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GAMBIE - Les camionneurs sénégalais haussent le ton: «Ce n’est plus un problème syndical, mais un problème d’Etat»

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GAMBIE - Les camionneurs sénégalais haussent le ton: «Ce n’est plus un problème syndical, mais un problème d’Etat»
Traverser la Gambie, tout un calvaire pour les camionneurs sénégalais qui doivent verser, pour chaque camion, 400 000 FCfa à la douane gambienne. Un montant qui ne prend pas en compte les 1000 FCfa payés par tonne de marchandise voire 3000 ou 4000 FCfa pour le ciment et le faire). La circulation n’est toujours pas fluide pour les transporteurs sénégalais qui empruntent le bac pour traverser la Gambie. Une grogne qui va crescendo et pousse les camionneurs sénégalais, à demander un tête-à-tête entre les chefs d’Etat gambien et sénégalais, Macky Sall et Yaya Jammeh. «Macky Sall doit impérativement prendre langue avec Jammeh pour l’amener à changer de position vis-à-vis des transporteurs sénégalais.

 Macky Sall doit le pousser à la négociation, car les deux pays ont chacun un intérêt à tirer. Il doit savoir que les transporteurs sénégalais ne sont pas contents et qu’il faut nécessairement trouver un consensus. Les deux pays ont un passé qui n’a pas de valeur marchande», confie Momar Sourang, coordonnateur des acteurs du transport routier, dans les colonnes de l'Observateur. Pour le secrétaire général du syndicat des travailleurs des transports routiers du Sénégal, Gora Khouma, «ce n’est plus un problème syndical, mais un problème d’Etat. Nous pensons que Jammeh cherche autre chose», craint-il. En attendant une mesure alternative, ils s'en remettent au chef de l'Etat. «Sans des mesures d’accompagnement, on sera toujours à la merci de Yaya Jammeh», ont-ils prévenu. Toutefois, à en croire les camionneurs sénégalais, s’ils continuent à payer 400 000 FCfa pour traverser la Gambie, il risque d’y avoir des répercussions sur les prix de denrées alimentaires qui pourraient connaître une hausse.


10 Commentaires

  1. Auteur

    Moy Lolou

    En Février, 2016 (15:17 PM)
    le fer!
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  2. Auteur

    Anonyme

    En Février, 2016 (15:17 PM)
    On a rien à reprocher à la gambie.on a notre menteur en nous memes.
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    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2016 (15:22 PM)
    DJIAMMEH DOIT ETRE DISCIPLINE PAR LE SENEGAL,IL EN FAIT TROP ET MERITE D'ETRE CORRIGE.
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    Auteur

    Serer

    En Février, 2016 (15:38 PM)
    Après avoir pris vos "responsabilités", vous dites que c'est un problème d'Etat. Il n'y a qu'au Sénégal où les syndicalistes transporteurs bloques les frontières selon leurs humeurs et l'Etat laisse faire. Des décisions de souveraineté que de simples transporteurs dictent à leur Etat, c'est dommage. Malheureusement il n' y a que des casamançais qui paient les pots qu'ils n'ont jamais cassés. Khouma, cette fois-ci, tu es allé très loin et n'oublie pas Dieu te voit faire souffrir les populations casamançaises. La Gambie n'a rien fait contre les camionneurs, ils n'ont fait qu'appliquer une décision.
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    Auteur

    An

    En Février, 2016 (15:41 PM)
    c'est triste pour la population de la Casamance. à quand la voie de contournement????

    c'est triste pour la population de la Casamance. à quand la voie de contournement????

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    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2016 (15:42 PM)
    La Gambie est un état souverain et les états n'ont pas d'amis, ils ont des intérêts. Pourquoi Jammeh obéirait il au Sénégal à l'œil et au doigt?
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    Auteur

    Milk

    En Février, 2016 (16:03 PM)
    Vis à vis de la Gambie notre pays a deux talons d’Achille: la rébellion et la trans gambienne.



    Le premier est passe d’être solutionné (ni guerre ni paix ) et yaya diamé n'a plus qu' un seul atout dans sa manche le bac qu'il faut traverser pour aller en Casamance.



    Les autorités ont commencé à solutionner ce problème en mettant deux bateaux à ticket réduit à la disposition des population de ziguinchor.

    Mais cela ne règle le problème qu'en partie car kolda , sedhiou , bignona ne sont pas concernés par la traversée.



    Quelle alternative alors?



    Ce qu'il faut retenir est que le problème ce n'est pas la Gambie mais son président.

    Une fois cela admis la solution est évidente on ne peut déplacer la Gambie mais on peut faire partir diamé qui est aux abois et dont l'économie est exsangue.

