Alors qu’on lui prêtait l’intention de vouloir reporter la présidentielle en 2014, Me Wade vient de prouver le contraire, en convoquant le collège électoral à la date du 26 février 2 012. Plongeant ainsi l’opposition dans le désarroi. C’est, du moins, la conviction du ministre conseiller, en charge des Affaires religieuses, Mamadou Bamba Ndiaye ,qui l’a dit hier à travers les ondes de la radio Rfm, dans l’émission intitulée : « Le Débat du jour ».
Le Président de la République vient de clouer le bec à tous ceux-là qui doutaient de sa bonne foi, quand il disait qu’il entendait respecter le calendrier républicain en rendant, notamment, public un décret fixant la date de l’élection présidentielle au dimanche 26 février 2012. Une nouvelle qui n’a pas laissé indifférente l’opposition, qui comme à son habitude, a rué dans les brancards. Une réaction qui ne surprend guère le ministre conseiller, chargé des Affaires religieuses, Mamadou Bamba Ndiaye, qui, dans l’émission « Le Débat du jour »,hier à la radio Rfm, a mis toute cette agitation sur le compte de la peur. Une peur qui, selon lui, s’explique, particulièrement, par le fait que l’opposition est minée par des problèmes.
Cette entité qui regroupe l’opposition dite significative, n’est pas encore prête à aller à des élections. « Comme l’a souligné Hélène Tine de l’Afp, tantôt, les dernières élections présidentielles avaient eu lieu le 25 février 2 007. Ce qui signifie que l’on n’a rien à dire par rapport à la date choisie par le chef de l’Etat, qui est celle du 26 février prochain pour la tenue de la prochaine présidentielle. Me Wade, en tant que premier magistrat de ce pays, a fait ce qu’il devait faire, en respectant le calendrier républicain. Le problème, c’est que nous avons une opposition qui n’est pas prête, une opposition qui est minée par des querelles intestines. Aussi, leur réaction par rapport au décret se comprend aisément.
En réalité, l’acte républicain que vient de poser le chef de l’Etat a fini de les plonger dans la peur », dira le ministre en substance. Et M. Ndiaye de se poser la question de savoir, ce que veut réellement cette opposition qui, depuis quelque temps, tentait de semer le doute dans l’esprit des Sénégalais en soutenant que tous les ingrédients sont réunis pour que le calendrier républicain ne soit pas respecté. « C’est à se demander ce que veut vraiment cette opposition.
Ce sont ses leaders, eux-mêmes, qui criaient sur tous les toits que le Président de la République ne comptait pas organiser les élections en 2 012. Maintenant, qu’on leur donne, de manière précise, la date à laquelle se tiendra la prochaine présidentielle, ils trouvent à redire », s’étonne-t-il.
Interpellé sur l’audit du fichier électoral qui est brandi par les adversaires politiques de Me Wade pour justifier une éventuelle intention de la majorité de frauder lors de la prochaine joute électorale, le ministre conseiller fera savoir qu’il s’agit là d’arguments infondés. Et cela, pour la bonne et simple raison que le fichier dont il est question a déjà été audité à maintes reprises. « C’est parce qu’Abdoulaye Wade est magnanime qu’il a accepté que le fichier soit encore une fois audité par l’Union européenne et les autres », laissera-t-il entendre avant de poursuivre en ces termes : « Me Wade va accéder à toutes les requêtes de l’opposition avant de la battre à plate couture en 2 012 ». Une conviction que le collaborateur du chef de l’Etat dit partager avec Tanor, Niasse et Cie.
Interpellé sur l’audit du fichier électoral qui est brandi par les adversaires politiques de Me Wade pour justifier une éventuelle intention de la majorité de frauder lors de la prochaine joute électorale, le ministre conseiller fera savoir qu’il s’agit là d’arguments infondés. Et cela, pour la bonne et simple raison que le fichier dont il est question a déjà été audité à maintes reprises. « C’est parce qu’Abdoulaye Wade est magnanime qu’il a accepté que le fichier soit encore une fois audité par l’Union européenne et les autres », laissera-t-il entendre avant de poursuivre en ces termes : « Me Wade va accéder à toutes les requêtes de l’opposition avant de la battre à plate couture en 2 012 ». Une conviction que le collaborateur du chef de l’Etat dit partager avec Tanor, Niasse et Cie.
En effet, selon lui, ces derniers sont parfaitement conscients de leur prochaine défaite électorale. Ce qui, toujours à l’en croire, justifie leurs gesticulations et toutes les fausses intentions qu’ils prêtent à Me Wade. « C’est, justement, parce que les membres de l’opposition sont conscients qu’ils seront laminés en 2 012 qu’ils cherchent toutes sortes de prétextes. Tantôt, ils insinuent que Me Wade veut installer son fils à la tête du pouvoir, tantôt, ils remettent en cause la légalité de sa candidature », notera-t-il, avant d’appeler les uns et les autres à laisser au Conseil constitutionnel, qui est seul habilité à trancher cette question, le soin de jouer son rôle. « Laissons le Conseil constitutionnel faire son travail. C’est une institution qui est composée d’hommes de valeurs. Et le moment venu, ils diront qui peut être candidat et qui ne peut pas l’être », a-t-il conclu.
8 Commentaires
Lam
En Novembre, 2010 (19:46 PM)Diamus
En Novembre, 2010 (19:56 PM)Haha.....
En Novembre, 2010 (20:03 PM)L´eil
En Novembre, 2010 (21:51 PM)L´eil
En Novembre, 2010 (21:52 PM)And Boolo Dolele Wade
En Novembre, 2010 (22:42 PM)l'opposition a déja perdu la guerre
Boye Bamabarra
En Novembre, 2010 (05:37 AM)Maroc
En Novembre, 2010 (16:49 PM)Participer à la Discussion