La candidate Amsatou Sow Sidibé a passé la nuit d’avant-hier à Sokone. Hier, aux environs de 12h 30, elle a voulu poursuivre sa campagne au village de Wack Ngouna. Or le candidat des Fal 2012, Abdoulaye Wade, était en train de rallier Sokone au moment où la bonne dame devait en sortir. D’après nos confrère du Quotidien qui ont donné l’information, les forces de sécurité qui avaient jalonné la route goudronnée, ont intimé l'ordre à la candidate de de Car/lenen de changer d'itinéraire pour laisser passer Gorgui. « Ils m’ont demandé de prendre la route sablonneuse, parce qu’Abdoulaye Wade devait prendre la route goudronnée. Pourtant Wade est arrivé en hélicoptère. Ils ont rompu le principe de l’égalité entre les candidats », a-t-elle pesté au téléphone de nos confrères. Eh quoi, à tout seigneur, tout honneur ! Amsatou révèle avoir roulé sur les pistes sablonneuses jusqu’à destination (c'était ça, ou " xar leneen ", car là où Gorgui passe, les autres candidats trépassent !) . « Nous sommes arrivés à Wack Ngouna tout en poussière (N.d.r. : ça moom, c'est certainement la faute au Ps qui n'y a pas construit de route, comme le dit notre Gorgui national ! ). Le ministre de l’Intérieur Ousmane Ngom doit démissionner », soutient–elle. Elle peut toujours attendre la St Glin-glin quand les poules auront des dents !
24 Commentaires
5unugal
En Février, 2012 (13:17 PM)j'hesite de voter pour lui ou macky
Luis
En Février, 2012 (13:19 PM)Vive Macky Sall futur présidet du Sénégal.
Vive Macky Sall futur présidet du Sénégal.
Vive Macky Sall futur présidet du Sénégal.
Lalafall
En Février, 2012 (13:19 PM)Fall
En Février, 2012 (13:19 PM)5unugal
En Février, 2012 (13:19 PM)j' rate jamais le journal de la campagne
y'a trop de guignoles parmi ces candidats
Ad-on
En Février, 2012 (13:21 PM)Fii Leu
En Février, 2012 (13:21 PM)WADE TU DOMINES DANS LA DOULEUR, PAR LA DOULEUR TU PERIRAS
Oumane Ngom ministre assassin, criminel, prêt à tout pour confisquer le pouvoir, si jamais tu mets le pays dans le KO, ta famille et toi seront les premiers à y périr.
NE FORCEZ PAS ! Abdoulaye Wade sera battu, soyez un peu démocrate et accecptez votre défaite sur toute la ligne, zéro partout, rien ne marche dans ce pays, vous n’avez pas de vergogne, vous ne devez même pas se permettre de battre campagne, vous êtes haï de partout, au niveau national et international, cette jeunesse que vous maltraitez, que vous méprisez, ce sera cette même jeunesse qui vous fera tomber le soir du 26 février 2012.
Je fais partie de ces milliers de jeunes qui avaient voté pour toi en 2000, tu nous avais tous promis les sept merveilles du monde, mais tu n’en as rien fait, on n’a pas besoin de toi à la tête de notre gouvernement, tu n’es là que pour passer le fauteuil à ton fils, mais toi tu sais pertinément que tu ne pourras continuer ton mandat, tu le sais, tu n’en as pas les capacités, tu es drogué, bourré de stupéfiants pour que tu puisses tenir debout, on sait tout malheureux président
ARRETEZ DE.NOUS MONTRER LES IMAGES DE LA CAMPAGNE DE 2007 A LA RTS1, ON N’EN A PAS BESOIN DES IMAGES MONTEES ET TRUQUÉES ET FAUSSES SUR TOUTE LA LIGNE
SOYEZ VIGNILANTS VOUS LES OPPOSANTS, TENTATIVE DE VOL ET DE FRAUDE DU PDS LE JOUR DU SCRUTIN DES MILITAIRES ET PARA MILITAIRE LE, SOYEZ VIGILANTS LES 18 ET 19 FEVRIER
MILITAIRES ET PARA MILITAIRES, N’IREZ PAS VOTER LES 18 ET 19 FEVRIER 2012, C’EST UNE PORTE POUR LA FRAUDE ET LE VOL DU PDS
SOYEZ VIGNILANTS VOUS LES OPPOSANTS, TENTATIVE DE VOL ET DE FRAUDE DU PDS LE JOUR DU SCRUTIN DU 26 FEVRIER 2012
A BAS WADE
NON AU COUP D’ETAT ELECTORAL
A BAS WADE
NON AU COUP D’ETAT ELECTORAL
A BAS WADE
NON AU COUP D’ETAT ELECTORAL
A BAS WADE
NON AU COUP D’ETAT ELECTORAL
A BAS WADE
NON AU COUP D’ETAT ELECTORAL
A BAS WADE
NON AU COUP D’ETAT ELECTORAL
Ngor
En Février, 2012 (13:22 PM)"ceux qui vous disent de voter pour eux non meme pas d'emploi, donc pas la peine qu'ils vous garantissent un emploi"????????
