Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
Mairie de Dakar : les trois revers de Barthélémy Dias à la Cour suprême
L’UDB « viole le code électoral »
À six mois de l’élection présidentielle d’octobre 2025, le gouvernement ivoirien a adopté, ce 7 mai, une ordonnance modifiant l’article 51 du Code électoral, ainsi qu’un projet de loi de ratification.
Saisi par Beyna Guèye, électeur inscrit sur les listes électorales de la commune de Mermoz - Sacré-Cœur, le préfet de Dakar a prononcé, ce vendredi 13 décembre 2024, la démission de Barthélemy Dias de son poste de maire de Dakar. Ceci, conformément aux articles L29, L30 et L277 du Code électoral.
Lors de son adresse à la nation, ce jeudi 12 septembre 2024, le Président de la République Bassirou Diomaye Faye a dissous l’Assemblée nationale et fixé la date des prochaines élections législatives anticipées le 17 novembre 2024.
L'ex-détenu Pape Abdoulaye Touré a demandé la suppression des articles L29 et L30 du Code électoral.
Votée le mercredi 06 mars dernier, la loi portant révision du Code électoral continue de susciter des débats dans l’opinion publique au Bénin.
Après avoir échoué à réviser la constitution la semaine dernière, les députés de la mouvance présidentielle ont voté le mercredi 06 mars 2024, la loi portant révision du code électoral. Majoritaires au parlement, ils n’ont eu aucun mal à faire passer ce texte dénoncé par l’opposition (qui a voté contre).
En recevant les conclusions du dialogue national ce lundi, Macky Sall a évoqué la date de la Présidentielle, qui pourrait être fixée le 2 juin si...
Le 20 novembre 1991, notre pays s’est doté d’un nouveau code électoral à la suite d’une maïeutique collective déroulée sous la direction du regretté Juge Kéba MBAYE.
Le candidat à la Présidentielle de février 2024, Bassirou Diomaye Faye, a été inculpé et placé sous mandat de dépôt le 18 avril pour «actes de nature à compromettre à la paix publique » « outrage à magistrat » et « diffamation à l’encontre d’un corps constitué ».
Après la clôture de l'étape de vérification du parrainage en rendant publique la liste des candidats qui ont passé ce cap, le greffe du Conseil constitutionnel reçoit depuis hier lundi, 15 janvier, pour 48 heures, les réclamations des candidats recalés, "conformément aux dispositions de l'article 1..127 du Code électoral".
À l'ouverture de la cérémonie de tirage au sort devant déterminer l'ordre de passage des candidats pour la vérification des parrainages, le président de la Commission, Mamadou Badio Camara a fait savoir que « parmi ces dossiers seuls ceux qui présentent les 9 pièces exigées à l'article 121 du Code électoral et qui comprennent un nombre de parrains au moins égal au minimum requis par la loi feront l'objet d'un contrôle de parrainage ». Selon lui, « cette mesure s'explique par le souci de ne point entraver les candidatures en accroissant les risques d'éliminations du fait de doublons externes ».
En perspective de la Présidentielle du 25 février 2024, un atelier de mise à niveau a été consacré aux magistrats de Ziguinchor.
Le processus électoral, en perpétuelle mutation, a encore une fois été modifié à quelques mois de la présidentielle de février 2024 après le dialogue dont les conclusions ont été remises au président de la République le 24 juin dernier. Au sortir des ces discussions, il a été retenu que des innovations seraient apportées dans le code électoral. Des modifications dont un point particulier concerne le parrainage.
La date de démarrage des opérations de collecte de parrainages pour la présidentielle de 2024 était initialement fixée au 28 août. Mais ça, c’était avec le Code électoral de 2021.
Khalifa Sall et Karim Wade ont recouvré la plénitude de leurs droits civiques, suite à l’adoption, par l’Assemblée nationale, le 5 août dernier, de la loi 16-2023 modifiant la loi n°2021-35 du 23 juillet 2021 portant Code électoral. Mais les deux «K» ne sont pas pour autant au bout du tunnel de la présidentielle de février 2024.
L’article 28/3 du code électoral nouveau a institué la grâce présidentielle comme mode de restauration du droit de vote.
Le projet de loi n°12/2023 modifiant la loi n°2021-35 du 23 juillet 2021 portant code électoral a été finalement adopté à l'Assemblée nationale, le samedi 05 août 2023.
Nafissatou Diallo a tenu à préciser que cette révision ne concerne pas le candidat du PDS à la prochaine présidentielle, Karim Wade