment :
– « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.
– Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.
– À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !
Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».
Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.
Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
Macky a bouclé ses sept ans de gouvernance et sollicite un second mandat après avoir, renié tous ses engagements et terriblement dégradé toutes nos valeurs de référence. Nous refusons d’être amnésiques et nous rappelons encore comme si c’était hier son premier message à la Nation le 2 avril 2012. Il y affirmait notamment :
– « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.
– Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.
– À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !
Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».
Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.
Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
Macky a bouclé ses sept ans de gouvernance et sollicite un second mandat après avoir, renié tous ses engagements et terriblement dégradé toutes nos valeurs de référence. Nous refusons d’être amnésiques et nous rappelons encore comme si c’était hier son premier message à la Nation le 2 avril 2012. Il y affirmait notamment :
– « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.
– Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.
– À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !
Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».
Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.
Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
Macky a bouclé ses sept ans de gouvernance et sollicite un second mandat après avoir, renié tous ses engagements et terriblement dégradé toutes nos valeurs de référence. Nous refusons d’être amnésiques et nous rappelons encore comme si c’était hier son premier message à la Nation le 2 avril 2012. Il y affirmait notamment :
– « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.
– Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.
– À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !
Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».
Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.
Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
Macky a bouclé ses sept ans de gouvernance et sollicite un second mandat après avoir, renié tous ses engagements et terriblement dégradé toutes nos valeurs de référence. Nous refusons d’être amnésiques et nous rappelons encore comme si c’était hier son premier message à la Nation le 2 avril 2012. Il y affirmait notamment :
– « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.
– Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.
– À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !
Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».
Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.
Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
Macky a bouclé ses sept ans de gouvernance et sollicite un second mandat après avoir, renié tous ses engagements et terriblement dégradé toutes nos valeurs de référence. Nous refusons d’être amnésiques et nous rappelons encore comme si c’était hier son premier message à la Nation le 2 avril 2012. Il y affirmait notamment :
– « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.
– Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.
– À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !
Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».
Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.
Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
Macky a bouclé ses sept ans de gouvernance et sollicite un second mandat après avoir, renié tous ses engagements et terriblement dégradé toutes nos valeurs de référence. Nous refusons d’être amnésiques et nous rappelons encore comme si c’était hier son premier message à la Nation le 2 avril 2012. Il y affirmait notamment :
– « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.
– Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.
– À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !
Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».
Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.
Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
Macky a bouclé ses sept ans de gouvernance et sollicite un second mandat après avoir, renié tous ses engagements et terriblement dégradé toutes nos valeurs de référence. Nous refusons d’être amnésiques et nous rappelons encore comme si c’était hier son premier message à la Nation le 2 avril 2012. Il y affirmait notamment :
– « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.
– Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.
– À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !
Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».
Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.
Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
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38 Commentaires
Anonyme
En Février, 2019 (21:24 PM)Anonyme
En Février, 2019 (21:33 PM)Anonyme
En Février, 2019 (21:46 PM)Vive Sonko
Anonyme
En Février, 2019 (21:46 PM)Vive Sonko
Anonyme
En Février, 2019 (21:49 PM)Anonyme
En Février, 2019 (21:56 PM)Anonyme
En Février, 2019 (22:07 PM)Latrine
En Février, 2019 (22:08 PM)CE BLED EST UNE POUBELLE
Anonyme
En Février, 2019 (22:12 PM)Anonyme
En Février, 2019 (22:12 PM)Kassa
En Février, 2019 (22:18 PM)Focusactu.net
En Février, 2019 (22:23 PM)Anonyme
En Février, 2019 (22:28 PM)Anonyme
En Février, 2019 (22:29 PM)Anonyme
En Février, 2019 (23:12 PM)Anonyme
En Février, 2019 (23:36 PM)Anonyme
En Février, 2019 (00:23 AM)Oumou
En Février, 2019 (01:21 AM)– « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.
– Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.
– À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !
Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».
Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.
Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
Oumou
En Février, 2019 (01:21 AM)– « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.
– Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.
– À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !
Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».
Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.
Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
Oumou
En Février, 2019 (01:21 AM)– « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.
– Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.
– À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !
Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».
Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.
Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
Oumou
En Février, 2019 (01:21 AM)– « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.
– Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.
– À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !
Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».
Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.
Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
Oumou
En Février, 2019 (01:21 AM)– « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.
– Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.
– À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !
Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».
Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.
Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
Anonyme
En Février, 2019 (01:21 AM)Anonyme
En Février, 2019 (01:21 AM)– « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.
– Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.
– À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !
Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».
Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.
Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
Anonyme
En Février, 2019 (01:21 AM)– « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.
– Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.
– À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !
Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».
Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.
Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
Oumou
En Février, 2019 (01:22 AM)– « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.
– Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.
– À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !
Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».
Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.
Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
Anonyme
En Février, 2019 (01:22 AM)– « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.
– Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.
– À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !
Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».
Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.
Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
Anonyme
En Février, 2019 (01:22 AM)– « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.
– Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.
– À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !
Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».
Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.
Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
Oumou
En Février, 2019 (01:22 AM)– « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.
– Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.
– À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !
Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».
Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.
Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
Oumou
En Février, 2019 (01:22 AM)– « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.
– Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.
– À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !
Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».
Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.
Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
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En Février, 2019 (01:22 AM)– « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.
– Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.
– À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !
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Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
Anonyme
En Février, 2019 (01:22 AM)– « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.
– Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.
– À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !
Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».
Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.
Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
Sonko Rek
En Février, 2019 (01:23 AM)Sonko Rek
En Février, 2019 (01:23 AM)Anonyme
En Février, 2019 (01:23 AM)Anonyme
En Février, 2019 (04:18 AM)Anonyme
En Février, 2019 (04:18 AM)Anonyme
En Février, 2019 (08:37 AM)Participer à la Discussion