La crise enfantée par les interprétations heurtées de la Constitution, prouve bien que la sincérité des acteurs politiques, est le réel gage de la démocratie. A contrario, la mauvaise foi en est le parfait linceul. Sous tous les cieux, la Loi fondamentale n’est qu’un mélange de balise et de boussole, pour naviguer, sans secousses, vers les rivages laborieusement accessibles de la démocratie. Il est donc impératif que les équipages (toute l’élite politique) soient au-dessus de tout soupçon. Et que les matelots (tous les citoyens) soient civiquement corrects.
Sinon Sunugal (la pirogue sénégalaise) touchera un gros récif, à l’image du paquebot Costa Concordia couché sur le flanc. L’importance de la bonne foi dans la sauvegarde de la démocratie, est mise en relief par la posture du Président de la république, candidat à sa propre succession. En effet, c’est le chef de l’Etat Abdoulaye Wade qui est le gardien de la Constitution. Or – chose effarante – c’est ce gardien de la Constitution qui est au cœur de la controverse constitutionnelle et de ses cauchemardesques conséquences pour le pays. Moralité : le gardien n’a pas été à la hauteur de sa tâche. Constat d’autant plus vrai que des faits et gestes – très peu adroits – ont ponctué la dernière ligne droite du calendrier républicain. Non sans créer et gonfler la suspicion. Plus politique que démocrate, Wade a d’abord renié sa parole pourtant lovée dans une archive sonore et visuelle. Le fameux « waax waaxet » qui dévalue la parole du gardien de la Constitution. Cette même parole (prétendument sans valeur juridique) qui en 2002, à la faveur de la victoire du Sénégal sur la France, en Corée du Sud, vida les administrations et les usines, sans l’ombre d’un décret légalisant le reste de la journée chômée et payée.
Ensuite, il y a l’octroi d’un sursalaire, d’une indemnité, d’une majoration – que sais-je – de 5 millions de francs à une brochette de magistrats, qui pollue par anticipation toutes les étapes du déroulement du scrutin. Aucun justiciable raisonnable n’est opposé au confort financier et matériel des magistrats. Mais la date (pourquoi pas dès 2008 ou après 2012) est politiquement douteuse. D’autant plus suspecte que, durant la même période, le ministre Khoureychi Thiam a publiquement ravalé certains gouverneurs et préfets au rang de « wadistes », c’est-à-dire administrativement, des laquais et des valets du Secrétaire général du Pds ; et non moins Président de la république. Une double casquette constitutionnellement et fâcheusement validée par le référendum de janvier 2001. Enfin, quelques atteintes aux traditions démocratiques et à l’orthodoxie républicaine, ont effrité la confiance qui cimente les pylônes de la démocratie. Sans aucune gêne, des corps qui ont été tirés d’une noyade électorale, en 2009, ont été politiquement réanimés par Wade, puis élevés au rang de ministres d’Etat surchargés de portefeuilles (ciel et terre) ; ou nantis de départements de souveraineté comme l’Intérieur ou la Justice. Toutes choses qui ont convaincu les Sénégalais que l’agenda successoral – tel un engin concasseur – concasse précisément tous les acquis hérités du passé.
Il s’y ajoute qu’il est surréaliste pour un homme de 86 ou 90 ans, de solliciter un bail de 7 ans qui le conduira à gouverner jusqu’à 100 ans moins 3. Quel est le corps électoral totalement débile qui l’élira ? Pourtant, on peut prédire qu’il passera au premier tour. C’est la condition sine qua non pour terminer le chantier institutionnel (dévolution orientée du pouvoir) que cachent les chantiers de l’aéroport Blaise Diagne et de l’autoroute prolongée. Un train sur un passage à niveau ne peut-il pas en cacher un autre ? Voilà qui n’est pas étranger au brasier qui hante le Sénégal. Bien entendu, le Président de la république, en dépit de son rôle dominant et décisif, n’est pas l’unique architecte de la démocratie. La défense et l’illustration de la démocratie au quotidien, reposent sur le culte collectif des institutions républicaines. Réalité en déshérence au Sénégal ; puisque les défaillances cumulées ont rendu totalement orphelins, tous les principes : républicains, éthiques et civiques. Déshérence au sommet de l’Etat, à travers un arrêté ministériel d’interdiction de marche que le ministre de l’Intérieur a voulu mettre au-dessus d’une loi constitutionnelle.