jour aprés jour cette opposition montre ses limites et donnent de plus en plus raison à ndiombor.
cette opposition ne croit meme pas en elle, hiers tout le monde a entendu bamba dieye dans le journal de la campagne faisant allusion à macky sall dire:
"je m'adresse à ceux qui sont dans les campagnes à faire campagne que c'est inutile de leur part de gaspiller leur argent pour des éléctions que wade a déjà fraudé"
Si au 21 ème siècle une opposition n'est pas capable de veiller à ce qu'un fichier électoral soit fiable et à ce que des élections libres et trasparentes soient organisées inutile est à mon avis le fait de déposer leurs candidatures.
Abdoulaye wade avant 2000 amoul wone lou soukar made aprés 2000 multi-milliardaires avec sa famille.
macky sall avant 2000 moy lolou
idrissa seck moy lolou
tanor dieng ça fait 12 ans qu'il ne fout rien à part son poste de sécrétaire général du ps, il paie ses gardes du corps, 65 millions de caution, il a combien de femmes??????
j'en passe, ils sont tous pareils pas la peine de s'entre-tuer pour la défense d'une constitution qu'eux meme vont aprés bafouer. Qu’en est il des feux mamadou diop, le jeune ba de sangalkam, les victimes de podor(paix en leur âme) pourtant ont tous opposition et régime en place tour à tour présenté les condoléances à leurs familles respectives!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Lagaffe
En Février, 2012 (13:22 PM)Ngor
En Février, 2012 (13:24 PM)celui des denrées de premières nécessité augmente
à en souffrir c'est le badolas et ses enfants
quand il y a marches, manifestations
quand la police tire une balle perdue
à en mourrir c'est le fil du badola
quand le prix du carburant augment
du coté des progénitures de wade et de ses alliés
circulent les bons de carburants
du coté de niass, macky, idy, tanor
amoul blem il y a le coffre-fort de papa
quand il y a marches, manifestations
quand la police tire une balle perdue
les fils de macky, idy, gadio, bamba dieye
niass, tanor dieng ont déjà quitter les lieux,
du coté inverse les fils de wade, ndéné ndiaye, djbo, farba
se préparent pour l'aéroport
Véridique
En Février, 2012 (13:25 PM)Wade Rek
En Février, 2012 (13:27 PM)Laskha
En Février, 2012 (13:35 PM)Tif
En Février, 2012 (13:38 PM)Seck
En Février, 2012 (13:38 PM)Gaye
En Février, 2012 (13:39 PM)Seck
En Février, 2012 (13:39 PM)Repugnant
En Février, 2012 (13:41 PM)Bouuuuuuuuuuuu
En Février, 2012 (13:55 PM)Incertain
En Février, 2012 (16:05 PM)Gregg
En Février, 2012 (11:47 AM)D. Dieng
En Février, 2012 (12:01 PM)Ami
En Février, 2012 (07:18 AM)Orléans45
En Février, 2012 (08:16 AM)Manifeste de « Devoir de Résistance »
« Lorsque la vérité est remplacée par le silence, le silence devient un mensonge » Yevgeny Yevtushenko
Il est des moments dans la vie d’une nation où le silence est complice et l’inaction coupable. Le Sénégal est en face d’un coup de force sans précédent, qui prend les allures d’un coup d’Etat constitutionnel, prélude à un hold-up électoral.
