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Politique

Soutien à Macky Sall en 2017 : Un ultimatum donné aux alliés

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Soutien à Macky Sall en 2017 : Un ultimatum donné aux alliés
L’Alliance pour la république (Apr) ne rigole plus. Les responsables des partis membres de la coalition «Benno Bokk Yaakaar», les alliés du Président de la République, Macky Sall, devront se déterminer. Sinon, ils vont directement vers un clash avec le parti présidentiel. Mahmoud Saleh, Directeur de cabinet politique du Président de la République, et Aminata Touré, ancien Premier ministre, ont carrément donné un ultimatum aux alliés. «Il est temps d’arrêter les tergiversations. 

La mise en place d’une coalition pour la réélection de Macky Sall en 2017, c’est maintenant et pas demain. Il faudra que chacun se détermine», déclare Mahmoud Saleh, hier, lors de la signature de partenariat entre l’Apr et la Coalition pour l’émergence de Me Ousmane Sèye. «Il est temps d’achever les consultations, de poser les actes pour mettre en place la coalition Macky 2035. On ne peut pas travailler avec quelqu’un, participer à son bilan et se retourner contre lui», ajoute Mahmoud Saleh. Mimi Touré de renchérir : «Il s’agit d’une réélection. Il ne s’agit pas de retourner à une situation antérieure. 

On ne saurait retourner à une discussion sur une pluralité de candidatures au sein de la coalition. Le candidat a été élu. Il réalise un programme. Il s’agit donc de le réélire». Un avis partagé par Me Ousmane Sèye. «Une coalition au pouvoir ne peut pas avoir plusieurs candidats. La théorie de la pluralité de candidatures vaut pour l’opposition. Vous ne pouvez pas être avec quelqu’un durant tout son mandat et dire que vous allez être candidat contre lui», dit-il. Selon «Le Quotidien», tous ces propos visent principalement le Parti socialiste dirigé par Ousmane Tanor Dieng, puisque Moustapha Niasse de l’Alliance des forces du progrès (Afp), président de l’Assemblée nationale, a déjà annoncé la couleur : son parti ne se présentera pas contre Macky Sall en 2017.


18 Commentaires

  1. Auteur

    Barra

    En Décembre, 2014 (06:56 AM)
    Un conseil a Macky, il faut imposer un candidat unique dans la coalition. Apres il faut foutre tous ces vieux politichiens en retraites forces.

    Les sénégalais vous en sauraient apprieciable éternellement.
  2. Auteur

    Matal Ngeu

    En Décembre, 2014 (07:56 AM)
    macky boulep diareh yoneu mouneu gaggner elections 2017.le parti socialiste aura un candidat.
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    Auteur

    Walo Dagana

    En Décembre, 2014 (08:09 AM)
    ON DIRAIT TU CONNAIS LAVENIR QUOI PURTANT WADE 2017 AVAIT PAS DE REALISATION ET POURTANT LES SENEGALAIS LONT REELU
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    Auteur

    Las

    En Décembre, 2014 (08:17 AM)
    franchement, le temps est venu de se déterminer et d'éclaircir les choses. l'heure de vérité va sonné. luy diott diotta ganaww déé !! Maki a été loyal à leurs égards ; une loyauté qui risque même de lui couter. ...

    Concernant les alliés, ils sont confronte à un véritable dilemme : s'ils tournent le dos en ce moment à Maki, ils auront fait preuve d'un manque de loyauté et d'une certaine traitrise et conforteront l'idée qu'ils étaient dans le pouvoir pour amasser des trésors de guerre pour aller à l'assaut de Maki, leur bienfaiteur. Dieu et le Peuple sénégalais n'aimant pas les traitres, ils seraient laminés aux prochaines présidentielles....au profit de Maki. S'ils restent, leurs partis seront très affaiblis; l' AFP et le PS deviendront des partis al toppé, genre PIT et LD et disparaitront dans les prochaines années!!! Et 2017 n'aura pas cet aspect tragique de revanche à prendre au profit d'un candidat victime qu'adorent les sénégalais.Un dilemme cornélien!! l'opposition jouera à fonds cette carte de victimisation pour KW et / pour Idy mais ça risque de ne pas fonctionner pour eux (casserole, absence de projets et de discours politiques). Tout comptes faits, politiquement Maki est très stratégique et est très loin d'être le petit naif tombé par hasard dans la soupe.