Déshérence également à la hauteur des Sénégalais qui sont des votants infatigables ; mais de piètres défenseurs des lois. C’est pourquoi, ils ont, aujourd’hui, la démocratie déclinante qu’ils méritent. Presque personne n’a la république et la patrie solidement chevillées au corps. Seules, la confrérie et la poche sont portées au pinacle. Sinon comment comprendre que des magistrats sénégalais (partie intégrante de la crème de la Fonction publique) issus d’un peuple éprouvé perpétuellement par les inondations ; et gratifiés du privilège quasi-divin de juger leurs semblables, puissent manquer de solidarité nationale, de vigilance morale et d’équilibre spirituel, au point d’accepter un sursalaire que leurs collègues d’Algérie (pays producteur de gaz et de pétrole) n’empochent pas ? C’est le prix d’une dizaine de motopompes que Wade a ainsi détourné de la banlieue, pour le ventiler dans les comptes bancaires des magistrats.
Voulait-t-on faire passer les 5 (respectables) sages pour 5 salauds, que l’on ne s’y prendrait pas autrement ? En un mot comme en mille, la crise politique au Sénégal démontre que la démocratie n’est ni l’apparat juridique (des textes à foison) ni le décor électoral (des scrutins réguliers) mais le règne de la vertu. Dont le déficit patent est à l’origine du présent et tragique imbroglio dont les racines constitutionnelles mettent en exergue, la lourde responsabilité du Président. Dans une récente interview accordée à dakaractu.com, Me Wade est catégorique : « La Constitution, c’est moi qui l’ai rédigée. Je sais ce que j’ai mis dedans. Il n’y a pas de commission de rédaction ». Ici, la sincérité (sève nourrissante de la démocratie) n’est pas aussi saillante que le nez sur le visage. Pourquoi alors importer une coûteuse cargaison de juristes étrangers, pour interpréter une charte rédigée par le Président du Sénégal. Et plébiscitée par les Sénégalais. Est-ce à dire que les très avisés juristes de France devaient expliquer aux citoyens bornés et bernés du Sénégal, une Constitution qui régit leur vie politique depuis une décennie ? Mais la crise ne charrie pas que des arguments spécieux autour de la Constitution. Elle dévoile aussi des reniements personnels.
Car, s’il y a un homme politique qui ne doit pas user et abuser de la police, en souvenir de ses propres épreuves, c’est bien Abdoulaye Wade. Tellement le pape du Sopi a souffert des vacheries policières jadis orchestrées par son ennemi juré Jean Collin. Sans le courage et le bouclier des bataillons de la « jeunesse malsaine » (Abdou Diouf dixit, en 1988) Me Wade aurait été le Benigno Aquino et non le héros vivant et triomphant de l’alternance du 19 mars 2000. Au début de celle-ci, on murmurait que Wade, encore traumatisé par les réminiscences des méthodes policières de Collin, voulait désarmer la police anti-émeute. Grimaces de l’Histoire, Wade est aujourd’hui très content de son Joseph Fouché. Même si Ousmane Ngom est, de loin, plus débonnaire et plus avenant que le patibulaire Jean Collin.
Par ailleurs, la gestion de la crise a révélé un effondrement de l’agenda national au profit de l’urgence électorale. Utiliser massivement la gendarmerie à Dakar, au moment où les rebelles harcèlent ses brigades en Casamance et capturent ses maréchaux de logis, administre la preuve que pour la majorité présidentielle, le prochain septennat passe avant la défense des symboles de l’Etat et de son intégrité. Sous cet angle, le maintien de l’ordre libéral est si privilégié qu’il induit des honneurs à géométrie variable, rendus aux différentes victimes des corps habillés. Le capitaine Kâ et la demi-douzaine de militaires morts à Diégoune, en décembre 2011, sous les balles des rebelles, ont eu une levée du corps marquée par l’absence de leur ministre de tutelle et de tous les officiels happés par la cérémonie d’ouverture du congrès du Pds, au cours de laquelle, une minute de silence fut observée à la mémoire d’un…nervi. En revanche, le ban et l’arrière-ban du gouvernement et de la majorité présidentielle ont défilé auprès du cercueil d’un officier – pardon ! – d’un auxiliaire de police.
Voilà une discrimination qui renseigne sur les choix de l’heure et les perspectives immédiates. La conjoncture est, en effet, grosse de trois scenarii : la guerre civile, le coup d’Etat militaire ou la monarchie sous des dehors républicains. Le premier cas de figure forcément juxtaposé à la rébellion en Casamance, cassera le Sénégal en mille morceaux. Le coup d’Etat militaire sera une régression qui siphonnera le « pétrole » du Sénégal, c’est-à-dire l’image rayonnante et payante de la vitalité de ses institutions. Autrement dit, la « pétro-image » qui est supérieure au pétrodollar, foutra le camp. Quant à la monarchie, elle consacrera la décadence d’un pays longtemps abonné à l’apogée de la démocratie sur le continent. Et fera du professeur agrégé Abdoulaye Wade, un épigone du sergent (cuisinier dans l’armée française) Gnassingbé Eyadema.
35 Commentaires
Zeum Bou Kheum
En Février, 2012 (10:53 AM)autrement ce ne sera jamais à vous."