    IL appartient au Sénégal de parler d'une seule voix dans cette affaire et de prendre langue avec les occidentaux pour faire partir diamé.



    Et après ?



    Se débrouiller pour installer au pouvoir un pro Sénégal et reconduire la confédération.
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    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2016 (16:30 PM)
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    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2016 (16:53 PM)
     :emoshoot: 
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    Auteur

    Anonyme

    En Mars, 2016 (08:17 AM)
    LE GOUVERNEMENT SENEGALAIS DE NOUVEAU FERME LA FRONTIERE SÉNÉGAMBIE TRANSPORT.

    Le gouvernement sénégalais est à nouveau, faire ce qu'ils font le mieux quand semblant de ne pas être au courant des activités espiègles parrainés par l'État visant à perturber la stabilité politique dont jouit le peuple et le gouvernement de la République islamique de la Gambie. Il est ahurissant de voir une fois de plus les autorités sénégalaises à l'aide du syndicat des transports du pays à fermer tous les points de transit des véhicules, entrée et de sortie le long de leurs frontières communes avec la Gambie et faire semblant de ne pas savoir quoi que ce soit à ce sujet ou si elles ne disposent pas des pouvoirs légaux de la prise en charge d'une telle responsabilité majeure de l'Etat.

    Toutefois, avant d'aller trop loin, il est important de préciser à mes lecteurs sur la façon dont je ne crois pas que le problème n'a rien à voir avec les citoyens sénégalais moyens dont la compréhension de l'interdépendance entre les deux pays sur tous les aspects de notre survie méritent une mutuelle durable le respect et la coopération constante entre les peuples pris en charge par l'honnêteté et l'ouverture des deux gouvernements. Une noble aspiration seulement réalisable grâce à la coexistence pacifique des peuples comme une seule communauté séparés par des frontières artificielles tracées par nos anciens maîtres d'esclaves de conserver en permanence nous divisé et affaibli.

    Nous avons entendu les chefs religieux des deux pays font écho à des sentiments similaires en appelant les dirigeants politiques des deux pays à l'écart de leurs différences et à travailler ensemble pour résoudre le problème, en laissant le galimatias blâme-répartition hors de lui. Bien que je tiens à remettre en question la faisabilité de la façon dont les deux leaders pourraient se réunir pour résoudre un problème d'une telle ampleur quand on fait semblant de ne pas avoir quelque chose à voir avec sa cause. En feignant de ne pas être impliqués, le gouvernement sénégalais semble être plus ou moins fermer toutes les portes de négociation possible, laissant la responsabilité de résolution de problèmes dans les mains de leur union qui protocole sage ne seront jamais engagés par le gouvernement gambien.

    Cependant, depuis la fermeture de la frontière, maintenant dans sa troisième semaine, les cheerleaders du gouvernement Anti-APRC excités par la perspective de ses effets financiers négatifs sur l'économie gambienne sont également porteur que ce fut l'arme ultime, ils priaient et attend pour enfin faire tomber le gouvernement du président Jammeh.

    J'ai entendu certains d'entre eux en encourageant le Président Mackey Sall pour garder la pression dans cette année d'élection présidentielle, de manière à rendre la vie insupportable difficile de Gambiens, donc contraindre l'électorat gambien à voter le gouvernement APRC du pouvoir en Décembre 2016. À moins que le faute sénégalais de prouver leur incapacité à apprendre de leurs erreurs passées, jouant le long de cet objectif sera comme, si elles réussissent, en répétant l'histoire de l'utilisation de la force pour rétablir le gouvernement du PPP renversé par le regretté Kukoi Samba Sanyang en Juin 1981, juste plus tard, être déçu dans tous leurs accords avec le gouvernement fantoche installé.

    Quoi qu'il en soit ces cheerleaders bornés avec aucune idée de la façon dont les gouvernements sont administrés ou soutenus ne comprennent pas qu'une fois que le gouvernement sénégalais contribue avec succès en aucune façon de changer un régime en Gambie, tout gouvernement succédant sera soit une marionnette à Dakar ou face à la possibilité même d'être ramené par les mêmes moyens, si les circonstances l'exigent. La pensée désespérée évoquant une nation étrangère à déstabiliser ou à aider à renverser un pays souverain dans l'attente de la suite établir quelque chose de mieux devrait rappeler cette intrigante à propos de ce qui est arrivé en Irak, la Libye et d'autres pays brisés sous la même illusion. Je vais quand même partager les paroles de sagesse avec tous ceux qui lisent cet article que le gouvernement de Son Excellence le Président Yahya A. J. J. Jammeh ne sera jamais décomposé par une pression externe ouvertement ou non perpétré par un groupe, organisation ou gouvernement.