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    Auteur

    Dev

    En Décembre, 2014 (08:19 AM)
    Macky nak macky nak boulene gniu founto vous avez partage le senegal pendant cinque ans sa sufi on gravement regrete wade mon cher
    Auteur

    Ngor

    En Décembre, 2014 (08:50 AM)
    En démocratie, on peut (et ça se fait) s'entendre sur un contrat de législature, qui consiste à gouverner ensemble pendant du mandat (présidentiel ou législatif)sur un programme accepté par les partis membres de la coalition. A la fin du mandat, chaque parti reprend sa liberté et va aux élections en développant sa spécificité, mais avec l'accord qu'on soutient au 2ème tour le candidat le mieux placé (c'est au peuple de trancher qui est le mieux placé et non les appareils des partis) et décider de gouverner ensemble si on gagne. Dans les grandes démocraties avec des élections à 2 tours, c'est comme ça que ça se passe: au 1 er tour, on se compte et le peuple décide; au 2nd, les plus proches, en terme de programme, se rassemblent.

    -
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    Auteur

    Hhh

    En Décembre, 2014 (09:28 AM)
     :tala-sylla:  :up:  :sn:  :dedet:  :haha:   <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">   :sad:  :?:   <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/khelou.gif" alt=":khelou:">   :love:  :cry:  :hun:   <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/cool.gif" alt=":cool:">   :-D :)
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    Auteur

    Bidou

    En Décembre, 2014 (10:16 AM)
    Inch Allah Khalifa SALL sera candidat par ni ou né et il gagnera les élections avec le PS c'est la seule constante
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    Auteur

    Xuli

    En Décembre, 2014 (10:27 AM)
    ON NE PEUT PAS ELIRE QUELQU UN ,PARTAGER SON BILAN ET SE PRESENTER CONTRE LUI AUX PROCHAINES ELECTIONS. BIEN DIT. MAIS POURQUOI N Y AVOIR PAS PENSE LORS DES ELECTIONS LOCALES????

    A SAINT-LOUIS LA CABALE CONTRE BAMBA DIEYE A SCELLE LA MORT DE BENNOO BOK YAKAAR. AILLEURS CE SERA AUSSI LA MEME CHOSE
    Auteur

    Seynabou Dieng

    En Décembre, 2014 (10:43 AM)
    Comme on dit souvent l' apétit vient en mangeant...Pauvres Hommes ils n'ont rien compri de ce que c'est l'amour pour sa nation ...

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    Auteur

    Diouf

    En Décembre, 2014 (10:58 AM)
    Momar Seyni Diouf commented on an article.

    21 juillet ·

    SURE QUE: SI LE PRÉSIDENT SUIT LE CAP DE SON ENGAGEMENT POLITIQUE AVEC LES REFORMES PROMISES DANS LES TEMPS DE SON PREMIER MANDAT, PLUS ; QUELQUES IMPULSIONS POUR LES RÉALISATIONS DE GRANDS TRAVAUX COMME LES CHEMIN DE FER ET D AUTRES INFRASTRUCTURES MAJEURS .LE PEUPLE DANS SA GRANDE MAJORITÉ VOTERA LES YEUX FERMÉS POUR LE DEUXIÈME MANDAT DU PRÉSIDENT SALL . TOUT LE MONDE EST CONSCIENT DE LA NÉCESSITÉ DE CONNIVENCE ET DE SACRIFICE A LA CLASSE POLITIQUE DE MÊME QUE LA SOCIÉTÉ CIVILE POUR UN RACCOURCI DE TRAJECTOIRE ET A UNE MEILLEURE ORGANISATION SOCIALE ET ECONOMIQUE RÉFLÉCHIE ET VOULUE DANS UNE RIGUEUR OBSERVÉE PAR TOUS !!! AFIN DE METTRE LE PAYS SUR LES RAILS DE LA MODERNITÉ ET DE L ÉMERGENCE...(SEUL MOYEN A BIEN RÉORGANISER UN PAYS PAUVRE ET NON DÉVELOPPE COMME LE NOTRE... SANS TROP DE DÉGÂTS...DANS DES LUTTES POLITICIENNES SANS RÉELLES INTÉRÊTS SI CE N EST DIVISER PLUS...ALOURDIR L' IMPULSION NÉCESSAIRE A TOUTE BONNE ASCENSION....) DONC FAUDRA FAIRE TRAVAILLER DANS CE BUT LES VRAIS PATRIOTES GAGE DE L’INTÉRÊT DU PLUS GRAND NOMBRE !!! POUR UNE STABILITÉ NÉCESSAIRE ET A UNE MEILLEURE CONSOLIDATION DU SOCLE DE NOTRE DÉMOCRATIE ET DE LA COHÉSION DU PAYS.MERCI
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    Auteur

