
Les membres du Syndicat autonome des enseignants du supérieur (Saes) ont organisé hier des assemblées générales devant les rectorats des 5 établissements universitaires du pays pour exiger l’application du protocole d’accords sur l’enseignement supérieur. Selon le quotidien L’AS, ils ont déposé un préavis de grève d’un mois. Au-delà de cette échéance, si le gouvernent persiste à ignorer leurs revendications, les universitaires comptent aller en grève illimitée pour obtenir gain de cause.
Pour Yankhoba Seydi, c’est le début d’un plan d’actions pour la satisfaction des principaux points contenus dans leur protocole d’accords conclu l’année dernière avec l’Etat. Dans cette lutte, «Nous ne réclamons ni plus ni moins que le respect des engagements pris par le chef de l’Etat en mars 2015.
Pour Yankhoba Seydi, c’est le début d’un plan d’actions pour la satisfaction des principaux points contenus dans leur protocole d’accords conclu l’année dernière avec l’Etat. Dans cette lutte, «Nous ne réclamons ni plus ni moins que le respect des engagements pris par le chef de l’Etat en mars 2015.
Lors de cette réunion, le président s’était engagé à faire voter les principales réformes contenues dans le protocole au plus tard 1er janvier 2016. Mais après une année, nous avons appris que le texte concernant la réforme des titres n’a toujours pas quitté le secrétariat de la Présidence. Devant ce constat, nous tenons pour responsable le gouvernement pour toutes les futures perturbations qui pourraient entraver cette années universitaire», avertit-il.
A l’en croire, cette crise résulte d’une mauvaise volonté du gouvernement qui s’est employé à freiner toute tentative de réforme dans l’espace universitaire. «Les accords autour de notre plateforme de revendication datent de l’année 2011. Mais notre patience a des limites. Ainsi, au-delà du 04 février 2016, date de la fin du préavis, s’il y a pas de réaction du côté du gouvernement, nous serions obligés de déclencher une grève illimitée, prévient Yankhoba Seydi qui accuse le gouvernement de s’être engagé dans une dynamique de confrontation.
«Nous allons continuer le travail normalement en espérant une réaction du gouvernement. Par contre, je tiens à préciser que le Saes ne reculera sur aucun point. Pour nous, il n’y a plus rien à négocier», clame-t-il.
A l’en croire, cette crise résulte d’une mauvaise volonté du gouvernement qui s’est employé à freiner toute tentative de réforme dans l’espace universitaire. «Les accords autour de notre plateforme de revendication datent de l’année 2011. Mais notre patience a des limites. Ainsi, au-delà du 04 février 2016, date de la fin du préavis, s’il y a pas de réaction du côté du gouvernement, nous serions obligés de déclencher une grève illimitée, prévient Yankhoba Seydi qui accuse le gouvernement de s’être engagé dans une dynamique de confrontation.
«Nous allons continuer le travail normalement en espérant une réaction du gouvernement. Par contre, je tiens à préciser que le Saes ne reculera sur aucun point. Pour nous, il n’y a plus rien à négocier», clame-t-il.
2 Commentaires
Vespa
En Janvier, 2016 (16:26 PM)• Gel des recrutements (hors forces de défense et de sécurité) ;
• Réduction des enveloppes destinées aux heures supplémentaires et à l’hospitalisation des agents de l’Etat ;
• Réduction du personnel diplomatique en poste à l’étranger.
Anonyme
En Janvier, 2016 (17:27 PM)Participer à la Discussion