    les gouvernements sénégalais, passé et présent avaient joué des tours sales et plus dangereux contre le gouvernement du président Jammeh visant à le détruire, mais plutôt tout simplement fini par renforcer plus fort. Par exemple, en 1996, deux ans après que le président Jammeh est arrivé au pouvoir, une vingtaine de mercenaires gambiens inconditionnels qui avaient combattu pour les rebelles de la milice de Charles Taylor au Libéria pendant sept ans assemblés au Sénégal, financés et encouragés par le gouvernement du président Abdou Diouf et après quatre mois de formation et de répéter là, ils ont attaqué la Gambie et ont tué huit jeunes soldats de la caserne Farafenni. Les criminels ont tous été capturés et à l'étonnement de tout le monde, ils ont raconté comment la fin Kukoi Samba Sanyang, qui en 1981 a mené une guerre acharnée contre les soldats sénégalais qui l'empêche d'établir un gouvernement marxiste en Gambie les a amenés au Sénégal dans le seul but de renverser le gouvernement Jammeh. Que le gouvernement sénégalais les a accueillis, leur a donné lieu de séjour et même payé leur allocations pour leur bien-être personnel. Pourtant, le gouvernement sénégalais jusqu'à ce jour ne serait pas admettre le fait que Kukoi, un fugitif recherché dans leur pays, blâmé pour la mort de 33 soldats sénégalais en 1981 (plus d'un millier de civils gambiens ont été tués lors de l'incident) pourrait en 1996 se faufiler dans leur pays avec une bande de mercenaires obstinés et attaqué une caserne militaire gambiens à leur insu. Mais encore une fois au lieu de casser le gouvernement, ils ont aidé à renforcer.

    Puis, en 1997 militaires dissidents gambiens abri, nourris et bien protégés dans un camp militaire sénégalais pendant trois ans attaqué un autre camp militaire gambien et tué deux jeunes soldats avec l'intention de renverser trois ans le gouvernement du président Jammeh. nouveau Le gouvernement sénégalais se dissocie de l'incident après l'échec du régime et les criminels vaincus et capturés.

    En 2006, les Gambiens à nouveau vu comment la Gambie Forces armées chef d'état-major avec la complicité de l'ambassadeur du Sénégal en Gambie un complot tat coup de traître de contre le gouvernement gambien qui a échoué lamentablement à nouveau. Je pourrais énumérer les quatrième, cinquième et sixième incidents où même les non-Gambiens ont été soutenus et encouragés par les fonctionnaires du gouvernement sénégalais à se rassembler librement à Dakar et d'utiliser leur capital comme plate-forme pour inciter à la violence contre le gouvernement gambien. Mais dans chacun de ces incidents, les conspirateurs soit tombé en morceaux avec leurs sponsors ou ont fini par être victimes de leurs propres intentions brutales.

    Alors faites-moi confiance, se cachant derrière un syndicat de transport pour un autre sale tour infantile non seulement échouera comme beaucoup d'autres semblables ont fait dans le passé, mais va encore renforcer le gouvernement gambien pour les grands défis à venir.

    Personne dans son bon esprit va acheter le récit ridicule qu'un syndicat ou organisation privée dans tous les pays pouvaient commander le genre d'influence politique ou exécutif assez puissant pour highjack la responsabilité de l'Etat surtout un aussi important que celui de la fermeture de son frontières internationales avec d'autres pays. J'espère que je me trompe, mais je pense que le gouvernement sénégalais en sachant très bien que contestant le gouvernement gambien directement sur l'origine du problème va révéler des activités plus accablantes contre eux sur la controverse tarifaire, les a poussés à utiliser leur syndicat pour entrer dans les gouttières avec le gouvernement Gambie. Pour tout ce que je sais, le gouvernement gambien ne sera pas sur le bleu soulever un tarif sans raisons convaincantes de le faire. Ainsi pour le Sénégal de ne pas être en mesure de sortir clair et défier le gouvernement en Gambie pour élever le tarif mais utiliser leur union de transport de fermer la frontière est une cause de suspect légitime. Je pense que Mackey Sall en sa qualité de duel en tant que Président du Sénégal et Président de la CEDEAO aurait pu abordé le problème différemment s'il n'a rien à cacher à tous les arbitres. Mais se cacher derrière un syndicat lui donne l'air plutôt malhonnête pour moi.