Il est nécessaire de revenir quelque peu sur le débat de la constitutionnalité de la candidature de l’actuel Président de la République. L’initiateur de la réforme constitutionnelle du 22 janvier 2001, Abdoulaye Wade lui-même, en avait précisé l’esprit et fixé la compréhension en déclarant publiquement, urbi et orbi, qu’il ne pouvait se présenter à la magistrature suprême plus de deux fois, car il avait lui-même verrouillé la Constitution et limité la consécution des mandats à deux. Plus tard, dira-t-il « j’avais dit, je me dédis… ». Soit, grand bien lui en prenne. Se dédirait-il que toute la nation sénégalaise comme un seul homme devrait le faire avec lui ?
Toujours est-il que débats d’interprétations, arguties juridiques et joutes sibyllines ne feront rien devant cette idée simple que nous avions tous comprise : pour garantir la respiration démocratique, un président élu ne pouvait faire au maximum que deux mandats consécutifs et s’en aller. Il lui était même loisible, s’il le souhaitait, de revenir plus tard briguer les suffrages du peuple, après qu’un autre sénégalais eût à son tour occupé la fonction présidentielle. Cette idée, nous l’avons confiée au langage et à un texte dit fondamental, notre Constitution.
Les institutions ne valent que par les hommes qui les incarnent. Si ces derniers les trahissent en les vidant de leur substance, elles perdent de fait leur légitimité, deviennent des formes creuses et ne doivent plus être obéies. Nous ne pouvons et ne devons accepter la décision d’un conseil constitutionnel aux ordres qui ne dit point le droit, ne préserve point les valeurs communes que nous nous sommes choisies, mais l’intérêt privé et la surdité à l’intérêt général. Ce sont à des valeurs que nous donnons forme en créant des institutions qui sont les cadres devant garantir leur expression et préserver leur partage commun. Lorsque ces cadres ne les expriment plus et que les hommes censés les incarner foulent au pied, en toute conscience, celles que nous nous sommes données, il n’est d’autre choix que le refus et la résistance. Les gardiens de notre Constitution et du sens de notre loi fondamentale, ont déserté le temple, la besace remplie de pièces d’or rapinées, la livrant à des pilleurs. Nous devons les chasser et rebâtir nos édifices.
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Qu’un clan tente de violer notre constitution, voici un fait indéniable que nous ne pouvons que constater. Si cependant, par lassitude, par manque de conviction et de courage, par faiblesse devant l’inéluctabilité supposée d’un fait accompli, nous y consentions, nous partagerions avec lui la responsabilité d’avoir totalement délégitimé et désacralisé notre loi fondamentale et par conséquent de ne plus pouvoir en faire un horizon, une référence intouchable, une ultima linea.
Le temps des indignations feutrées de salon, des petits calculs, de la préservation d’intérêts mineurs et privés, de la posture d’intellectuels prudents « sages et avisés » est révolu. Des jeunes gens souvent sans diplômes ni grades, ayant beaucoup à perdre et peu à espérer ont montré le seul chemin qui vaille. Devant ce crachat projeté à la figure de tous les sénégalais, toutes les femmes et tous les hommes de bonne volonté qui sentent quelque part en eux, parfois obscurément, la profondeur de cette ignominie, doivent se lever, s’engager, agir concrètement devant l’urgence de la situation pour rétablir la dignité des règles du vivre ensemble que notre nation s’est choisie. Une dictature rampe et ne s’installe que lorsque les citoyens sont atomisés, retardent le moment de l’action, laissent le soin à d’autres de prendre en charge le refus nécessaire qui préserve la liberté de tous. Dans un Etat de droit, lorsque les normes sont désertées de l’esprit de préservation contre l’arbitraire des gouvernants et des juges, elles cessent d’être légitimes. La régularité formelle apparente de la règle ne suffit alors guère à réparer le vice de son irrégularité substantielle, son illégitimité augurant son ineffectivité ! L’insoumission, dans ce cas, est un devoir civique, si tant est que le civisme traduise encore notre « amour des lois ». Le fait peut rétablir le droit et c’est à cela que nous appelons nos concitoyens : ne pas entériner un fait apparemment accompli. Plus que ce qui arrive, c’est la manière dont nous y faisons face qui importe.