    Daanuleer

    En Décembre, 2014 (12:55 PM)
    Ces gens n'ont bien lu les résultats des élections locales . Ceux qui pensent encore que l'APR ou Macky 2012 peut se lasser de BBY vont se tromper une fois encore aprés la correctionnelle des dernieres locales .
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    Auteur

    Tabakh Sénégal Bou Bakh

    En Décembre, 2014 (13:52 PM)


    Du financement public des partis, comme moyen pour un espace politique plus éthique et plus utile au Sénégal

    Il y a eu et il y aura sans doute, et nous l'espérons cette fois là, sérieux et de fond, un débat national sur le financement des partis politiques à partir des fonds publics nationaux (budgets ministériels et fonds politiques présidentiels entre autres et en l'état actuel des choses).

    En effet, c'est là nous semble t-il, un débat fondamental à mener jusqu'à son terme, si nous voulons:

    - d'une part, qu'il y ait un frein définitif à la prolifération malsaine voire absurde, des partis politiques "propriétés personnelles", dans notre espace politique national,

    - et d'autre part, que le parti politique, défini par la science politique classique comme un instrument collectif de conquête et de conservation du pouvoir politique, devienne dans notre société, autre chose qu'un simple outil manipulatoire de foules, détenu par quelqu'un ou quelques uns, pour des fins souvent crypto-personnelles mais cachées (par exemple, la piètre et secrète ambition de participer tant soit peu au partage longtemps fantasmé "du gâteau" national), et revêtues du manteau convenu de l'Intérêt Général.

    C'est dans cette optique, que nous souhaiterions en toute humilité, apporter des éléments de réflexion contributifs à un débat, que tout Sénégalais soucieux du meilleur devenir possible pour son pays, devrait à la limite exiger, ne serait-ce qu'en tant que contributeur par son impôt, à la constitution du trésor public.

    Ce serait là, une exigence hautement citoyenne!

    Car, il est capital de se rappeler et de rappeler, que quelque soit le degré de "saleté" pouvant être perçu, à tort ou à raison, comme caractérisant la politique telle que pratiquée chez nous, cette dernière est et sera toujours dans toute l'histoire de toute l'humanité, le déterminant décisif dans l'évolution de toute communauté donc de la nôtre.

    Et ça n'est pas parce qu'elle est perçue parfois comme "sale", que la politique cessera un jour d'être l'élément majeur du lien social dynamique, qui est au fondement même de l'évolution de toute société.

    D'où, l'importance et l'incontournabilité d'un débat sérieux et de fond, sur le rôle et le fonctionnement des partis politiques, qui sont dans notre espace public contemporain, les lieux par excellence, de maturation et d'émergence des conceptions qui animent et modèlent l'action publique, telle qu'incarnée dans les pratiques de nos différents hommes politiques.

    Si la définition classique du parti politique dit de celui ci, qu'il est un instrument de conquête et conservation du pouvoir, cette définition mériterait tout de même d'être complétée. Au delà de la conquête et de la conservation du pouvoir, il serait aussi pertinent de s'interroger sur ce qui peut et doit être fait avec le pouvoir conquis et qui sera à même, d'en justifier et d'en consolider la légitimité, rapportée à la réalisation de l'Intérêt Général, qui demeure hic et nunc, le "légitimateur" absolu de tout pouvoir politique dans une société réellement démocratique.

    Ce faisant, dans une formation sociale ayant pour crédo ultime, le principe politique de la démocratie représentative comme forme choisie d'organisation socio-politique, se donner les moyens entre autres, par la création d'un parti politique, d'accéder au pouvoir, de l'exercer et de vouloir continuer à l'exercer aussi longtemps que possible, sont tout à fait légitimes, pour tout individu appartenant légalement à cette formation sociale et reconnu par ses semblables et selon certaines modalités, apte à la fonction d'Homme d'Etat.

    Ce serait là, une ambition parfaitement justifiée pour tout citoyen au sein de tout système socio-politique dit démocratique.

