Les religieux ont visiblement décidé de ne plus
laisser la conquête des fonctions électives aux hommes politiques.
Certes ils ont toujours apporté d’une manière ou d’une autre leur
contribution dans le jeu politique sénégalais, mais ils semblent passer à
une vitesse supérieure avec les élections législatives du 1er juillet
prochain. Plusieurs guides religieux ont déposé leurs listes auprès de
la commission de réception des candidatures logée au ministère de
l’Intérieur. Il s’agit de Serigne Modou Kara Mbacké leader du Parti de
la vérité pour le développement (Pvd), Abdou Samath Mbacké de la
coalition, « Salam », Mansour Sy Djamil, président du mouvement « Bess
du Nak ».
Ces trois guides sont des leaders influents des communautés
mouride et tidiane. Même s’il est présent depuis longtemps dans le
landernau politique, le Pvd n’a jusqu’à présent pas présenté une liste à
des élections législatives. Pour les présidentielles, celle de 2007
notamment, Serigne Modou Kara avait soutenu le candidat Wade. Mais tout
laissait croire que le Pvd allait un jour briguer les suffrages des
Sénégalais pour des places à l’Assemblée nationale. Une campagne
d’affichage a longtemps inondé les murs de la capitale, de slogans
favorables à la présence du guide religieux Serigne Modou Kara au
Parlement. « Wade président, Kara à l’Assemblée nationale », lit-on
souvent.
Le Pvd va-t-il relever les défis en occupant des postes au
Parlement ? En tout cas, Serigne Modou Kara Mbacké compte plusieurs
disciples qui ne manquent jamais de lui manifester leur dévotion. Tout
comme, Serigne Mansour Sy Djamil qui est un des petits-fils d’El-Hadji
Malick Sy. Plusieurs sympathisants ou militants du mouvement « Bess du
nak » ont participé aux meetings que le candidat, Macky Sall a présidés
lors du second tour de l’élection présidentielle. Cet élan de sympathie
va-t-il se traduire dans les urnes ? Serigne Mansour Sy Djamil attend
manifestement avec impatience la réponse à cette interrogation.
Abdou Samath Mbacké est également dans l’attente. Petit-fils
du fondateur du Mouridisme, Cheikh Ahmadou Mbacké, le leader de la
coalition « Salam » espère visiblement un soutien des disciples
mourides. Obtiendra-t-il un tel élan de solidarité ? En tout cas, les
discours des religieux et la réponse des électeurs seront l’une des
attractions des législatives.
37 Commentaires
Sad
En Mai, 2012 (13:48 PM)Loumo
En Mai, 2012 (13:57 PM)Tayi
En Mai, 2012 (13:58 PM)Vérité
En Mai, 2012 (13:59 PM)Sénégalais, Sénégalaises
Marnouchas, Marnouchatas
Chers Compatriotes,
La bonne nouvelle que nous attendions, vient de tomber : KARA mooy laaj ASSEMBLÉE !
Tout le monde connait CHEIKH AHMADOU KARA MBACKÉ, mais qui en réalité, connait l’homme KARA ?
Depuis une trentaine d’années, KARA s’implique par ses propres moyens dans l’éducation, l’instruction et la formation de la jeunesse en milieu rural comme en milieu urbain. Comprenant très tôt que c’est à partir de la jeunesse que l’on peut projeter une société de qualité, c’est ainsi qu’il s’est investi sur elle, jour après jour afin de poser les jalons d’une société rayonnante. Ces jeunes et moins jeunes sont structurés dans des entités coordonnées au sein du Mouvement Mondial pour l’Unicité de DIEU (M.M.U.D). Á travers la Mélodie Divine , il a initié, plus d’une centaine de jeunes à l’étude de la musique pour en faire de vrais professionnels.
Par ses écrits poétiques, il les motive à s’instruire et leur donne le goût de la lecture et de l’écriture. Les actions de bienfaisance comme le nettoyage de cimetières, de certains édifices publics, d’hôpitaux, ainsi que l’assistance aux quartiers inondés les incitent à la solidarité agissante. Par les dons de sang, il leur enseigne la citoyenneté participative. Et enfin, avec KARA-Sécurité, il permet à des jeunes désœuvrés de renouer avec l’ordre et la discipline pour l’encadrement et la sécurisation des manifestations. Ainsi progressivement, ils deviennent de vrais soldats non pas avec des armes, mais des soldats avec une âme : Des soldats de la Paix.