Devant l’urgence de la situation, nous avons décidés de quitter le silence de nos amphithéâtres et de nos laboratoires de recherche pour lutter et préserver notre Démocratie et notre République. Nous nous devons en tant qu’Universitaires et Citoyens d’incarner les valeurs que nous professons. Instruire, éduquer, éclairer peut-être, telles sont les missions que la nation nous confie, ce sacerdoce nous enjoint également, lorsque les valeurs que nous transmettons tous les jours sont en péril, de prendre position et de les défendre. Il s’agit aujourd’hui de se dresser, de faire front contre la tentative de nous déposséder de notre liberté de choix. Cet appel s’adresse à tous les citoyens sénégalais soucieux de préserver le bien commun le plus précieux dont nous disposons : notre République.
La bataille doit se mener sur plusieurs fronts. Celui d’abord de la délégitimation de la candidature inconstitutionnelle de Wade, celui ensuite de la transparence des élections, et enfin celui du refus d’un hold-up électoral qui se profile.
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1) D’abord continuer à Résister contre cette candidature illégitime et illégale dans l’esprit et dans la lettre. Le faire avec toute la mesure, la dignité, la force et la sérénité de la conviction qui nous anime. Manifester inlassablement notre refus dans toutes les places symboliques de toutes les villes et bourgades du Sénégal, tous les jours, pacifiquement, autant de temps qu’il le faudra. Essuyer la répression qui va s’afficher hardiment, l’endurer, revenir, se dresser à nouveau, jusqu’au bout. La tentative de confisquer notre liberté de choix et notre souveraineté mourra à la barricade que nous lui aurons choisie. Aujourd’hui, elle prend le visage d’une candidature illégitime qu’il faut combattre avec la dernière énergie. Il importe de résister et d’empêcher Abdoulaye Wade, par un front de refus sans concession de se présenter à un troisième mandat, car aller aux élections avec sa candidature, c’est accepter de jouer un jeu dont les dés sont déjà pipés. Comme lorsque vous acceptez de jouer un match de foot avec douze adversaires en face au lieu de onze et que vous reprochiez à cet intrus de marquer un but avec la main. C’est une pente glissante, dès que nous y consentons, l’abîme nous guette. Le refus doit être ici primal, originel, de principe, total.
La campagne électorale d’un scrutin originellement entaché est enclenchée et le passage en force pourrait sembler déjà consommé et inéluctable. En réalité, il n’en est rien. Si nous devons gérer le paradoxe d’une élection avec un candidat illégitime entré dans le jeu par effraction, les solutions existent et demeurent. 1. Se mobiliser, aller voter et lui infliger une sévère défaite qui, par son ampleur, exprimera le rejet populaire et massif de son régime, de ses pratiques et de celles de son clan. 2. Continuer à informer et à sensibiliser l’opinion sur le fait que la candidature de Wade est inconstitutionnelle et qu’elle le demeure. 3. L’exclure car il ne doit pas faire partie du jeu. Puisqu’il y est entré frauduleusement, en considérant qu’il n’en fait pas partie, en ne l’y associant pas, en ignorant tout simplement son bulletin le jour du vote, nous rétablirons le droit par le fait. Bokku ci, bouleen ko ci boole : il n’en fait pas partie, ne l’y associez pas. Le refus de sa candidature s’exprimera ici par la mise en quarantaine symbolique de ce bulletin qui n’a pas droit de cité sur le présentoir des urnes.
2) S’organiser pour éviter les fraudes, être présent dans tous les bureaux de vote au moment du dépouillement. Mettre sur pied des comités citoyens de vigilance pour la transparence du vote. Tenir une comptabilité en temps réel des voix, les transmettre à toutes les radios instantanément. Eviter que les urnes ne soient transportées nuitamment. Faire preuve d’imagination, réfléchir aux antidotes de tous les mécanismes de fraude connus, les anticiper, les contrecarrer. Votez et surveillez, votez et veillez, votez et demeurez vigilants, restez sur place jusqu’au dépouillement. Ma voix, mon bureau de vote, ma vigilance. Dans les bureaux de vote les plus reculés du Sénégal, s’organiser pour assister au
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dépouillement et s’assurer que des correspondants de radios puissent communiquer les résultats en temps réel.