    Mais la légitimé d'une telle ambition, si celle ci se réalisait, n'aurait toutefois de sens, que si l'exercice du pouvoir conquis et son impact global sur le devenir et l'épanouissement de la communauté concernée, étaient majoritairement attestés positifs par les autres membres de cette communauté.

    Si tel n'était pas le cas, la légitimité d'un tel pouvoir ne saurait tenir. Et des exemples pertinents dans notre histoire politique récente (mars 2000, juin 2011, mars 2012) pourraient l'attester à suffisance, s'il en était besoin.

    Le pouvoir politique étant au sein d'une société, l'outil quasi-incontournable pour la réalisation des transformations nécessaires à la production collective du mieux être pour tous, le parti politique comme moyen d'accès à ce pouvoir s'impose dès lors comme une affaire absolument sérieuse.

    Et paradoxalement, la prolifération à hue et à dia des partis politiques et le management même de ces partis dans l'espace public, surtout depuis l'an 2000 au Sénégal, peut hélas donner quelquefois, une image hideuse de l'activité politique sous nos cieux. Le plus grave, c'est qu'au fil des années, une certaine dynamique va crescendo, aussi bien dans la folle prolifération des partis que dans la médiocrité des discours de plus en plus remarquée chez beaucoup de nos hommes politiques.

    Partis politiques "télé centres", "transhumances" éhontées d'un parti politique à un autre et socio-culturellement admises, absence totale de programmes politiques dignes de ce nom, mouvements de soutien à un individu et non à un programme (par exemple: "Abdo niou doy" qui aurait du engendrer logiquement un "Laya niou doy"), leaders de partis intellectuellement limités, chantages sordides et attaques ad-hominem sans retenue, règlements de comptes crypto-personnels, absence de visions claires sur les réalités globales du pays, identitarismes ethnocentristes, régionalistes ou autres assumés sans états d'âme etc...

    Tel pourrait être sommairement dépeint, le visage politico-politicien peu reluisant d'un Sénégal d'aujourd'hui, se voulant parfois avec tonitruance, modèle démocratique. Et le plus atterrant c'est que ça passe! Et cela, beaucoup trop souvent, dans une Afrique sub-saharienne, complètement malade de son actuel leadership plutôt infantilisant.

    Pauvres africains que nous sommes!

    N'est-il pas plus que temps de se réveiller enfin et d'arrêter de se réfugier illusoirement dans un passé soporifique, mythifié et inlassablement reconstruit en pure perte, à partir d'une énergie mentale qui utilisée autrement, aurait pu nous permettre d'envisager plus courageusement, un avenir autre que celui qu'une mondialisation ancienne et impitoyable nous a jusqu'ici réservé dans la Grande Histoire de l'Humanité?

    Pour que des ruptures radicales et salvatrices puissent à ce propos, s'opérer dans notre espace politique il faudra que l'Etat, en tant que "incarnation" régalienne de nos différents intérêts puisse se donner vigoureusement, les moyens d'une redéfinition rectificatrice, du rôle et de la fonction du parti politique dans l'action publique, afin que celle ci, soit davantage productrice de développement économique et social pour tous et non plus de duperies, de démagogie et de populisme récurrents, piteusement et uniquement électoralistes.

    Parmi les moyens auxquels l'Etat pourrait avoir recours, pour promouvoir une vision nouvelle du rôle et de la fonction du parti dans l'espace public, il devra y avoir avant tout, une volonté politique clairement affirmée de contribuer par un financement publique conséquent et transparent au "boosting" des activités des partis politiques.

    Une telle volonté politique, combinée à la mise en place de mécanismes permanents de concertation entre acteurs sociaux et politiques, devra permettre aux partis de mener avec plus d'inspiration et de pédagogie, leurs activités légales et légitimes, dans une perspective, bien entendu, de conquête du pouvoir politique mais également, dorénavant et surtout, de mieux assumer une mission d'intérêt général, à travers de véritables programmes d'éducation de masse à une citoyenneté responsable, pour un développement économique et social national et durable.