KARA est également très au fait de ce qui se passe á travers le monde de par ses voyages et contacts avec les Sénégalais de la Diaspora. Nous ne le dirons jamais assez. KARA est celui qui n’a jamais incité à la violence ni tenu des propos malveillants envers ou devant qui que ce soit.
L’originalité, la qualité, l’abondance et la pureté de ses créations artistiques inédites ont fini de convaincre sur la richesse et l’étendue de ses connaissances. Il ne ménage aucun effort pour propager son Message de Paix à travers les cinq continents.
Nommé Ambassadeur International de la Paix en octobre 2005 à Paris, il est le premier des sénégalais à s’exprimer dans une langue sénégalaise à l’Unesco, temple des Cultures du monde, avant de continuer son discours en arabe et en français. C’était une belle leçon sur la façon de représenter son pays.
Chers Compatriotes, nous avons un Candidat tête de liste, très spécial, de super classe, un vrai Leader. Homme d’une grande noblesse d’âme et de cœur, élégant et dans ses paroles, et dans ses actes. Homme aux grandes vertus, digne de notre confiance pour remettre en état notre pays qui en a tant besoin. Aujourd’hui plus que jamais, SUÑUGAAL doit avoir un réel Amiral de vaisseau, car « géej gi da fa sambaraax », et les petitesses des requins politiciens doivent cesser.
Quand d’autres veulent soigner les maux du Sénégal par des remèdes libéralo-socialo-ex communistes inappropriés à la santé de notre Nation, KARA et le PVD proposent le Réalisme Africain inspiré de nos propres valeurs et servi par une politique de Vérité. Car, aucune société ne peut prétendre au développement sans penser et passer par le développement humain.
Sénégalais, Sénégalaises : KARA mooy laaj ASSEMBBLÉE ! Parce qu’il n’y a que lui et le PVD qui sont porteurs d’un projet de société soucieux du réel épanouissement social où l’homme est au centre. Mes chers Compatriotes, puisque KARA est pour Tous, alors soyons Tous pour KARA. Et c’est avec le PVD que nous suivrons massivement le droit chemin e la Paix jusqu’à… l’Assemblée. Inch´ALLAH !
Vive KARA, vive le PVD et Vive le Sénégal ! Je vous remercie.
Wekbaby
En Mai, 2012 (14:01 PM)Puriste
En Mai, 2012 (14:02 PM)Adja
En Mai, 2012 (14:05 PM)je ne comprends pas du tout c koi cette maniere de shabiller ça signifi koi en fait??
Salam F
En Mai, 2012 (14:07 PM)Kankan
En Mai, 2012 (14:11 PM)Reply_author
En Mai, 2023 (07:56 AM)Vérité
En Mai, 2012 (14:13 PM)Pvd
En Mai, 2012 (14:18 PM)Wa
En Mai, 2012 (14:23 PM)Pvd
En Mai, 2012 (14:24 PM)Pvd
En Mai, 2012 (14:28 PM)Depuis que le vent de la Paix souffle de nouveau sur notre pays, KARA et le PVD ont décidé de participer aux prochaines Législatives. DIEU merci ! La raison de cette décision tant attendue pour les joutes électorales est favorisée par le retour de notre légendaire climat de paix, après une Présidentielle émaillée de violences inédites dans notre histoire politique.
Pour rappel, l’opposition, après avoir coalisé toutes ses forces pour éliminer un candidat en fin de vie…politique, a finalement réussi au deuxième tour, mais malheureusement au prix d’une série de violences inouïes durant la campagne du premier tour. Un bravo à la violence ? Car, de mémoire de Sénégalais, jamais de tels actes n’avaient eu lieu. En plus d’une carence d’idées, l’opposition a raté son rendez-vous avec la population, en préférant se jeter comme une horde d’intermittents du spectacle, dans un décor digne d’un Soweto à l’époque de l’Apartheid, devant les caméras du monde entier. Sous l’œil amusé et complice des médias occidentaux heureux de quitter l’hiver pour venir assister, sinon commenter en direct la chute d’un vieux politique africain pourtant drôlement porté au pouvoir douze années plus tôt par une bonne partie de cette même classe politique. Certes, il faut s’inquiéter de la violence dans le milieu du sport, mais quand elle se produit au sein de la classe politique, c’est encore pire. Qu’on ait le courage de l’admettre ou non, les responsabilités furent partagées. Or, « Du man kenn, bokku ma cee ko gën »*. Certains s’excitaient en jurant, la main sur le cœur, que le pays pouvait ou devait brûler comme cela se passe sous d’autres cieux, souhaitant que l’opinion mondiale s’aperçoive que le Sénégal n’était pas, en fin de compte, cette terre que l’on croyait bénie et protégée. D’autres qui prédisaient le chaos ont fini par être KO et le Sénégal est resté debout, tenu par les Prières de Nos Saints Hommes.