A L ATTENTION DE TOUS NOS GUIDES RELIGIEUX!!!
WADE DEGAGE
Hann
En Février, 2012 (10:56 AM)DES INVESTISSEURS ETRANGERS ,VOICI QUE CE WADE A TOUT FOUTU EN L'AIR,C'EST CA <
Boorba
En Février, 2012 (10:57 AM)Jul
En Février, 2012 (10:59 AM)kou fiy guerier guerierlou ba wane guinaw diam ya salam
Biss moungui nieuw fitneu guingay wotté dineu tek thine togal leu ya salam
Na jeune yi conscient sino rewmi si tak leu dieume
Na serigne si wakh sino rewmi si tak leu dieume
Reglé léne sene compte personnel yi dou téré askanwi khéli lissi khel yi
Wade , Farba , Doudou wade ..... senni tokhidoneu gnoune rek lay sonalii
Guemoumeu wade , idi ,macky ndakh domou diombar ndiombarleu lougnouy sakou moy kopar yiii ( sathi rek)
1960 beu tay gnoguiy gnouy nakhé mbaye greve soubeu greve ngone kou eupeul téré DIC
Neu yone bayii khel si louy khew si liste electoral yii ak gnouy créé ay village you amoul si communauté rural yii
Wade Criminel Sanguinaire
En Février, 2012 (11:01 AM)Montreuil
En Février, 2012 (11:12 AM)Guerre Civile
En Février, 2012 (11:15 AM)Lisa
En Février, 2012 (11:19 AM)wade dégage on veut plus de toi
Gnagna
En Février, 2023 (10:17 AM)Nopeuloulene ! Le complot coule de source. Danguene di deub ndokhe.
Battez-vous loyalement et arrêter d’essayer d’éliminer des candidats.
Sachez que n’importe quel mbeur de l’APR/Benno/Rewmi sera battu à plate couture par n’importe quel opposant.
Rendez-vous à l’évidence, la majorité des Sénégalais ont vomi Macky et tous ceux qui sont avec lui.
Lu Pour Vous
En Février, 2012 (11:20 AM)Alboury Ndiaye
En Février, 2012 (11:29 AM)Bonne analyse.
L
En Février, 2012 (11:48 AM)Le peuple doit choisir, s'il lui reste un choix.
La démocratie est affaissée et on n'est pas sûr que le peuple puisse choisir.
Ceesay]
En Février, 2012 (12:00 PM)CURSUS SCOLAIRE ET UNIVERSITAIRE DE IDRISSA SECK
Toute la vérité, rien que la vérité sur les études peu reluisantes de Idy.
Au cours de sa sortie sur la radio Rfm, Idrissa Seck a beaucoup parlé de son cursus scolaire et universitaire en citant tour à tour le collège Saint Gabriel de Thiès, le lycée Vanvo de Dakar, Sciences Politiques de Paris et naturellement l'université de Princeton des Etats-Unis. Mais curieusement, Idy ne fait que répéter inlassablement son statut d' «ancien» de ces établissements scolaires et universitaires. Il dit : «Je suis ancien de Sciences Politiques, je suis ancien de Princeton». Remarquez l'escroquerie : Idy ne dit jamais «je suis diplômé de Sciences Politiques à Paris» ou bien «je suis diplômé de Princeton aux Etats-Unis», mais seulement «je suis ancien de ces établissements». Pour la gouverne des lecteurs qui risquent de se laisser abuser par Idy, nous rappelons ceci :
L'EXAMEN D'ENTREE EN 6EME : PREMIER ECHEC
Idy avait échoué à l'examen d'entrée en 6ème à Thiès en 1972. Heureusement, c'est l'épouse chrétienne de son cousin Alioune Badara Niang, (cette femme est la sœur de Marie Thérèse Diédhiou) qui avait été prise de pitié par le sort et par la pauvreté de Idy. Cette femme-là est allée solliciter au collège Saint Gabriel une place en classe de 6ème en faveur de Idrissa Seck comme «cas social». Dans ce collège, tout le monde payait sauf Idy, parce qu'il était issu d'une famille misérable (son père était vendeur de légumes au marché de Thiès et sa mère griotte dans les cérémonies mondaines). Voilà comment Idy s'est retrouvé au collège Saint Gabriel.
STATUT DE «RECASÉ» AU LYCÉE VANVO
Pour le lycée Lamine Guèye, c'est toujours son cousin Alioune Badara Niang (mais c'est encore plus complexe et plus grave dans leurs relations familiales) qui avait réussi à lui trouver une place de «recasé» dans le lycée où il n'y avait que des fils à papa. Ce n'était pas le lieu indiqué pour un misérable comme Idy, mais le coup de pouce de l'avocat Wade a été déterminant pour que Idy entre à Vanvo. Là aussi, il n'était pas un brillant élève comme il voudrait le laisser croire. C'est vrai qu'il se classait premier en arabe, mais c'est tout. Pour toutes les autres matières, il était médiocre. C'était entre 1978 et 1981, les archives sont là. Idy a eu son bac en 1981 à l'âge de 22 ans alors que ses camarades de classe en avaient 17 ou 18, ce qui n'est donc pas le propre d'un dénie.
