Les membres de la Commission électorale nationale autonome (CENA) sont obligés de travailler à la préservation de ’’l’intégrité du processus’’ électoral lors de la prochaine présidentielle, sachant que leur sens des responsabilités sera mis à l’épreuve lors de ce scrutin, a déclaré, lundi à Dakar, Doudou Ndir, président de l’instance chargée du contrôle et de la supervision du processus électoral.
‘’Notre patriotisme, notre sens de responsabilité, notre honnêteté individuelle et collective seront mis à l’épreuve et nous aurons l’obligation de préserver l’intégrité du processus pour assurer au vote son caractère transparent et démocratique tel que souhaité par le peuple’’, -t-il déclaré.
Le président de la CENA s’exprimait à l’ouverture d’un séminaire de renforcement organisé à l’intention des membres de la structure dont il est responsable, en partenariat avec le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD).
La rencontre de deux jours porte sur les nouvelles dispositions du Code électoral. Celles-ci "renforcent pour l’essentiel les pouvoirs de contrôle et de supervision du scrutin par la CENA", a dit Doudou Ndir.
Selon lui, la présidentielle du 26 février prochain sera un "test majeur" pour la CENA dont les membres sont à cette occasion appelés à prouver la crédibilité de l’institution. Il a souligné que c’est la prise de conscience de cet enjeu qui a amené sa structure à organiser ce séminaire.
Il s’agit, à travers cette rencontre, d’informer les membres de la CENA des nouvelles dispositions du Code électoral pour, ensuite, les initier à la nouvelle technique du processus de contrôle du scrutin, a expliqué M. Ndir. Il a noté que cela passe par une maîtrise du nouveau Code électoral porté à 360 articles contre 298 précédemment.
Le représentant du PNUD Francis James a pour sa part déclaré que ce séminaire de formation est important en ce qu’il permet d’espérer des participants une bonne tenue des prochaines élections qu’ils sont chargés de contrôler et de superviser.
Le nouveau Code électoral est le fruit d’une réflexion d’un comité national de veille regroupant les partis politiques, la Société civile, le Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA) ainsi que des magistrats.
SKS/BK
12 Commentaires
Mérrr
En Janvier, 2012 (17:57 PM)Boy Bandit
En Janvier, 2012 (18:03 PM)Anonyme
En Janvier, 2012 (18:08 PM)Dindy
En Janvier, 2012 (18:09 PM)Fier D Etre Senegalais
En Janvier, 2012 (18:11 PM)Dindon
En Janvier, 2012 (18:16 PM)Quelle est l'usine qui fabrique des Laye WADE, des GBAGBO, des Cheikh Tidiane DIAKHATE, des MUGABE, des Iba Der THIAM,des Farba SENGHOR, des Diouf NORMAL, des Mobutu SY, des Ndiaye P.A.I. ????????? Où a t-elle pris la matière première toxique lui ayant permis de produire ces créations fatales ??????? Écologistes du monde, ....
Sidy
En Janvier, 2012 (18:17 PM)IL NE FAUT PAS METTRE LES CHARRUES DEVANT LES WADE.........IL FAUT LE BALAYER D'ABORD PUIS ON VA PARLER.D'AILLEURS CE N'EST MEME PAS LA PEINE DE PARLER DE L'INTEGRITY DE DU CENA, C'EST UNE INSTITUTION QUI DOIT ETRE INTEGRE ET INDEPENDANTE A PRIORI.
Diop
En Janvier, 2012 (18:23 PM)I L FAUT CONTINUER LA LUTTE JUS QU A CE QU IL DÉGAGE
VIVE LA RÉVOLUTION DU PEUPLE ET PAR LE PEUPLE SEULEMENT
Farba
En Janvier, 2012 (18:31 PM)Wade Doul Way
En Janvier, 2012 (18:33 PM)Un Senegalais
En Janvier, 2012 (23:24 PM)Nous serons durs, sans haine et les deux bras ouverts,
L'épée, nous la mettrons dans la paix du fourreau,
Car notre travail sera notre arme et la parole.
Le Bantou est un frère, et l'Arabe et le Blanc.
Mais que si l'ennemi incendie nos frontières
Nous soyons tous dressés et les armes au poing :
Un peuple dans sa foi défiant tous les malheurs ;
Les jeunes et les vieux, les hommes et les femmes.
La mort, oui ! Nous disons la mort mais pas la honte
Energie Noire
En Janvier, 2012 (21:10 PM)Pas besoin de sortir de l'ENA pour prédire le bain de sang qui va s'en suivre, ni la chute brutale du tyran à l'instar de ses pairs qui n'ont pas eu la clairvoyance de partir alors qu'il est encore temps
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