Un premier tour au cours duquel, il y eut quinze morts au total, comme si une seule mort n’était déjà pas de trop. Beaucoup de blessés et des dégâts matériels considérables (biens publics et privés confondus). Parmi les morts, un policier désarmé surpris et lynché par une foule furieuse et incontrôlée – un étudiant marié laissant deux orphelins en bas-âge – un jeune adolescent envoyé chercher du pain par ses parents, tombé sous des balles perdues – une dame d’un certain âge abattue froidement sur le chemin du marché, etc… Sans compter les morts de la route par excès de vitesse, au mépris de toute règle de sécurité et de conduite. Une véritable bousculade vers le pouvoir ! On aurait dit qu’une épidémie de démence s’était abattue sur notre Sénégal. Quel candidat, au cours de ces émeutes préméditées, a eu un parent mort ou même blessé ? Aucun, à notre connaissance. Mais ces morts ne les ont pas empêchés de continuer. Comme si, plus il y avait de morts, plus ils se précipitaient. Des candidats s’érigeaient en d’occasionnels promoteurs de l’Intifada au cœur du quartier des affaires de la capitale, bloquant tout échange commercial et autres activités. D’autres, en quête « d’égratignures promotionnelles », se sont lâchés jusqu’à des empoignades contre les forces de l’ordre accusées de désordre, mais c’était sans compter avec la maturité de l’électeur dans le secret de l’isoloir.
Au finish, les élections se sont bel et si bien déroulées dans le calme et la transparence qu’on se croyait comme dans un roman… politique. Á quoi ces séries de violence (verbales, corporelles, psychologiques, etc…) copiées sur d’autres pays nous ont-elles servies ? Demandons vite le Pardon au Seigneur Tout-puissant, mais surtout à nos aïeux qui n’ont pas mérité cela.
Á la journée du 19 juin 2011 dédiée à la Paix aux Allées du Centenaire à Dakar, devant Mr. Moustapha Niass et Bara Tall venus répondre à l’appel, l’Ambassadeur de la Paix les avait prévenus : « Il faut de la patience, du tact et de la ruse pour convaincre un vieux gorille de céder la place. Votre meilleur allié pour le soumettre est l’humilité ». Sans quoi, gare à sa furie dévastatrice. Plus généreux en conseils, KARA leur livra le point faible de la bête : « Tendez lui une banane, une banane bien grosse, l’éplucher au besoin et la lui tendre avec douceur et les deux mains ». Tout doucement. Seul mode de protocole de transition possible avec lui. Autrement, faites très attention. La moindre agitation l’excite, le rend agressif et capable de tout. Il nous enseignait ce jour-là, que « la diplomatie est nécessaire par tous les moyens, afin de préserver l’héritage de Paix que nos saints aïeux nous ont légués ». Mr Niass qui dirigea la diplomatie sénégalaise pendant longtemps, n’avait pas retenu la leçon. Et ce qui ne devait pas nous arriver se produisit lorsqu’on le vit quatre jours plus tard à la télé, tenir un gros caillou à la main pour le jeter sur le vieux gorille, ignorant totalement qu’à cet âge, l’animal devient plus coquin, plus capricieux, plus vicieux et très violent parfois. L’image fit le tour du monde. Depuis, ce jeu n’a cessé. Seul le Grand Maître-chasseur de BAMBA le savait. Résultat des courses, le vieux a tout saccagé autour de lui et sur son passage. Les dégâts sont à la dimension de la tâche qui les attend.
Le PVD, pressentant une campagne violente et considérant que cette élection était entachée d’une ambigüité de candidature, préféra y renoncer par fidélité à ses principes de non-violence. Marcher sur des corps de sénégalais ou bénéficier d’une telle situation pour accéder à la tête de la Nation n’est pas acceptable pour nous. Suite à cette Honte du premier tour que l’histoire refusa de nous épargner, arriva un deuxième tour de la raison et le retour à la réalité. Pourquoi le premier n’a pas eu égal droit au second ? Parce qu’entretemps, l’électorat sénégalais doué de retenue et de bon sens, avait majoritairement donné son verdict : Halte à la violence ! L’anéantissement de l’opposition passé, il resta ce fameux duel entre un père et son fils. Combat auquel, la décence autorisait une parfaite neutralité. Un libéral, ne vaut-il pas un autre libéral ? Or, la vraie question n’est pas la personne à changer, mais le système, comme KARA l’a toujours dit : « Il est maintenant grand temps de savoir distinguer la bonne graine de l’ivraie et de comprendre aujourd’hui plus que jamais, que nous avons en nous des valeurs essentielles et fondamentales qui doivent guider notre marche de tous les jours ». Telle fut la position du Parti de la VÉRITÉ. Le troisième tour sera les législatives, celui que KARA attendait patiemment.