    Quoi qu'il en soit, je pense qu'il joue aussi avec un dangereux précédent qui a la potentialité de boomerang contre l'intérêt de l'Etat ou de la sécurité à l'avenir. Pour une Union ou toute entité privée à prendre la responsabilité des actions clairement désigné pour l'Etat et l'Etat seul équivaut à encourager les comportements des factions qui, à long terme, pourraient justifier d'autres militants indésirables dans les actions compromettre la sécurité nationale. Par exemple, ce qui se passe si demain un syndicat d'agriculteurs de Casamance décident de refuser l'entrée des produits agricoles ou des outils de la Guinée Bissau au Sénégal, revendiquer leurs droits égaux que ceux exploités par le syndicat des transports qui a fermé les frontières de la Gambie? le gouvernement sénégalais va asseoir et déclarer avoir aucun contrôle sur eux, même si beaucoup de gens ordinaires dans les deux pays sont gravement touchés? Je ne le pense pas.

    Et si Bissau est directement touché, je ne pense pas que le gouvernement sénégalais va laisser dans les mains de l'union de l'agriculteur de négocier un règlement avec ce gouvernement. D'autres factions hostiles, groupes ou organisations peuvent également utiliser un jour les mêmes droits autonomes pour les activités qui peuvent aller à l'encontre de l'intérêt de la nation sénégalaise dans la mesure de poser une menace à la sécurité nationale à toute une région ou un pays entier. l'évaluation de toute façon l'impasse jusqu'à présent à ce stade avec le gouvernement sénégalais de Mackey Sall toujours inflexible sur averring d'avoir rien à voir avec le problème encore plus complexe par l'hétérodoxie du gouvernement Gambie négocier directement avec le syndicat sénégalais, je suppose que la meilleure approche du problème est pour une troisième nation ou de préférence deux, francophones et anglophones nations dans la sous-région de prendre la question à la CEDEAO ou siège de l'UA aux fins d'enquête et de jugement. déclare Apparemment ne négocier avec des organisations, des syndicats ou des factions dans d'autres Etats sur des questions présentant un préjudice potentiel pour les citoyens des pays en litige.

    Ces gens convaincus que les Gambiens ont plus à perdre de la fermeture de la frontière que les Sénégalais doivent vivre dans un cocon de fantaisie. Ils oublient probablement ou ne savent pas qu'il ya près de 700.000 ressortissants sénégalais vivant et travaillant en Gambie dont le souhait dernière sur la terre est une économie gambienne affaissée qui les forcer à retourner dans un pays où, si vous ne pouvez pas lutter, chanter ou danser la mendicité dans les rues est le seul moyen légal de survie gauche. Fantaisie ajoutant 700.000 rapatriés sénégalais sans emploi de la Gambie dans un état économiquement faible avec un taux de chômage de manière stupéfiante que vous ne pouvez pas mettre des chiffres sur l'indice de pourcentage; il va naturellement déstabiliser la région bien au-delà des attentes.

    Laissez-nous pas non plus oublier les effets imprévus qu'elle aura dans Casamance où au cours des dernières années grâce à Son Excellence le Président Jammeh, la paix entre les séparatistes du MFDC et le gouvernement sénégalais a amélioré plus en parler qu'en termes de défense. Si cela est mal interprété comme une victoire permanente dans une région en proie à une guerre civile depuis plus de trois décennies, il suffit d'attendre et de voir le conflit ignitable à déstabiliser la Gambie et le gouvernement APRC centenaire.

    Je vais toutefois encore exhorter le gouvernement sénégalais à prendre au sérieux en intervenant et en laissant leur Union Transport reculer pour le gouvernement de traiter avec le gouvernement Gambie directement en tant que partenaires mutuellement concernés sur le dilemme.

    Je pense que chaque dirigeant droit d'esprit dans le monde de l'Afrique vers l'Europe, l'Asie et les Amériques sera en effet d'accord avec la Gambie sur celui-ci parce que les Etats ne négocient pas nécessairement avec les organisations non-gouvernementales dans d'autres pays sur les grandes questions nationales qui, dans ce cas est la fermeture des frontières gambiennes par l'Union des transports membres assumant la responsabilité de la police et les devoirs de l'immigration. Il est pas juste et ne jamais avoir raison.

    Gambie ne peut pas être rompu et toute tentative d'effraction il va tout simplement de renforcer la maxime selon laquelle ce qui ne peut briser un fait toujours un plus fort.

    Vive la République islamique de la Gambie!

    Vive le peuple gambiens!

    Vive le peuple Sénégambie!

    Vive Son Excellence Cheikh Professeur Docteur Alhagie Yahya A. J. J. Jammeh, Babilli Mansa, président et commandant en chef des Forces armées de la Gambie!

    Samsudeen Sarr

    La ville de New York.
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