Foot - Victoires aux CAN 2008 et 2010 : Bara Diop, « l’intermédiaire » qui promet le miracle aux « Lions »

Une victoire sénégalaise à la CAN 2008 au Ghana, à celle de 2010 en Angola et même au premier Mondial de foot en terre africaine, en 2010 en Afrique du Sud ? C’est possible ! C’est même très facile ! Tel est l’avis de Bara Diop, un “ intermédiaire ” d’un genre particulier qui dit œuvrer et parler au nom d’un “ homme de Dieu ” qui, selon lui, est le seul au monde à savoir par où passer, ce qu’il y a à faire pour que les “ Lions ” brillent enfin du plus bel éclat sur la scène sportive internationale.

Selon Bara Diop qui est passé nous voir à notre rédaction, le “ saint homme ” en question ne demande qu’une chose : rencontrer le chef de l’Etat, Me Abdoulaye Wade, pour lui dire les yeux dans les yeux, la voie à suivre pour que le rêve nourri depuis des générations de footballeurs de remporter le trophée continental (et plus encore) devienne réalité. A travers des anecdotes, Bara Diop a expliqué pourquoi ces dernières années, les “ Lions ” qui en avaient pourtant les moyens n’ont jamais réussi à s’imposer en CAN. Simplement parce que, dans les hautes sphères de l’Etat et même parmi certains grands responsables de la fédération de football, on a voulu “ récupérer ” à des fins personnelles les bienfaits dont “ l’homme de Dieu ” voulait gracieusement faire bénéficier le football sénégalais. Si cet “ homme de bien ” refait surface aujourd’hui, c’est que, selon son “ missionnaire ” Bara Diop, il commence à se faire tard. D’autant qu’en direction du dernier match du Sénégal en éliminatoires de la CAN 2008, le 8 septembre à Dakar, face au Burkina Faso, “ certains Sénégalais ont déjà commencé à œuvrer secrètement pour un échec aussi retentissant que celui contre le Togo, en 2005, sur le chemin du Mondial allemand ”, a-t-il annoncé.

Alors, au quartier Bagdad de Khar Yalla où il habite (contact chez l’imam Diba), Bara Diop attend et espère que son message parviendra au chef de l’Etat, premier supporter des “ Lions ”, qui daignera recevoir celui par qui arriverait (trois fois plutôt qu’une d’ailleurs) le miracle sportif le plus attendu des Sénégalais.