De toute façon, il n’y a pas que la magistrature suprême pour servir son pays. Par une politique de VÉRITÉ, de DROITURE, de TRANSPARENCE et d’OUVERTURE, le Parti tient à conquérir l’Assemblée dans la paix et légiférer dans la paix. Comme Cheikh Ahmadou Bamba l’apôtre de la non-violence l’avait pratiqué et réussi au sein même de ses redoutables adversaires. Car rien de durable ne peut se construire ni se conserver, si ce n’est dans la paix. Pendant que les ex partis d’opposition ont fini de rejoindre celui au pouvoir, l’ex parti au pouvoir déchiré en lambeaux cherche à recoller ses morceaux. Seul le Parti de la Vérité pour le Développement dispose d’antidotes contre les somnifères des politiques de contre-valeurs, et estime qu’une politique pour une autre école sénégalaise, est urgente. Il constitue aujourd’hui la véritable opposition digne de représenter le Peuple sénégalais en vue de le servir réellement et efficacement et d’être le garde-fou aux dérapages de nos nouveaux dirigeants d’obédience libéralo-socialo-ex communiste. En place des conclusions des assises dites nationales, le PVD propose le Réalisme Africain pour un Sénégal Émergent associant les compétences à l’action publique. Car avec KARA, c’est l’ancrage aux vraies valeurs ! Avec le PVD, nous disons STOP aux illusions d’Indépendance parce qu’il n’est plus question de continuer à obéir aux « ndigël » de puissances étrangères.
Chers concitoyens et concitoyennes, KARA mooy laaj ASSEMBLÉE !
L’heure est grave. L’économie sénégalaise étranglée peine à poser les bases solides de son émergence. La cause est due, en grande partie, aux idéologies importées qui ont toujours inspiré les formations politiques ayant eu à présider aux destinées de notre pays depuis les Indépendances. Certes Wade n’est plus, mais le système qui nous empêche de décoller, demeure. Á quelle hauteur, notre niveau de vie de sénégalais est coincé depuis cinquante années de souveraineté et pour combien de temps encore ? Où se situent les raisons de ce blocage ?
Le PVD, de par ses membres, connaît réellement et intimement les problèmes et peines de la population. Car eux-mêmes, en font tous les jours, l’expérience.
KARA, l’homme qu’on ne présente plus aux Sénégalais. Celui qui, depuis une trentaine d’années s’investit par ses propres moyens à éduquer, enseigner et former des générations de jeunes. De régulateur, le PVD devient un parti d’opposition, défenseur des intérêts de la population dans une Assemblée sans Mackyllage. Une Assemblée pour refléter le vrai visage de Notre Sénégal.
Hizbul Haqq
En Mai, 2012 (14:32 PM)Depuis que le vent de la Paix souffle de nouveau sur notre pays, KARA et le PVD ont décidé de participer aux prochaines Législatives. DIEU merci ! La raison de cette décision tant attendue pour les joutes électorales est favorisée par le retour de notre légendaire climat de paix, après une Présidentielle émaillée de violences inédites dans notre histoire politique.
Pour rappel, l’opposition, après avoir coalisé toutes ses forces pour éliminer un candidat en fin de vie…politique, a finalement réussi au deuxième tour, mais malheureusement au prix d’une série de violences inouïes durant la campagne du premier tour. Un bravo à la violence ? Car, de mémoire de Sénégalais, jamais de tels actes n’avaient eu lieu. En plus d’une carence d’idées, l’opposition a raté son rendez-vous avec la population, en préférant se jeter comme une horde d’intermittents du spectacle, dans un décor digne d’un Soweto à l’époque de l’Apartheid, devant les caméras du monde entier. Sous l’œil amusé et complice des médias occidentaux heureux de quitter l’hiver pour venir assister, sinon commenter en direct la chute d’un vieux politique africain pourtant drôlement porté au pouvoir douze années plus tôt par une bonne partie de cette même classe politique. Certes, il faut s’inquiéter de la violence dans le milieu du sport, mais quand elle se produit au sein de la classe politique, c’est encore pire. Qu’on ait le courage de l’admettre ou non, les responsabilités furent partagées. Or, « Du man kenn, bokku ma cee ko gën »*. Certains s’excitaient en jurant, la main sur le cœur, que le pays pouvait ou devait brûler comme cela se passe sous d’autres cieux, souhaitant que l’opinion mondiale s’aperçoive que le Sénégal n’était pas, en fin de compte, cette terre que l’on croyait bénie et protégée. D’autres qui prédisaient le chaos ont fini par être KO et le Sénégal est resté debout, tenu par les Prières de Nos Saints Hommes.