A L'UNIVERSITÉ DE PARIS, IDY ÉTAIT HÉBERGÉ PAR OUSMANE NGOM
Venons-en maintenant à ses études de Sciences Politiques à Paris. Idy avait la manie de s'inscrire dans une université uniquement pour avoir la carte d'étudiant afin de garnir son CV. C'est tout. Idy ne peut pas brandir un diplôme qui lui aurait été décerné par cette université parisienne. D'ailleurs, il est arrivé à Paris en septembre 1981. Sur recommandation de Wade, il était hébergé dans la chambre d'étudiant de Ousmane Ngom. Mais c'est seulement pendant l'année 1986-1987 qu'il est allé s'inscrire à Sciences Politiques. Question : Qu'a fait Idy entre 1981 et 1987 à Paris ? Réponse : Rien du tout, sinon vadrouiller et vivre aux basques de Ousmane Ngom qui l'avait entièrement pris en charge alors que le fainéant Idy ne faisait que dormir.
D'ailleurs, quel besoin un diplômé de Sciences Politiques peut-il trouver à revenir à Dakar en 1988 pour essayer de s'inscrire à la Faculté des Lettres et Sciences Humaines de l'Université de Dakar ? Pour toute réponse, le Doyen de la Faculté à qui il avait fait parvenir une demande lui avait répondu que la seule faveur qu'on pouvait lui faire, c'était de l'autoriser à s'inscrire en Duel II. Aussitôt, Idy avait boudé pour aller chercher ailleurs. Si vraiment il était diplômé de Sciences Politiques, ce n'est pas une inscription en Duel II que le Doyen lui proposerait, mais plutôt un poste de professeur dans cette même Faculté. Ceci révèle encore une fois que Idy a toujours été un escroc du savoir, un escroc des diplômes.
IDY ÉTAIT INSCRIT EN COURS DU SOIR POUR 6 MOIS A PRINCETON
Enfin, pour ce qui concerne maintenant son passage à l'université américaine de Princeton, il faut préciser que c'est Jean Collin, l'ancien tout-puissant ministre d'Etat de Abdou Diouf qui, pour récompenser Idrissa Seck de sa tortuosité (il était taupe du régime Ps au seindu Pds), lui avait octroyé la bourse pour un séjour de 6 mois seulement aux Etats-Unis. Oui, vous avez bien lu. Nous avons bien dit «6 mois».
Nous savons bien comment fonctionnent les universités américaines en matière d'études et de diplômes. Si un étudiant arrive aux Etats-Unis avec le bac, il a d'abord deux formalités à remplir. La première, c'est passer un test de niveau à l'issue duquel l'université l'accepte comme étudiant. La deuxième, c'est de faire 6 mois d'adaptation à la langue : ces 6 mois destinés aux francophones servent à apprendre l'anglais pour pouvoir comprendre les explications des professeurs.
Ces deux formalités, une fois remplies, l'étudiant attaque maintenant le premier cycle qui dure 4 ans à l'issue desquels il obtient le diplôme appelé Bachelor. Après ces 4 ans, l'étudiant entre en second cycle qui dure 2 ans à l'issue desquels il obtient encore un diplôme qui s'appelle MBA. Enfin, l'étudiant attaque le troisième et dernier cycle qui dure 2 ans et qui est sanctionné par le plus haut diplôme américain et qui s'appelle PH.D. qui donne le titre de Docteur. Voilà pourquoi on dit Docteur Cheikh Tidiane Gadio. Lui, il a bouclé les 8 ans sans redoubler pour avoir obtenu à la fois le Bachelor, le MBA et le PH.D. Parmi les ministres de l'actuel gouvernement, Mamadou Sidibé a suivi le même cursus aux Etats-Unis. Revenant à Idy, signalons qu'il est arrivé aux Etats-Unis en avril 1991, il a étudié 6 mois à Princeton et est rentré à Dakar en septembre 91. Alors, quel diplôme a-t-il pu ramener de Princeton après seulement 6 mois de cours du soir ? Nous disons bien «cours du soir». Voilà pourquoi Idrissa Seck n'a eu aucun diplôme d'études supérieures. Aucun ! Et nous le défions de nous prouver le contraire
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CURSUS SCOLAIRE ET UNIVERSITAIRE DE IDRISSA SECK
Toute la vérité, rien que la vérité sur les études peu reluisantes de Idy.
