Le Front syndical autonome (Fsa), qui reproche à l’État d’avoir réparti à 4 organisations les 300 millions de francs CFA représentant la subvention allouée aux centrales syndicales, ne devrait s’en prendre qu’à lui-même. Selon Cheikh Diop de la Cnts/Fc, porte-parole des centrales bénéficiaires, qui ont fait face à la presse hier, vendredi 5 août, cette répartition est dictée par les résultats des élections de représentativité tenues en 2011.
« Les centrales qui n’ont pas eu 5% lors des élections de représentativité syndicale, ne peuvent pas bénéficier de la subvention syndicale », a-t-il indiqué.
Visiblement donc, le Fsa, qui regroupe 15 entités, n’a pas atteint ce score. D’où se mise à l’écart au profit de la Cnts, la Cnts/Fc, la Csa et l’Unsas.
Le leader du Fsa, Sidya Ndiaye, menace de porter l'affaire devant le Bureau international du travail (Bit).
Politique
5 Commentaires
Anonyme
En Août, 2016 (11:07 AM)@1
En Août, 2016 (12:31 PM)Ils permettent le dialogue,la défense de travailleurs,l'information du public ....
ça c'est dans un monde parfait.....
Dans l'absolu l'être humain étant ce qu'il est ,souvent ces organisations ne défendent qu'une minorité constituée d'obligés des pouvoirs en place......
Quelque soient les pays considérés...
Wow
En Août, 2016 (18:21 PM)Anonyme
En Août, 2016 (22:16 PM)Anonymediallo
En Août, 2016 (00:52 AM)Participer à la Discussion