Un premier tour au cours duquel, il y eut quinze morts au total, comme si une seule mort n’était déjà pas de trop. Beaucoup de blessés et des dégâts matériels considérables (biens publics et privés confondus). Parmi les morts, un policier désarmé surpris et lynché par une foule furieuse et incontrôlée – un étudiant marié laissant deux orphelins en bas-âge – un jeune adolescent envoyé chercher du pain par ses parents, tombé sous des balles perdues – une dame d’un certain âge abattue froidement sur le chemin du marché, etc… Sans compter les morts de la route par excès de vitesse, au mépris de toute règle de sécurité et de conduite. Une véritable bousculade vers le pouvoir ! On aurait dit qu’une épidémie de démence s’était abattue sur notre Sénégal. Quel candidat, au cours de ces émeutes préméditées, a eu un parent mort ou même blessé ? Aucun, à notre connaissance. Mais ces morts ne les ont pas empêchés de continuer. Comme si, plus il y avait de morts, plus ils se précipitaient. Des candidats s’érigeaient en d’occasionnels promoteurs de l’Intifada au cœur du quartier des affaires de la capitale, bloquant tout échange commercial et autres activités. D’autres, en quête « d’égratignures promotionnelles », se sont lâchés jusqu’à des empoignades contre les forces de l’ordre accusées de désordre, mais c’était sans compter avec la maturité de l’électeur dans le secret de l’isoloir.
Au finish, les élections se sont bel et si bien déroulées dans le calme et la transparence qu’on se croyait comme dans un roman… politique. Á quoi ces séries de violence (verbales, corporelles, psychologiques, etc…) copiées sur d’autres pays nous ont-elles servies ? Demandons vite le Pardon au Seigneur Tout-puissant, mais surtout à nos aïeux qui n’ont pas mérité cela.
Á la journée du 19 juin 2011 dédiée à la Paix aux Allées du Centenaire à Dakar, devant Mr. Moustapha Niass et Bara Tall venus répondre à l’appel, l’Ambassadeur de la Paix les avait prévenus : « Il faut de la patience, du tact et de la ruse pour convaincre un vieux gorille de céder la place. Votre meilleur allié pour le soumettre est l’humilité ». Sans quoi, gare à sa furie dévastatrice. Plus généreux en conseils, KARA leur livra le point faible de la bête : « Tendez lui une banane, une banane bien grosse, l’éplucher au besoin et la lui tendre avec douceur et les deux mains ». Tout doucement. Seul mode de protocole de transition possible avec lui. Autrement, faites très attention. La moindre agitation l’excite, le rend agressif et capable de tout. Il nous enseignait ce jour-là, que « la diplomatie est nécessaire par tous les moyens, afin de préserver l’héritage de Paix que nos saints aïeux nous ont légués ». Mr Niass qui dirigea la diplomatie sénégalaise pendant longtemps, n’avait pas retenu la leçon. Et ce qui ne devait pas nous arriver se produisit lorsqu’on le vit quatre jours plus tard à la télé, tenir un gros caillou à la main pour le jeter sur le vieux gorille, ignorant totalement qu’à cet âge, l’animal devient plus coquin, plus capricieux, plus vicieux et très violent parfois. L’image fit le tour du monde. Depuis, ce jeu n’a cessé. Seul le Grand Maître-chasseur de BAMBA le savait. Résultat des courses, le vieux a tout saccagé autour de lui et sur son passage. Les dégâts sont à la dimension de la tâche qui les attend.