Au cours de sa sortie sur la radio Rfm, Idrissa Seck a beaucoup parlé de son cursus scolaire et universitaire en citant tour à tour le collège Saint Gabriel de Thiès, le lycée Vanvo de Dakar, Sciences Politiques de Paris et naturellement l'université de Princeton des Etats-Unis. Mais curieusement, Idy ne fait que répéter inlassablement son statut d' «ancien» de ces établissements scolaires et universitaires. Il dit : «Je suis ancien de Sciences Politiques, je suis ancien de Princeton». Remarquez l'escroquerie : Idy ne dit jamais «je suis diplômé de Sciences Politiques à Paris» ou bien «je suis diplômé de Princeton aux Etats-Unis», mais seulement «je suis ancien de ces établissements». Pour la gouverne des lecteurs qui risquent de se laisser abuser par Idy, nous rappelons ceci :
L'EXAMEN D'ENTREE EN 6EME : PREMIER ECHEC
Idy avait échoué à l'examen d'entrée en 6ème à Thiès en 1972. Heureusement, c'est l'épouse chrétienne de son cousin Alioune Badara Niang, (cette femme est la sœur de Marie Thérèse Diédhiou) qui avait été prise de pitié par le sort et par la pauvreté de Idy. Cette femme-là est allée solliciter au collège Saint Gabriel une place en classe de 6ème en faveur de Idrissa Seck comme «cas social». Dans ce collège, tout le monde payait sauf Idy, parce qu'il était issu d'une famille misérable (son père était vendeur de légumes au marché de Thiès et sa mère griotte dans les cérémonies mondaines). Voilà comment Idy s'est retrouvé au collège Saint Gabriel.
STATUT DE «RECASÉ» AU LYCÉE VANVO
Pour le lycée Lamine Guèye, c'est toujours son cousin Alioune Badara Niang (mais c'est encore plus complexe et plus grave dans leurs relations familiales) qui avait réussi à lui trouver une place de «recasé» dans le lycée où il n'y avait que des fils à papa. Ce n'était pas le lieu indiqué pour un misérable comme Idy, mais le coup de pouce de l'avocat Wade a été déterminant pour que Idy entre à Vanvo. Là aussi, il n'était pas un brillant élève comme il voudrait le laisser croire. C'est vrai qu'il se classait premier en arabe, mais c'est tout. Pour toutes les autres matières, il était médiocre. C'était entre 1978 et 1981, les archives sont là. Idy a eu son bac en 1981 à l'âge de 22 ans alors que ses camarades de classe en avaient 17 ou 18, ce qui n'est donc pas le propre d'un dénie.
A L'UNIVERSITÉ DE PARIS, IDY ÉTAIT HÉBERGÉ PAR OUSMANE NGOM
Venons-en maintenant à ses études de Sciences Politiques à Paris. Idy avait la manie de s'inscrire dans une université uniquement pour avoir la carte d'étudiant afin de garnir son CV. C'est tout. Idy ne peut pas brandir un diplôme qui lui aurait été décerné par cette université parisienne. D'ailleurs, il est arrivé à Paris en septembre 1981. Sur recommandation de Wade, il était hébergé dans la chambre d'étudiant de Ousmane Ngom. Mais c'est seulement pendant l'année 1986-1987 qu'il est allé s'inscrire à Sciences Politiques. Question : Qu'a fait Idy entre 1981 et 1987 à Paris ? Réponse : Rien du tout, sinon vadrouiller et vivre aux basques de Ousmane Ngom qui l'avait entièrement pris en charge alors que le fainéant Idy ne faisait que dormir.
D'ailleurs, quel besoin un diplômé de Sciences Politiques peut-il trouver à revenir à Dakar en 1988 pour essayer de s'inscrire à la Faculté des Lettres et Sciences Humaines de l'Université de Dakar ? Pour toute réponse, le Doyen de la Faculté à qui il avait fait parvenir une demande lui avait répondu que la seule faveur qu'on pouvait lui faire, c'était de l'autoriser à s'inscrire en Duel II. Aussitôt, Idy avait boudé pour aller chercher ailleurs. Si vraiment il était diplômé de Sciences Politiques, ce n'est pas une inscription en Duel II que le Doyen lui proposerait, mais plutôt un poste de professeur dans cette même Faculté. Ceci révèle encore une fois que Idy a toujours été un escroc du savoir, un escroc des diplômes.
IDY ÉTAIT INSCRIT EN COURS DU SOIR POUR 6 MOIS A PRINCETON
Enfin, pour ce qui concerne maintenant son passage à l'université américaine de Princeton, il faut préciser que c'est Jean Collin, l'ancien tout-puissant ministre d'Etat de Abdou Diouf qui, pour récompenser Idrissa Seck de sa tortuosité (il était taupe du régime Ps au seindu Pds), lui avait octroyé la bourse pour un séjour de 6 mois seulement aux Etats-Unis. Oui, vous avez bien lu. Nous avons bien dit «6 mois».
