Le projet de création d’un bac dans la région de Matam est arrivé "à maturation" a indiqué, mercredi, le président de la Chambre de Commerce d’Industrie et d’Agriculture (CCIAM), Mamadou Ndiadé.
"La CCIAM pris une décision importante d’avancer sur le projet de création d’un bac qui a nécessité plus d’une année de réflexion" a indiqué M. Ndiadé.
"La CCIAM pris une décision importante d’avancer sur le projet de création d’un bac qui a nécessité plus d’une année de réflexion" a indiqué M. Ndiadé.
Le président de la Chambre de commerce, d’industrie et d’agriculture s’exprimait au cours de l’assemblée générale annuelle au cours de laquelle "toutes les résolutions ont été votées à l’unanimité".
"Nous savons que le bac coute des centaines de millions de frs CFA mais l’important est de débuter et aujourd’hui nous avons marqué un point en créant la société des chargeurs de Matam qui prendra en charge la création de ce bac" a dit docteur Mamadou Ndiadé.
"Nous savons que le bac coute des centaines de millions de frs CFA mais l’important est de débuter et aujourd’hui nous avons marqué un point en créant la société des chargeurs de Matam qui prendra en charge la création de ce bac" a dit docteur Mamadou Ndiadé.
"Nous avons franchi un pas important en décidant carrément de créer la société des chargeurs de Matam avec un capital initial de 10 millions FCFA dans lequel la chambre de commerce va participer avec un taux de 33%" a en outre souligné M. Ndiadé.
Qui laisse entendre que l’institution consulaire "va faire un point de raising auprès des autres opérateurs économiques pour boucler ce capital qui permettra déjà de créer la société, de réfléchir sur sa faisabilité, son fonctionnement".
Qui laisse entendre que l’institution consulaire "va faire un point de raising auprès des autres opérateurs économiques pour boucler ce capital qui permettra déjà de créer la société, de réfléchir sur sa faisabilité, son fonctionnement".
Le budget 2018 de la CCIAM qui est d’environ 60 millions FCFA n’a pas connu de variation, a indiqué M. Ndiadé qui dit avoir compté sur les ressources de l’Etat et sur les économies de son institution pour laisser inchangées les rubriques.
4 Commentaires
Anonyme
En Juillet, 2018 (18:40 PM)On doit avoir le choix entre le bac et le pont !
Anonyme
En Juillet, 2018 (19:21 PM)Lancien
En Juillet, 2018 (20:39 PM)Il faut voir plus loin car à côté on a les phosphates de Matam qu'il serait beaucoup plus rentable d'évacuer par le fleuve et la mer. Donc un pont limiterait ce genre de projet
Anonyme
En Juillet, 2018 (15:07 PM)Participer à la Discussion