Le PVD, pressentant une campagne violente et considérant que cette élection était entachée d’une ambigüité de candidature, préféra y renoncer par fidélité à ses principes de non-violence. Marcher sur des corps de sénégalais ou bénéficier d’une telle situation pour accéder à la tête de la Nation n’est pas acceptable pour nous. Suite à cette Honte du premier tour que l’histoire refusa de nous épargner, arriva un deuxième tour de la raison et le retour à la réalité. Pourquoi le premier n’a pas eu égal droit au second ? Parce qu’entretemps, l’électorat sénégalais doué de retenue et de bon sens, avait majoritairement donné son verdict : Halte à la violence ! L’anéantissement de l’opposition passé, il resta ce fameux duel entre un père et son fils. Combat auquel, la décence autorisait une parfaite neutralité. Un libéral, ne vaut-il pas un autre libéral ? Or, la vraie question n’est pas la personne à changer, mais le système, comme KARA l’a toujours dit : « Il est maintenant grand temps de savoir distinguer la bonne graine de l’ivraie et de comprendre aujourd’hui plus que jamais, que nous avons en nous des valeurs essentielles et fondamentales qui doivent guider notre marche de tous les jours ». Telle fut la position du Parti de la VÉRITÉ. Le troisième tour sera les législatives, celui que KARA attendait patiemment.
De toute façon, il n’y a pas que la magistrature suprême pour servir son pays. Par une politique de VÉRITÉ, de DROITURE, de TRANSPARENCE et d’OUVERTURE, le Parti tient à conquérir l’Assemblée dans la paix et légiférer dans la paix. Comme Cheikh Ahmadou Bamba l’apôtre de la non-violence l’avait pratiqué et réussi au sein même de ses redoutables adversaires. Car rien de durable ne peut se construire ni se conserver, si ce n’est dans la paix. Pendant que les ex partis d’opposition ont fini de rejoindre celui au pouvoir, l’ex parti au pouvoir déchiré en lambeaux cherche à recoller ses morceaux. Seul le Parti de la Vérité pour le Développement dispose d’antidotes contre les somnifères des politiques de contre-valeurs, et estime qu’une politique pour une autre école sénégalaise, est urgente. Il constitue aujourd’hui la véritable opposition digne de représenter le Peuple sénégalais en vue de le servir réellement et efficacement et d’être le garde-fou aux dérapages de nos nouveaux dirigeants d’obédience libéralo-socialo-ex communiste. En place des conclusions des assises dites nationales, le PVD propose le Réalisme Africain pour un Sénégal Émergent associant les compétences à l’action publique. Car avec KARA, c’est l’ancrage aux vraies valeurs ! Avec le PVD, nous disons STOP aux illusions d’Indépendance parce qu’il n’est plus question de continuer à obéir aux « ndigël » de puissances étrangères.
Chers concitoyens et concitoyennes, KARA mooy laaj ASSEMBLÉE !
L’heure est grave. L’économie sénégalaise étranglée peine à poser les bases solides de son émergence. La cause est due, en grande partie, aux idéologies importées qui ont toujours inspiré les formations politiques ayant eu à présider aux destinées de notre pays depuis les Indépendances. Certes Wade n’est plus, mais le système qui nous empêche de décoller, demeure. Á quelle hauteur, notre niveau de vie de sénégalais est coincé depuis cinquante années de souveraineté et pour combien de temps encore ? Où se situent les raisons de ce blocage ?
Le PVD, de par ses membres, connaît réellement et intimement les problèmes et peines de la population. Car eux-mêmes, en font tous les jours, l’expérience.
KARA, l’homme qu’on ne présente plus aux Sénégalais. Celui qui, depuis une trentaine d’années s’investit par ses propres moyens à éduquer, enseigner et former des générations de jeunes. De régulateur, le PVD devient un parti d’opposition, défenseur des intérêts de la population dans une Assemblée sans Mackyllage. Une Assemblée pour refléter le vrai visage de Notre Sénégal.
Moi
En Mai, 2012 (14:35 PM)Al Haqq
En Mai, 2012 (14:35 PM)Depuis que le vent de la Paix souffle de nouveau sur notre pays, KARA et le PVD ont décidé de participer aux prochaines Législatives. DIEU merci ! La raison de cette décision tant attendue pour les joutes électorales est favorisée par le retour de notre légendaire climat de paix, après une Présidentielle émaillée de violences inédites dans notre histoire politique.