Nous savons bien comment fonctionnent les universités américaines en matière d'études et de diplômes. Si un étudiant arrive aux Etats-Unis avec le bac, il a d'abord deux formalités à remplir. La première, c'est passer un test de niveau à l'issue duquel l'université l'accepte comme étudiant. La deuxième, c'est de faire 6 mois d'adaptation à la langue : ces 6 mois destinés aux francophones servent à apprendre l'anglais pour pouvoir comprendre les explications des professeurs.
Ces deux formalités, une fois remplies, l'étudiant attaque maintenant le premier cycle qui dure 4 ans à l'issue desquels il obtient le diplôme appelé Bachelor. Après ces 4 ans, l'étudiant entre en second cycle qui dure 2 ans à l'issue desquels il obtient encore un diplôme qui s'appelle MBA. Enfin, l'étudiant attaque le troisième et dernier cycle qui dure 2 ans et qui est sanctionné par le plus haut diplôme américain et qui s'appelle PH.D. qui donne le titre de Docteur. Voilà pourquoi on dit Docteur Cheikh Tidiane Gadio. Lui, il a bouclé les 8 ans sans redoubler pour avoir obtenu à la fois le Bachelor, le MBA et le PH.D. Parmi les ministres de l'actuel gouvernement, Mamadou Sidibé a suivi le même cursus aux Etats-Unis. Revenant à Idy, signalons qu'il est arrivé aux Etats-Unis en avril 1991, il a étudié 6 mois à Princeton et est rentré à Dakar en septembre 91. Alors, quel diplôme a-t-il pu ramener de Princeton après seulement 6 mois de cours du soir ? Nous disons bien «cours du soir». Voilà pourquoi Idrissa Seck n'a eu aucun diplôme d'études supérieures. Aucun ! Et nous le défions de nous prouver le contraire
a beaucoup parlé de son cursus scolaire et universitaire en citant tour à tour le collège Saint Gabriel de Thiès, le lycée Vanvo de Dakar, Sciences Politiques de Paris et naturellement l'université de Princeton des Etats-Unis. Mais curieusement, Idy ne fait que répéter inlassablement son statut d' «ancien» de ces établissements scolaires et universitaires. Il dit : «Je suis ancien de Sciences Politiques, je suis ancien de Princeton». Remarquez l'escroquerie : Idy ne dit jamais «je suis diplômé de Sciences Politiques à Paris» ou bien «je suis diplômé de Princeton aux Etats-Unis», mais seulement «je suis ancien de ces établissements». Pour la gouverne des lecteurs qui risquent de se laisser abuser par Idy, nous rappelons ceci :
L'EXAMEN D'ENTREE EN 6EME : PREMIER ECHEC
Idy avait échoué à l'examen d'entrée en 6ème à Thiès en 1972. Heureusement, c'est l'épouse chrétienne de son cousin Alioune Badara Niang, (cette femme est la sœur de Marie Thérèse Diédhiou) qui avait été prise de pitié par le sort et par la pauvreté de Idy. Cette femme-là est allée solliciter au collège Saint Gabriel une place en classe de 6ème en faveur de Idrissa Seck comme «cas social». Dans ce collège, tout le monde payait sauf Idy, parce qu'il était issu d'une famille misérable (son père était vendeur de légumes au marché de Thiès et sa mère griotte dans les cérémonies mondaines). Voilà comment Idy s'est retrouvé au collège Saint Gabriel.
STATUT DE «RECASÉ» AU LYCÉE VANVO
Pour le lycée Lamine Guèye, c'est toujours son cousin Alioune Badara Niang (mais c'est encore plus complexe et plus grave dans leurs relations familiales) qui avait réussi à lui trouver une place de «recasé» dans le lycée où il n'y avait que des fils à papa. Ce n'était pas le lieu indiqué pour un misérable comme Idy, mais le coup de pouce de l'avocat Wade a été déterminant pour que Idy entre à Vanvo. Là aussi, il n'était pas un brillant élève comme il voudrait le laisser croire. C'est vrai qu'il se classait premier en arabe, mais c'est tout. Pour toutes les autres matières, il était médiocre. C'était entre 1978 et 1981, les archives sont là. Idy a eu son bac en 1981 à l'âge de 22 ans alors que ses camarades de classe en avaient 17 ou 18, ce qui n'est donc pas le propre d'un dénie.
A L'UNIVERSITÉ DE PARIS, IDY ÉTAIT HÉBERGÉ PAR OUSMANE NGOM
Venons-en maintenant à ses études de Sciences Politiques à Paris. Idy avait la manie de s'inscrire dans une université uniquement pour avoir la carte d'étudiant afin de garnir son CV. C'est tout. Idy ne peut pas brandir un diplôme qui lui aurait été décerné par cette université parisienne. D'ailleurs, il est arrivé à Paris en septembre 1981. Sur recommandation de Wade, il était hébergé dans la chambre d'étudiant de Ousmane Ngom. Mais c'est seulement pendant l'année 1986-1987 qu'il est allé s'inscrire à Sciences Politiques. Question : Qu'a fait Idy entre 1981 et 1987 à Paris ? Réponse : Rien du tout, sinon vadrouiller et vivre aux basques de Ousmane Ngom qui l'avait entièrement pris en charge alors que le fainéant Idy ne faisait que dormir.
