Le débat sur la légalisation de l’avortement médicalisé au Sénégal prend de l’ampleur, confronté à des réalités dramatiques et à une législation restrictive.
💡 Bon à savoir
Cette interface de recherche vous permet d'explorer toutes les archives d'actualités du Sénégal, de 2006 jusqu'à aujourd'hui. Profitez de notre base de données complète pour retrouver les événements marquants de ces dernières années.
Le débat sur la légalisation de l’avortement médicalisé au Sénégal prend de l’ampleur, confronté à des réalités dramatiques et à une législation restrictive.
Parmi ceux-ci, les cas d’inceste sont fréquents, s’alarme-t-il.
Les féministes et les religieux sont toujours à couteaux tirés au sujet de l’avortement médicalisé. Si les premières affirment que cette autorisation est une urgence au regard des drames pouvant découler des viols et des incestes..
Après avoir été présenté à un juge ce jeudi 21 juillet pour répondre des accusations de violences domestiques et d’inceste émises par son neveu, Ricky Martin s’est exprimé pour la première fois sur l’affaire...
De quoi s’agit-il ?
Une «séance de consultation psychologique» avec Khayra Thiam, psychologue clinicienne, nous plonge dans l’intimité des...
En réponse à Mame Mactar Guèye de Jamra, Imam Makhtar Kanté et autres organisations qui attaquent la campagne.
User de discours pseudo-scientifique pour servir des desseins rétrogrades à l’endroit des femmes qui risquent leur vie ou sinon la perdent...
Il y aura des avancées surtout pour celles qui sont victimes de viol ou d’inceste.
La diffusion dans l'émission Enquête d'Afrique sur Canal+ du témoignage sordide d'une femme violée par...
Parmi ceux-ci, les cas d’inceste sont fréquents, s’alarme-t-il.
Les féministes et les religieux sont toujours à couteaux tirés au sujet de l’avortement médicalisé. Si les premières affirment que cette autorisation est une urgence au regard des drames pouvant découler des viols et des incestes..
Après avoir été présenté à un juge ce jeudi 21 juillet pour répondre des accusations de violences domestiques et d’inceste émises par son neveu, Ricky Martin s’est exprimé pour la première fois sur l’affaire...
Le taux de mortalité et morbidité maternels liés aux avortements à risque sont élevés.
Les violences faites aux filles et aux femmes sont encore nombreuses dans la région de Sédhiou. Les cas de harcèlements sexuels, de viols, de détournements de mineures et d’inceste sont les plus fréquents et souvent gérés dans la plus grande discrétion. Ces entraves aux droits à l’épanouissement de la fille entraînent des conséquences graves. Des organisations comme l’Association de développement Le Gabou, Enfance et Paix et le Comité départemental de la protection de l’enfance sont à pied d’œuvre pour infléchir cette fâcheuse tendance.
Emna Aouij, Présidente du groupe de travail du Conseil des droits de l’homme sur la question de la discrimination contre les femmes dans la législation et dans la pratique, a invité les femmes sénégalaises à briser les chaînes du silence et des inégalités sur «les obstacles socioculturels qui leurs empêchent de réaliser pleinement leurs droits».
Depuis hier, l’Association des juristes du Sénégal (Ajs), en partenariat avec l’Ong Article 19, organise un atelier de formation et d’échanges sur le traitement médiatique des violences basées sur le genre. Cette rencontre a constitué une tribune pour l’Ajs et ses collaborateurs pour faire un plaidoyer dans le sens de l’application de l’avortement médicalisé.
Sacrifiant à un rituel, auquel le défunt leader de Jamra, Abdou Latif Guèye, était resté fidèle pendant 25 ans, une délégation de l’Organisation islamique Jamra et de l’Observatoire de Veille et de défense des valeurs cultuelles et religieuses, forte d’une vingtaine de membres, dirigée par le Président exécutif de Jamra, Imam Massamba Diop, se rend ce dimanche12 janvier 2014, en cette veille de Maouloud, dans la Ville Sainte de Tivavouane pour rendre une visite de courtoisie à la famille de Seydil Haj Malick Sy. Actualité oblige, l’occasion n’en sera pas moins saisie pour informer et sensibiliser les autorités religieuses de la Ville Sainte sur les manœuvres de certaines Associations féministes sénégalaises, tendant à vouloir faire légaliser au Sénégal l’Ivg (l’interruption volontaire de grossesse), prétextant de la récurrence des cas de viols et d’incestes.
Le Comité régional de lutte contre les violences faites aux femmes (CLVFF) de Tambacounda est passé de 102 cas de violences faites aux femmes traités sur la période 2010-2012 à 130 cas après l’ouverture, depuis le mois de novembre dernier, d’un centre d’écoute, a indiqué vendredi, sa présidente.Oumou Sakho Diamé a indiqué que 102 cas de violences faites aux femmes ont été traités par le CLVFF sur la période 2010-2012.
A l’origine, une prise de conscience des délits sur mineurs (viols, incestes) relatés dans la presse quotidienne. On s’est dit qu’il fallait que ça s’arrête parce que ça avait tendance à être banalisée, dans les colonnes de faits divers des journaux. C’est ainsi qu’en octobre 2011, un groupe de jeunes s’est réuni et a décidé de créer cette association. L’objectif est de dénoncer la recrudescence des viols commis sur les enfants en disant Stop et en conscientisant les parents parce que souvent, ces méfaits sont commis dans le cercle familial par des voisins, des cousins, donc généralement des parents proches. Nous avons compris qu’il fallait alerter les parents et les inciter à plus de vigilance. Comme le sexe est tabou au Sénégal, il fallait également penser à s’adresser aux enfants pour qu’ils comprennent ce qu’est un viol, les rendre alertes, leur recommander de ne pas fréquenter les tontons à certaines heures, etc. Donc, dès que l’enfant est en mesure de comprendre, on a la possibilité de s’adresser à lui. Les petits garçons aussi sont concernés, ce sont des cas moins connus mais qui existent réellement. C’est d’autant plus grave parce qu’on a noté un développement de l’homosexualité chez ces victimes