Pour rappel, l’opposition, après avoir coalisé toutes ses forces pour éliminer un candidat en fin de vie…politique, a finalement réussi au deuxième tour, mais malheureusement au prix d’une série de violences inouïes durant la campagne du premier tour. Un bravo à la violence ? Car, de mémoire de Sénégalais, jamais de tels actes n’avaient eu lieu. En plus d’une carence d’idées, l’opposition a raté son rendez-vous avec la population, en préférant se jeter comme une horde d’intermittents du spectacle, dans un décor digne d’un Soweto à l’époque de l’Apartheid, devant les caméras du monde entier. Sous l’œil amusé et complice des médias occidentaux heureux de quitter l’hiver pour venir assister, sinon commenter en direct la chute d’un vieux politique africain pourtant drôlement porté au pouvoir douze années plus tôt par une bonne partie de cette même classe politique. Certes, il faut s’inquiéter de la violence dans le milieu du sport, mais quand elle se produit au sein de la classe politique, c’est encore pire. Qu’on ait le courage de l’admettre ou non, les responsabilités furent partagées. Or, « Du man kenn, bokku ma cee ko gën »*. Certains s’excitaient en jurant, la main sur le cœur, que le pays pouvait ou devait brûler comme cela se passe sous d’autres cieux, souhaitant que l’opinion mondiale s’aperçoive que le Sénégal n’était pas, en fin de compte, cette terre que l’on croyait bénie et protégée. D’autres qui prédisaient le chaos ont fini par être KO et le Sénégal est resté debout, tenu par les Prières de Nos Saints Hommes.
Un premier tour au cours duquel, il y eut quinze morts au total, comme si une seule mort n’était déjà pas de trop. Beaucoup de blessés et des dégâts matériels considérables (biens publics et privés confondus). Parmi les morts, un policier désarmé surpris et lynché par une foule furieuse et incontrôlée – un étudiant marié laissant deux orphelins en bas-âge – un jeune adolescent envoyé chercher du pain par ses parents, tombé sous des balles perdues – une dame d’un certain âge abattue froidement sur le chemin du marché, etc… Sans compter les morts de la route par excès de vitesse, au mépris de toute règle de sécurité et de conduite. Une véritable bousculade vers le pouvoir ! On aurait dit qu’une épidémie de démence s’était abattue sur notre Sénégal. Quel candidat, au cours de ces émeutes préméditées, a eu un parent mort ou même blessé ? Aucun, à notre connaissance. Mais ces morts ne les ont pas empêchés de continuer. Comme si, plus il y avait de morts, plus ils se précipitaient. Des candidats s’érigeaient en d’occasionnels promoteurs de l’Intifada au cœur du quartier des affaires de la capitale, bloquant tout échange commercial et autres activités. D’autres, en quête « d’égratignures promotionnelles », se sont lâchés jusqu’à des empoignades contre les forces de l’ordre accusées de désordre, mais c’était sans compter avec la maturité de l’électeur dans le secret de l’isoloir.
Au finish, les élections se sont bel et si bien déroulées dans le calme et la transparence qu’on se croyait comme dans un roman… politique. Á quoi ces séries de violence (verbales, corporelles, psychologiques, etc…) copiées sur d’autres pays nous ont-elles servies ? Demandons vite le Pardon au Seigneur Tout-puissant, mais surtout à nos aïeux qui n’ont pas mérité cela.
Á la journée du 19 juin 2011 dédiée à la Paix aux Allées du Centenaire à Dakar, devant Mr. Moustapha Niass et Bara Tall venus répondre à l’appel, l’Ambassadeur de la Paix les avait prévenus : « Il faut de la patience, du tact et de la ruse pour convaincre un vieux gorille de céder la place. Votre meilleur allié pour le soumettre est l’humilité ». Sans quoi, gare à sa furie dévastatrice. Plus généreux en conseils, KARA leur livra le point faible de la bête : « Tendez lui une banane, une banane bien grosse, l’éplucher au besoin et la lui tendre avec douceur et les deux mains ». Tout doucement. Seul mode de protocole de transition possible avec lui. Autrement, faites très attention. La moindre agitation l’excite, le rend agressif et capable de tout. Il nous enseignait ce jour-là, que « la diplomatie est nécessaire par tous les moyens, afin de préserver l’héritage de Paix que nos saints aïeux nous ont légués ». Mr Niass qui dirigea la diplomatie sénégalaise pendant longtemps, n’avait pas retenu la leçon. Et ce qui ne devait pas nous arriver se produisit lorsqu’on le vit quatre jours plus tard à la télé, tenir un gros caillou à la main pour le jeter sur le vieux gorille, ignorant totalement qu’à cet âge, l’animal devient plus coquin, plus capricieux, plus vicieux et très violent parfois. L’image fit le tour du monde. Depuis, ce jeu n’a cessé. Seul le Grand Maître-chasseur de BAMBA le savait. Résultat des courses, le vieux a tout saccagé autour de lui et sur son passage. Les dégâts sont à la dimension de la tâche qui les attend.