3) Dernier temps de cette bataille décisive ; se mobiliser pour que les vrais résultats des urnes soient proclamés et se dresser si, d’aventure, ce clan poussait la forfaiture jusqu’à confisquer les suffrages des sénégalais en proclamant de faux résultats. Nous pêcherions par une coupable naïveté, si nous songeons un instant que ce régime compte naturellement respecter les suffrages des Sénégalais. Il ne le fera que s’il y est forcé et contraint, cerné, empêché de manoeuvrer. Le rejet massif du coeur des sénégalais de ce système, largement exprimé, démontre qu’Abdoulaye Wade ne peut gagner ni au premier tour, ni au second tour. Il faudra dans le cas fort probable de la diffusion de faux résultats, qu’un conseil constitutionnel aux ordres se hâtera de proclamer, se battre résolument et reconquérir la souveraineté du Sénégal, car soyons en sûrs, ce régime qui ne recule devant rien, même pas devant le meurtre de citoyens honnêtes réclamant leur droit à choisir qui va les diriger, poussant l’indécence jusqu’à comparer cette tragédie à une brise, reculera qu’il le veuille ou non devant plus fort que lui, c’est-à-dire, le Peuple sénégalais.
Pr Felwine Sarr, Maitre de Conférences Agrégé, Doyen de la Faculté de Sciences Economiques et de Gestion de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis.
Dr Ibrahima Silla, Enseignant-Chercheur en Sciences Politiques, Université Gaston Berger de Saint-Louis
Pr François Joseph Cabral, Maitre de Conférences Agrégé, Enseignant-Chercheur en Economie, à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar.
Dr Mohamadou Boye, Enseignant-Chercheur en Droit Privé, Université Gaston Berger de Saint-Louis.
Dr Adrien Dioh, Enseignant-Chercheur en Droit Public, Université Gaston Berger de Saint-Louis
Dr Mohamed Moro Koïta, Chef du Département de Gestion, Université Gaston Berger, Université Gaston Berger de Saint-Louis
Pr Abdou Sène, Doyen de la Faculté des Sciences Agronomiques d’Aquaculture et de Technologie Alimentaire de l’Université Gaston Berger, de Saint-Louis
Dr Abdoul Alpha Dia, Enseignant-Chercheur en Economie, Université de Bambey
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Dr Aziz Diouf, Enseignant-Chercheur à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar
Dr Seydina Ndiaye, Enseignant-Chercheur en Informatique, Université Gaston Berger de Saint-Louis,
Dr Omar Mbodj, Enseignant-Chercheur à l’UFR SAT, Université Gaston Berger
Dr Benjamin Ndong, Chef du Département d’Economie, Université Gaston Berger
Dr Ousmane Thiaré, Maitre de Conférence en Informatique, Université Gaston Berger
Dr Boubacar Diallo, Enseignant-Chercheur en Droit Privé, Université Gaston Berger
Dr Amadou Ka, Enseignant-Chercheur en Droit Public, Université Gaston Berger
Dr Mouhamadou Moustapha Ly, Enseignant-Chercheur en Economie, Université Gaston Berger, Saint-Louis
Lina Husseini, Libraire, Dakar
Mamadou Sarr, Colonel à la retraite
Dr Moussa Zaki, Enseignant-Chercheur en Droit Public, Université Gaston Berger, Saint-Louis
Dr Khadidiatou Diallo, Enseignant-Chercheur, UFR LSH, Université Gaston Berger, Saint-Louis
Xavier Correa, Juriste, New-York
Nayé Bathily, Banque Mondiale, Paris
Dr Babacar Sène, Enseignant-Chercheur en Economie, Université Cheikh Anta Diop de Dakar
Pr Ousmane Kane, Columbia University, New-York
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