
Les incidents qui ont émaillé le bureau politique du Ps, le 5 mars dernier, seraient désormais derrière les membres du parti qui s’est réuni hier pour évaluer leur participation au référendum du 20 mars, aux côtés du président Macky Sall, avant de décider de la conduite à tenir après les scènes de violences qui ont fait les choux gras de la presse, au début du mois.
«Nous souhaitons que les militants, quel que soient leur rang, leur opinion, qu’ils aient le droit d’argumenter librement dans les instances, lorsque le parti arrêtera une décision, conformément à ses textes, que l’ensemble du parti les observe et les respecte», confie le maire de Kaffrine et porte-parole du Parti socialiste.
Dans les colonnes de L'Observateur, Abdoulaye Wilane de se montrer ferme. «Désormais, que les responsables que soumettent à la discipline de parti et mettent en œuvre les décisions prises. Le parti donnera les moyens politiques et juridiques pour que cela ne se reproduise plus. Nous le ferons sans faiblesse coupable ni cruauté inutile», a toutefois martelé le porte-parole des Verts.
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