NETTALI - Les quartiers inondés de Pikine, dans la banlieue dakaroise, veulent sortir de l’oubli et de l’eau. Depuis les pluies diluviennes de 2005, ils vivent dans l’insécurité et l’insalubrité. Les habitants ont tenu ce samedi une assemblée générale pour rappeler à l’Etat ses promesses, selon Sud Fm.
« Depuis 2005 et les fortes précipitations qu’il y a eu, le chef de l’Etat a eu à mettre en place la structure qu’on appelle Plan Jaxaay pour venir en aide aux populations victimes de ce fléau-là. Alors, ce qu’il avait prévu, c’est de déguerpir et de reloger ceux qui étaient dans les eaux et de faire de telle sorte que tous ceux qui restent dans les localités-là n’aient plus à vivre ces affres », rappelle le porte-parole des habitants des quartiers inondés de Pikine, Maguette Diouf.
« Malheureusement, poursuit-M. Diouf, l’on se rend compte, un an et demi après l’exécution de ce projet-là, que le mal est toujours là ». Pire, « c’est l’insécurité qui est là, galopante. Il y a quatre ou cinq ans, on n’a jamais eu à connaître ce genre de problème-là, mais actuellement l’on se rend compte qu’il y a des gens qui sont agressés à la sortie des mosquées, sur le chemin du travail, déplore Maguette Diouf.
A en croire le porte-parole, les populations des quartiers inondés, ont lors de leur assemblée générale de ce samedi, parler aussi de l’insalubrité et de l’environnement dans lequel elles évoluent quotidiennement, entourées qu’elles sont par les eaux stagnantes et les tas d’immondices, sans compter les mouches et les moustiques. « Il n’y a pas de camions qui viennent ramasser les déchets et voilà ce à quoi nous sommes confrontés. C’est pourquoi les populations ont dit que, dorénavant, on va essayer de mettre sur pied un cadre de réflexion afin de pouvoir réagir par rapport à ces autorités-là ».
Le problème de ces quartiers inondés est récurrent, et le Plan Jaxaay n’est pas en mesure de satisfaire tout le monde. Des personnes déguerpies qui étaient provisoirement logées dans des camps de fortune en ont été chassées, sans qu’un logement leur soit attribué dans le cadre du Plan Jaxaay.
En lieu et place, des montants leur ont été alloués pour supporter des charges locatives en attendant l’exécution d’autres tranches du projet. Mais, jusque-là, les choses ne semblent pas aller très vite et les hivernages se succèdent en causant de plus en plus de problèmes.
« Depuis 2005 et les fortes précipitations qu’il y a eu, le chef de l’Etat a eu à mettre en place la structure qu’on appelle Plan Jaxaay pour venir en aide aux populations victimes de ce fléau-là. Alors, ce qu’il avait prévu, c’est de déguerpir et de reloger ceux qui étaient dans les eaux et de faire de telle sorte que tous ceux qui restent dans les localités-là n’aient plus à vivre ces affres », rappelle le porte-parole des habitants des quartiers inondés de Pikine, Maguette Diouf.
« Malheureusement, poursuit-M. Diouf, l’on se rend compte, un an et demi après l’exécution de ce projet-là, que le mal est toujours là ». Pire, « c’est l’insécurité qui est là, galopante. Il y a quatre ou cinq ans, on n’a jamais eu à connaître ce genre de problème-là, mais actuellement l’on se rend compte qu’il y a des gens qui sont agressés à la sortie des mosquées, sur le chemin du travail, déplore Maguette Diouf.
A en croire le porte-parole, les populations des quartiers inondés, ont lors de leur assemblée générale de ce samedi, parler aussi de l’insalubrité et de l’environnement dans lequel elles évoluent quotidiennement, entourées qu’elles sont par les eaux stagnantes et les tas d’immondices, sans compter les mouches et les moustiques. « Il n’y a pas de camions qui viennent ramasser les déchets et voilà ce à quoi nous sommes confrontés. C’est pourquoi les populations ont dit que, dorénavant, on va essayer de mettre sur pied un cadre de réflexion afin de pouvoir réagir par rapport à ces autorités-là ».
Le problème de ces quartiers inondés est récurrent, et le Plan Jaxaay n’est pas en mesure de satisfaire tout le monde. Des personnes déguerpies qui étaient provisoirement logées dans des camps de fortune en ont été chassées, sans qu’un logement leur soit attribué dans le cadre du Plan Jaxaay.
En lieu et place, des montants leur ont été alloués pour supporter des charges locatives en attendant l’exécution d’autres tranches du projet. Mais, jusque-là, les choses ne semblent pas aller très vite et les hivernages se succèdent en causant de plus en plus de problèmes.
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