
À en croire le professeur titulaire des universités, invité de l’émission «Objection» de ce dimanche sur Sud Fm, l’Etat n’a fait qu’adapter la loi à son contexte nouveau. Pas de quoi fouetter un chat, alors.
«On a beau critiquer, mais il faudrait qu’on essaie d’analyser cette notion d’état d’urgence et même d’état de guerre. Parce que ce sont des notions qui ont muté, qui ont évolué avec le temps.
Donc, le droit doit s’adapter par rapport à son contexte», estime cet agrégé en histoire du droit et des institutions.
Selon lui, «dans l’esprit de la loi de 1969, on parle plus de menaces liées à l’usage de la force. C’est-à-dire que c’est l’armée qui était visée.
La loi ne prévoyait pas cette situation exceptionnelle que nous sommes en train de vivre, cette crise sanitaire».
Donc, soutient-il, «de mon point de vue, l’Etat n’a fait qu’actualiser, mettre à jour une loi qui risquait d’être jugée quelque peu rétrograde».
5 Commentaires
Corrompu
En Janvier, 2021 (14:15 PM)Reply_author
En Janvier, 2021 (14:32 PM)Mandela
En Janvier, 2021 (14:29 PM)Habiliter le Pdt n'est pas sans danger, surtout en cette période de danger- je veux dire de péril - sanitaire.
Le risque est d'autant plus grand que le contrôle est neutralisé.
IL VA ETRE POSSIBLE D'ORGANISER TRANQUILLEMENT ET DE MANIÈRE SOLITAIRE, UNE TRANSLATION DU POUVOIR D'ETAT, PAR NÉGOCIATION DIRECTE...
Tiramakha
En Janvier, 2021 (14:48 PM)Mandela
En Janvier, 2021 (15:03 PM)Détrompez-vous.
Le prétexte sanitaire va avaliser... N'IMPORTE QUOI.
ET SAUF UNE GUERRE CIVILE DESTRUCTRICE, IL SERA IMPOSSIBLE D'ARRETER LE MOUVEMENT.
Lamine
En Janvier, 2021 (15:15 PM)Dons savons faire la part des choses
C'est bien de présenter son profil complet avant de parler à un public; ça ça de l'honnêteté intellectuelle
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