D'ailleurs, quel besoin un diplômé de Sciences Politiques peut-il trouver à revenir à Dakar en 1988 pour essayer de s'inscrire à la Faculté des Lettres et Sciences Humaines de l'Université de Dakar ? Pour toute réponse, le Doyen de la Faculté à qui il avait fait parvenir une demande lui avait répondu que la seule faveur qu'on pouvait lui faire, c'était de l'autoriser à s'inscrire en Duel II. Aussitôt, Idy avait boudé pour aller chercher ailleurs. Si vraiment il était diplômé de Sciences Politiques, ce n'est pas une inscription en Duel II que le Doyen lui proposerait, mais plutôt un poste de professeur dans cette même Faculté. Ceci révèle encore une fois que Idy a toujours été un escroc du savoir, un escroc des diplômes.
IDY ÉTAIT INSCRIT EN COURS DU SOIR POUR 6 MOIS A PRINCETON
Enfin, pour ce qui concerne maintenant son passage à l'université américaine de Princeton, il faut préciser que c'est Jean Collin, l'ancien tout-puissant ministre d'Etat de Abdou Diouf qui, pour récompenser Idrissa Seck de sa tortuosité (il était taupe du régime Ps au seindu Pds), lui avait octroyé la bourse pour un séjour de 6 mois seulement aux Etats-Unis. Oui, vous avez bien lu. Nous avons bien dit «6 mois».
Nous savons bien comment fonctionnent les universités américaines en matière d'études et de diplômes. Si un étudiant arrive aux Etats-Unis avec le bac, il a d'abord deux formalités à remplir. La première, c'est passer un test de niveau à l'issue duquel l'université l'accepte comme étudiant. La deuxième, c'est de faire 6 mois d'adaptation à la langue : ces 6 mois destinés aux francophones servent à apprendre l'anglais pour pouvoir comprendre les explications des professeurs.
Ces deux formalités, une fois remplies, l'étudiant attaque maintenant le premier cycle qui dure 4 ans à l'issue desquels il obtient le diplôme appelé Bachelor. Après ces 4 ans, l'étudiant entre en second cycle qui dure 2 ans à l'issue desquels il obtient encore un diplôme qui s'appelle MBA. Enfin, l'étudiant attaque le troisième et dernier cycle qui dure 2 ans et qui est sanctionné par le plus haut diplôme américain et qui s'appelle PH.D. qui donne le titre de Docteur. Voilà pourquoi on dit Docteur Cheikh Tidiane Gadio. Lui, il a bouclé les 8 ans sans redoubler pour avoir obtenu à la fois le Bachelor, le MBA et le PH.D. Parmi les ministres de l'actuel gouvernement, Mamadou Sidibé a suivi le même cursus aux Etats-Unis. Revenant à Idy, signalons qu'il est arrivé aux Etats-Unis en avril 1991, il a étudié 6 mois à Princeton et est rentré à Dakar en septembre 91. Alors, quel diplôme a-t-il pu ramener de Princeton après seulement 6 mois de cours du soir ? Nous disons bien «cours du soir». Voilà pourquoi Idrissa Seck n'a eu aucun diplôme d'études supérieures. Aucun ! Et nous le défions de nous prouver le contraire
Garde Rouge
En Février, 2012 (12:00 PM)Mr NDIAYE JE SUIS FIER DE VOUS.ON A TELLEMENT BESOIN DE CE GENRE DE TEXTE POUR UNE MEILLEURE RELECTURE DE LA SITUATION DU PAYS.ET EN PLUS J'AIME VOTRE CULTURE GENERALE,IL EST TELLEMENT IMPORTANT DE RAPPELER L'HISTOIRE CAR DES EPOQUES,DES HOMMES,DES ETATS,DES NATIONS,DES PEUPLES ETC...SE RESSEMBLENT. HOUDRATOUN ZAMANINO AN CHOU LOU CHOU CHA
Modou
En Février, 2012 (12:03 PM)Marouth
En Février, 2012 (12:09 PM)Si les sénégalais laisse ce vieux fou furieux ou vieux singe sénile il va brûler le pays et mourir sous peu. Il a vécu ce qui n'est pas le cas de la plupart des sénégalais et particulièrement les jeunes gens assassinés par cette soit police aux ordres de criminels.
Refuser son diktat et manifester nuit et jour comme l'ont fait la Tunisie et l’Égypte.
