Elles sont cataloguées « à risque budgétaire » pour l’exercice 2017. Ce sont ces sociétés publiques et parapubliques qui connaissent des tensions de trésorerie au point de nécessiter le concours du ministère de l’Économie, des Finances et du Plan.
Il s’agit de la Senelec, qui souffre de l’endettement, et d’une poignées d’entreprises et agences ployant sous une insuffisance de capitaux notable : le Cices, l’Aps, le Soleil, la Rts, la Poste, le Cosama, Dakar dem dikk et Le Petit train de banlieue.
Le gouvernement entend venir en aide à ces sociétés. C’est dans ce cadre qu’il a obtenu le rééchelonnement de la dette de la Senelec auprès des banques et s’est porté garant du contrat d’achat d’énergie auprès de Tobène Power.
Aussi, le gouvernement travaille à la mise à jour des modèles de calcul de la rémunération au niveau des autres entreprises en difficulté. (Source : L’AS)
19 Commentaires
Anonyme
En Octobre, 2016 (09:37 AM)Mansa Wali Diom Brak Bur Burba
En Octobre, 2016 (09:51 AM)VOUS AVEZ DIT "l’Aps, le Soleil, la Rts, la Poste" ? OUI IL FAUT RETOURNER A L’ENVOYEUR
DE LA SONATEL CES COLIS PIÉGÉS SANS POUR AUTANT LES NATIONALISER AU RASOIR,
C'est des gouffres à fric !!!!
Ksé
En Octobre, 2016 (10:07 AM)Anonyme
En Octobre, 2016 (10:17 AM)Anonyme
En Octobre, 2016 (10:20 AM)Tout le reste je vends à plus offrant avec obligation de maintenir un nombre de salariés ou dans le cas contraire l'état prend en charge une partie des indemnités de départ.
Anonyme Dom Rewmi
En Octobre, 2016 (10:37 AM)Anonyme Dom Rewmi
En Octobre, 2016 (10:43 AM)Anonyme
En Octobre, 2016 (11:58 AM)No Comment
En Octobre, 2016 (12:04 PM)Anonyme1
En Octobre, 2016 (12:12 PM)Anonyme
En Octobre, 2016 (12:54 PM)Anonyme
En Octobre, 2016 (13:58 PM)Anonyme
En Octobre, 2016 (14:14 PM)Blain
En Octobre, 2016 (14:21 PM)Anonyme
En Octobre, 2016 (14:52 PM)PRIVATISER N'EST PAS ET NE SERA JAMAIS UNE BONNE SOLUTION.
Volai414
En Octobre, 2016 (15:18 PM)En 1980, le pays comptait près de 6 millions d’habitants. Aujourd’hui, nous sommes près de 14 millions et connaissons de graves difficultés pour l’insertion des jeunes qui pèsent plus de 55% de la population. Qui peut dire que nous n’avons pas vu venir ? N’importe quel lycéen qui regarde le contenu de son cours sur les suites pouvait deviner cet accroissement. Avec un taux d’accroissement naturel de l’ordre de 2.42%, le calcul est vite fait. Si la natalité et la mortalité ne varient pas, dans 20 ans, il y aura plus de 22 millions d’âmes dans notre pays. Vingt ans, croyez-moi, ce n’est rien, c’est demain et nous y serons vite Incha Allah. Par contre 22 millions dont 11 millions de moins de trente ans, si nous n’y pensons pas aujourd’hui, il n’y aura pas de demain. Dès lors, qui peut dire que nous n’avons pas un sérieux problème à résoudre ?
Aujourd’hui le tintamarre est devenu insupportable autour du pétrole et du gaz sénégalais. Regardons autour de nous pour savoir si cela résoudra le problème des jeunes. Si on regarde déjà sur place, il devient difficile d’être optimiste.
Il n’aura échappé à personne que des générations de jeunes sénégalais ont été sacrifiées depuis les années 90. L’éducation ne fait plus bander le sénégalais qui devient de plus en plus proie à la facilité qui ne le mène pas bien loin. Comment ferons-nous pour faire cohabiter 11 millions de jeunes dont l’éducation laisse à désirer avec 11 autres millions supposés responsables du malheur des premiers?
Le Sénégal est pays jeune avec des enjeux à faire saillir un politicien honnête et citoyen avant tout. Seulement, pour être motivé il faut être concerné. Compte tenu de l’espérance de vie chez nous, dans 20 ans, la majorité des quadragénaires sénégalais ne seront plus là pour rendre compte des dégâts qu’ils auront laissé venir. Il est donc urgent que la sphère politique intéresse les plus jeunes qui doivent se lever pour exiger une éducation qui sera leur assurance-vie. Il y a toute sorte de marches et d’assises au Sénégal. A aucun moment ces manifestations ne font la part belle à la jeunesse. Ils sont combien les députés, maires, conseillers généraux… de moins de trente ans ? Dites-vous bien qu’il est utopique de reconstruire un pays jeune avec des artisans vieux. L’expérience des vieux n’est pas tout à jeter, loin s’en faut ! Elle ne saurait suffire. Ce pays appartient aux jeunes alors mettons- les au boulot.
Anonyme
En Octobre, 2016 (15:31 PM)Le Port Autonome Suivra
En Octobre, 2016 (15:51 PM)Participer à la Discussion