Pour le Magal 2021, il y a de grandes restrictions dans la remise des accréditations pour la presse sénégalaise. En effet, seulement 300 sont disponibles, selon le président de la Commission d'organisation du grand Magal de Touba, Cheikh Bass. Il l'a fait savoir sur Walf TV. Contrairement aux années précédentes où il y en avait près de 1 000.
Selon lui, cette mesure est prise par souci du respect des mesures barrières. Ce, bien vrai que la pandémie bat de l'aile. "La vigilance sera de mise. Pour les sites d'hébergement, le nombre de places est réduit. Ce qui veut dire que bon nombre d'organes de presse n'auront pas besoin de se déplacer. Nous voulons que le travail de la presse se fasse normalement dans le respect des mesures sanitaires, pour lutter contre la Covid-19", informe le président de la commission.
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La déroute a commencé depuis que la communication religieuse est devenue un métier lucratif . Les griots qui peinaient à s'en sortir dans les khawaré et dans les simbougaidé tiennent en haleine les foules de fanatiques qui leur octroient des voitures, des terrains, et des chèques, en échange, ces griots leur promettent un paradis assuré en inventant des histoires qui place Cheikh Ahmadou au dessus même de Dieu. Ceci fait l'affaire des petits marabouts qui surfent sur la mystification à outrance pour se remplir les poches ." tog mouy dokh " est devenue la devise des petits marabouts et les moutons talibés sont interdits de réfléchir mais doivent négliger leurs parents, leurs enfants, leurs épouses, se négliger soi-même pour tout donner au marabouts. L'esprit scientifique qui animait la jeunesse est devenu péjoratif parce, la science peut éveiller les consciences. Dans ce système Dieu et son prophète sont relégués au second plan, seul la sacralisation du marabout compte. Ils se bardent de photos et d'éffigies des marabouts, tympanisent le voisinage et mettre des photos de marabouts en statut à longueur de journée pour parfaire le bourrage.
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