    Enfin et in fine, dès le moment où toutes ces activités auront été consensuellement adoubées d'utilité publique et que des fonds publics y seront investis, l'Etat aura alors et plus encore, la légitimé et le devoir de concevoir un cadre législatif nouveau et rigoureux, ainsi qu'un outil méthodologique exigeant en termes d'évaluation ex-ante et ex-post de chaque parti politique, quant à ses capacités propres à contribuer par lui même sur les plans financier (taux à fixer) et conceptionnel (ressources humaines compétentes pour la conception et la mise en œuvre des activités), au déroulement de son programme, devant comprendre obligatoirement au moins deux volets: un volet propagande spécifique à chaque parti et un volet éducation à la citoyenneté qui lui, sera commun à tous les partis juridiquement reconnus.

    Cette vision qui est nôtre et que nous souhaiterions voir mise en œuvre dans notre pays, pourrait tout en contribuant à assainir notre espace politique public, le rendre également plus efficace dans la réalisation de l'Intérêt Général, traduit en un développement économique et social global à moyen et long terme.

    Mais il va sans dire, que la traduction d'une telle vision en réalité effective, ne manquera pas de poser de sérieux problèmes d'ordre politique et juridique, car des habitudes et des pratiques se sont cristallisées chez nous, depuis l'époque des "Doléances des Habitants du Sénégal aux Etats Généraux" de la France Révolutionnaire de 1789 jusqu'à la seconde Alternance de mars 2012 dans un Sénégal indépendant.

    Toutefois, nous n'en demeurons pour autant, moins convaincu, qu'avec de l'audace et le courage politique d'un leadership visionnaire et sincèrement au service de l'Intérêt Général, presque rien n'est impossible, dans un Etat de Droit bien doté en Institutions idoines et fortes.

    Cette même conviction, nous amène et en conclusion, à faire la proposition de la mise en place au Sénégal et pour la gestion du financement des partis politiques, d'une Haute Autorité du Financement et de la Régulation des Partis politiques (HAFRP)





    Dakar le 09/12/2014

    El Hadj NGOM alias LAT DEGUENE THIARE

    Depapiop CRAAF



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    Auteur

    Oui-oui

    En Décembre, 2014 (14:37 PM)
    Ce monsieur Salé est pire que SATAN
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    Auteur

    Tanoor

    En Décembre, 2014 (15:24 PM)
    HAHAA LE RIDICULE NE TUE PAS a L'A.P.R «Il est temps d’achever les consultations, de poser les actes pour mettre en place la coalition Macky 2035. On ne peut pas travailler avec quelqu’un, participer à son bilan et se retourner contre lui»  <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">   :dedet:  :down:  :tala-sylla: 
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    Auteur

    Maky Mo Day Lal Bi

    En Décembre, 2014 (17:32 PM)
    Niall fayda
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    Auteur

    Lettre Du Continent Mittal

    En Décembre, 2014 (20:24 PM)


    Dans l’article publié par la "LC", on apprend qu’un individu, une dame certainement a appelé deux fois au Tribunal Arbitral de Paris pour se passer pour l’agent judiciaire de l’Etat Aissé Gassama Tall pour demander la clôture du dossier. Mais le tribunal a refusé parce que ne reconnaissant pas cette personne. Le Tribunal a exigé une correspondance écrite de l’Agent judiciaire de l’Etat pour clore le dossier. Une lettre qui n’a jamais été écrite puis que la dame a refusé de jouer le jeu des corrompus. Finalement elle sera écartée et le dossier confié aux Ministre des Finances et des Mines.



    Le journal nous apprend aussi que le Sénégal n’a reçu que 72,2 dollars et non 75 dollars comme annoncés par le premier Ministre.



    La Lettre du Continent révèle que Me François Meyer, avocat avocat personnel de Macky Sall et dernier venu dans l'affaire, s'est fait virer cette somme dans son propre compte. Comme si l’Etat se résume en la personne de Macky Sall.



    Enfin, le journal a confirmé que le cabinet américain Gustavson Associates a évalué à 5 milliards de dollars (2500 milliards de FCFA) la somme que Mital doit au Sénégal. Voici l'article de la "Lettre du Continent"



    Auteur

    Fans

    En Décembre, 2014 (21:45 PM)
    il y aura une tres grande surprise pour les elections 2017 INCHALLAH les senegalais en ont marre des politiciens ,, ils veulent essayer d autres ,, depuis 1960 c est ups , ps ,, des voleurs tous ,, ensuite pds ,le plus minable parti du monde avec a sa tete l homme le plus sale de la planete terre ,, puis vient apr un demembrement du pds de meme rewmi ,, alors est ce que ces gens croient etre investis PAR allah ? on verra INCHALLAH
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