Plusieurs fois annoncé dans la presse, le retour au Sénégal du maire de Thiès était attendu, notamment par ses militants qui se sentait un peu laissés à eux-mêmes face à la vindicte de ex-frères libéraux. Pour le commun des Sénégalais, il s’agissait d’y voir un peu plus clair dans les relations aigres-douces entre le Pape du Sopi et celui qui était considéré comme le « fils spirituel » du président Wade.
Paraissant un moment aplani à la vielle de la campagne électorale présidentielle dernière, le différent entre les deux hommes est réapparu au grand jour après le scrutin présidentiel. Me Wade a rejeté les félicitations à lui adressées par Idrissa Seck.
M. Seck a en outre boycotté les élections législatives et sénatoriales suivantes dans le cadre du Front Siggil Sénégal (Fss) formé par l’opposition dite « significative » qui ne reconnaît pas la victoire du président Wade qu’elle estime « usurpée ».
Depuis quelques mois, des informations contradictoires circulent via la presse sur des négociations entre Wade et Idy liées à des retrouvailles et à la succession du premier - appelé « constante » du Pds – et dont le débat qui implique son propre fils, Karim Wade, fait rage.
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