Le directeur de la compagnie d’assurances Massay international est poursuivi pour une escroquerie portant sur plus de 800 millions FCFA. Jean Michel Seck, ancien directeur de la Société africaine de raffinage (Sar) a trainé devant les tribunaux son ami d’enfance, non moins directeur de Massay international pour faux, usage de faux dans un document administratif portant sur 463 millions FCFA. Aussi pour abus de confiance, portant sur la somme de 430 millions FCFA.
Les faits remontent à 2008. Jean Michel Seck quitte la Sar pour Total Paris. A sa grande surprise, il est informé par ses nouveaux patrons que deux chèques ont été établis à son nom propre et encaissés. Alors qu’il ne les a jamais endossés. Des enquêtes de la Sar, il ressort que les chèques en question ont été endossés par Chérif Sène.
L’accusé soutient que c’est Jean Michel Seck qui lui en a donné le pouvoir. Et que les montants ont été reversés au plaignant. Et c’est compte tenu de leurs relations très étroites qu’il a jugé utile de ne pas lui demander de décharge. L’ancien directeur de la Sar qui prétend que sa signature a été imitée soutient n’avoir pas une seule fois rencontré le directeur de Massay avant son départ pour Paris. Délibéré de l’affaire : le 20 avril.
Seneweb news-RP (L’As)
14 Commentaires
Anonyme
En Mars, 2017 (08:43 AM)Quand il a compris que c'était un notaire sérieux et une banque au fait de ses turpitudes, je ne l'ai plus revu.
Anonyme
En Mars, 2017 (09:08 AM)Anonyme
En Mars, 2017 (09:26 AM)Anonyme
En Mars, 2017 (09:30 AM)En octroyant des bourses d’excellence, l’Etat se défait de ses meilleurs élèves qui devraient prendre le destin du pays en main. Presque tous les bacheliers ayant obtenu la mention Bien ou Très-Bien obtiennent une bourse pour partir en France, ou en Amérique du Nord. Ceux qui ont des mentions Assez-Bien ont aussi des bourses pour le Maroc, la Tunisie, ou l’Algérie, ou bénéficie d’une aide s’ils réussissent à partir en France. Parmi les meilleurs qui partent, la majeure partie restent en Europe pour des raisons multiples : manque de rigueur dans l’administration sénégalaise, maraboutage des collègues nullards qui ne veulent pas qu’on les devance, lobbying des nullards qui leur ferment les portes. Ce faisant, il ne reste au pays que des étudiants avec un niveau moyen (environ 5%) et des nullards (environ 95%). Un exemple concret ? Sur les 30 candidats admis au concours de la Magistrature, seuls le 1er à une moyenne supérieure à 12/20 (12,35 plus précisément). En se référant aux résultats 2015 et 2016 du CFJ, on peut facilement imaginer que plus de ¾ des magistrats ont eu leur bac avec mention passable et ont été accepté au concours avec une moyenne à peine supérieure à 10/20. Idem, les meilleurs nullards restés au pays intègrent l’ENA dont à peine ¼ ont le niveau réel pour être haut fonctionnaire. En envoyant ses meilleurs éléments à l’étranger et en confiant l’administration aux nullards, L’Etat forme lui-même des arrivistes qui dans leurs plus doux rêves d’enfant ne se voyaient pas haut fonctionnaire. Ces nullards devenus magistrats, inspecteurs des impôts ou des douanes, DAGE, ministre, Directeur d’agence, etc. se goinfrent comme des affamés avec les deniers publics. Partout dans l’administration, les promotions se font par liens de parenté ou copinage. Le directeur de service ne veut être entouré que par des chefs de bureau nuls ou par des parents. Car sachant qu’il/elle est nul(le), il/elle ne veut pas avoir à ses côtés des gens plus compétents.
Il y a des centaines de sénégalais qui ont obtenu leur doctorat dans de grandes universités avec des publications record et qui veulent rentrer au pays, mais les nullards restés au pays leur ferment la porte. Le recrutement des enseignant-chercheurs n’est pas du tout objectif. Il faut avoir un parent dans un ministère ou dans l’université pour être accepté. L’étudiant nul qui a passé 10 ans avec un nullard de professeur pour une thèse nulle (sans aucune publication) se voit attribué le titre de Dr. Avec Mention très honorable et félicitations du jury! Ce soi-disant docteur devient l’assistant du professeur nul. Et cela se poursuivra avec cet assistant nul quand il deviendra un professeur nul. Ce qui explique qu’il n’y a plus d’enseignement de qualité dans les universités sénégalaises, ni de publications, ni de recherche appliquée. Plus de 90% des professeurs de l’UCAD n’ont pas eu de mention au BAC. Ce qui montre qu’ils étaient déjà nuls à la base. Comment expliquer qu’un enseignant-chercheur puisse stagner toute sa vie au statut de « Maitre-assistant» ? Par ce que même dans un milieu universitaire pourri où avec quelques colloques et conférences sous- régionales et ZERO publication dans des «peer-reviewed journals», on peut devenir Professeur titulaire NUL, l’assistant nul n’y arrive pas.
Et les exemples sont plus que nombreux. LE SYSTEME EST TOUT SIMPLEMENT POURRI.
Anonyme
En Mars, 2017 (09:35 AM)Appli utile pour les commerçants et les goorgorlous pour gérer leurs activités.
appli créée par un sénégalais
Merci
Anonyme
En Mars, 2017 (10:08 AM)LA PENDAISONS
LA PENDAISONS
LA PENDAISONS
LA PENDAISONS
LA PENDAISONS
LA PENDAISONS
LA PENDAISONS
LES VOLEURS MÉRITE LA PRISONS A VIE OU LA PENDAISON, C'EST LE SEUL MOYENS EXISTANT DE DISSUASION QUE TOUS LES PAYS AFRICAINS DOIVENT ADAPTER.
UNE DISCUSSIONS NATIONALE DEVRAIT SE METTRE EN PLACE POUR METTRE FIN AUX VOLE DES BIENS DE LA NATIONS.
SI CHACUN VOLE COMMENT ALLONS NOUS CONSTRUIRE DES HÔPITAUX, DES ROUTES( PAS CES ROUTES AU SÉNÉGAL MAIS DE VRAIS ROUTE), POSER DES ACTES DE FERMETÉ ENVERS TOUS LES SENEGALAIS VOLEURS.
POURQUOI VOLER CE QUI NE T'APPARTIENT PAS.
Anonyme
En Mars, 2017 (10:23 AM)Anonyme
En Mars, 2017 (11:14 AM)Manemi
En Mars, 2017 (11:14 AM)Sans commentaire. Ki amoul diom. Ses turpitudes ne datent pas de maintenant. Personnellement, j'ai perdu toute mon épargne (assurance vie) avec lui.
Yalla rek mokay yeureum.
Anonyme
En Mars, 2017 (11:22 AM)Anonyme
En Mars, 2017 (13:53 PM)Anonymebraciano
En Mars, 2017 (14:43 PM)Anonyme
En Mars, 2017 (14:53 PM)Anonyme
En Mars, 2017 (15:17 PM)Participer à la Discussion