Ce n'est pas ces khalif généraux qui vont dissuader Wade. Ils sont des octogénaires sans vergogne comme Wade. Comme quoi l'age n'est plus synonyme de sagesse au pays de la teranga.
Salam
Bab
En Février, 2012 (12:14 PM)Goora
En Février, 2012 (12:56 PM)Sen
En Février, 2012 (12:58 PM)Ate
En Février, 2012 (13:09 PM)Abel
En Février, 2012 (13:13 PM)Les internautes ne comprendront jamais. Cheikh Yérim est dans une dynamique de manipulation et de désinformation très avancée en vue de l'élection présidentielle et pour une troisième candidature de Wade. Depuis son entretien avec Wade au Palais, une somme avoisinant les 50 millions de francs Cfa lui a été remise. Maintenant il dirige ses articles pour manipuler l'opinion. Il suffit de lire entre les lignes et tu vois que l'information est orientée dans un but très précis. Je sais de quoi je parle. La lettre des 2 congressmen américains et l'article sur les jeunes de l'Ujtl qui voulaient attaquer l'ambassade de France (attaque qui n'existe que dans son imagination) entrent dans cette logique. Faudra faire très attention!!!!!!!! Vous êtes avertis. Merci !
Rone66
En Février, 2012 (13:43 PM)Xelmi
En Février, 2012 (13:45 PM)Alerte
En Février, 2012 (13:51 PM)Ronr66
En Février, 2012 (14:50 PM)Unserekampf
En Février, 2012 (15:14 PM)AUCUN MEETING DU PDS NE DOIT ETRE TOLERE SUR TOUT LE TERRITOIRE NATIONNAL.....TOUTE PERSONNE QUI PORTE UN TISSU PDS OU SUPPORTS PUBLICITAIRES DOIT ETRE LA CIBLE DES PIERRES ET DES BATONS
Sobor
En Février, 2012 (15:23 PM)Jeuflanté
En Février, 2012 (16:23 PM):
Lip
En Février, 2012 (16:42 PM)Droitier
En Février, 2012 (16:44 PM)Joe
En Février, 2012 (17:20 PM)Sine Sine
En Février, 2012 (18:13 PM)Un Passant
En Février, 2012 (18:18 PM)Quel triste destin !
Sa Matt Goloniaye
En Février, 2012 (20:02 PM)Ceux qui appellent a aller a l'election presidentielle de 2012 se trompent lourdement et ils manquent totalement de reflexion strategique!!
Certains argumentent que ne pas aller a l'election, c guarantir a Wade de continuer son pouvoir comme en 2007 avec les legislatives.
Non, raisonnement errone et c 1 amalgame dangereux et manque total de lucite.
Les situations ne sont pas identiques pour ceux qui ont une reflexion en profondeur car en 2007 c'etait des elections legislatives, donc de moindre importance dans le cas present du niveau de notre democracie avec un regime presidentiel; les presidentielles qui ont 1 dimension plus large et plus mediatisee sur le plan int'l; la participation de Youssou Ndour est deja 1 exemple.
Plus important, la decision des 5 *****s du CC, qui est 1 injustice manifeste envers tout 1 peuple et tout le monde avec deja 1 cc qui ne meme pas justifier son choix et avec des repercussion plus profondes. Deja, l'involvement des autres africains, des U.S., des Europeens, etc...des personalite comme Soyinka, etc....font que les choses ne sont pas identiques. Si on a deja cet avantage pourquoi en vouloir l'abandonner et partir dans l'inconnu?!
L'autre danger est que, il faut vraiment etre tres naif, pour participer a une election avec quelqu'un qui a deja montre qu'il ne respecte pas deja les regles du jeu avec la violation de la Constitution.
Et si jamais, vous partez a l'election, Wade va s'en profiter pour deja oublier la violation de la Constitution pour dire maintenant le peuple a decide et ainsi il a la chance de faire oublier la decison scelerate du CC.
Vraiment il faut reflechir avec ce Satan, de Wade, il ne veut q aller aux elections, si vous remarquez il ne parle que de cela pour tromper la vigilance du peuple. Il est dangereux.
Suite
En Février, 2012 (20:02 PM)L'autre danger est que, il faut vraiment etre tres naif, pour participer a une election avec quelqu'un qui a deja montre qu'il ne respecte pas deja les regles du jeu avec la violation de la Constitution.
Et si jamais, vous partez a l'election, Wade va s'en profiter pour deja oublier la violation de la Constitution pour dire maintenant le peuple a decide et ainsi il a la chance de faire oublier la decison scelerate du CC.
Vraiment il faut reflechir avec ce Satan, de Wade, il ne veut q aller aux elections, si vous remarquez il ne parle que de cela pour tromper la vigilance du peuple. Il est dangereux.
W6
En Février, 2012 (22:35 PM)Participer à la Discussion