Le PVD, pressentant une campagne violente et considérant que cette élection était entachée d’une ambigüité de candidature, préféra y renoncer par fidélité à ses principes de non-violence. Marcher sur des corps de sénégalais ou bénéficier d’une telle situation pour accéder à la tête de la Nation n’est pas acceptable pour nous. Suite à cette Honte du premier tour que l’histoire refusa de nous épargner, arriva un deuxième tour de la raison et le retour à la réalité. Pourquoi le premier n’a pas eu égal droit au second ? Parce qu’entretemps, l’électorat sénégalais doué de retenue et de bon sens, avait majoritairement donné son verdict : Halte à la violence ! L’anéantissement de l’opposition passé, il resta ce fameux duel entre un père et son fils. Combat auquel, la décence autorisait une parfaite neutralité. Un libéral, ne vaut-il pas un autre libéral ? Or, la vraie question n’est pas la personne à changer, mais le système, comme KARA l’a toujours dit : « Il est maintenant grand temps de savoir distinguer la bonne graine de l’ivraie et de comprendre aujourd’hui plus que jamais, que nous avons en nous des valeurs essentielles et fondamentales qui doivent guider notre marche de tous les jours ». Telle fut la position du Parti de la VÉRITÉ. Le troisième tour sera les législatives, celui que KARA attendait patiemment.
De toute façon, il n’y a pas que la magistrature suprême pour servir son pays. Par une politique de VÉRITÉ, de DROITURE, de TRANSPARENCE et d’OUVERTURE, le Parti tient à conquérir l’Assemblée dans la paix et légiférer dans la paix. Comme Cheikh Ahmadou Bamba l’apôtre de la non-violence l’avait pratiqué et réussi au sein même de ses redoutables adversaires. Car rien de durable ne peut se construire ni se conserver, si ce n’est dans la paix. Pendant que les ex partis d’opposition ont fini de rejoindre celui au pouvoir, l’ex parti au pouvoir déchiré en lambeaux cherche à recoller ses morceaux. Seul le Parti de la Vérité pour le Développement dispose d’antidotes contre les somnifères des politiques de contre-valeurs, et estime qu’une politique pour une autre école sénégalaise, est urgente. Il constitue aujourd’hui la véritable opposition digne de représenter le Peuple sénégalais en vue de le servir réellement et efficacement et d’être le garde-fou aux dérapages de nos nouveaux dirigeants d’obédience libéralo-socialo-ex communiste. En place des conclusions des assises dites nationales, le PVD propose le Réalisme Africain pour un Sénégal Émergent associant les compétences à l’action publique. Car avec KARA, c’est l’ancrage aux vraies valeurs ! Avec le PVD, nous disons STOP aux illusions d’Indépendance parce qu’il n’est plus question de continuer à obéir aux « ndigël » de puissances étrangères.
Chers concitoyens et concitoyennes, KARA mooy laaj ASSEMBLÉE !
L’heure est grave. L’économie sénégalaise étranglée peine à poser les bases solides de son émergence. La cause est due, en grande partie, aux idéologies importées qui ont toujours inspiré les formations politiques ayant eu à présider aux destinées de notre pays depuis les Indépendances. Certes Wade n’est plus, mais le système qui nous empêche de décoller, demeure. Á quelle hauteur, notre niveau de vie de sénégalais est coincé depuis cinquante années de souveraineté et pour combien de temps encore ? Où se situent les raisons de ce blocage ?
Le PVD, de par ses membres, connaît réellement et intimement les problèmes et peines de la population. Car eux-mêmes, en font tous les jours, l’expérience.
KARA, l’homme qu’on ne présente plus aux Sénégalais. Celui qui, depuis une trentaine d’années s’investit par ses propres moyens à éduquer, enseigner et former des générations de jeunes. De régulateur, le PVD devient un parti d’opposition, défenseur des intérêts de la population dans une Assemblée sans Mackyllage. Une Assemblée pour refléter le vrai visage de Notre Sénégal.
Diourbel
En Mai, 2012 (14:43 PM)Ils ont dénoncé la situation qui prévaut, selon eux, à l’hôpital de Ndamatou où le directeur cumulerait ses fonctions avec celle de médecin-chef du district sanitaire de Touba. Dans cet établissement de santé de niveau 1, ils trouvent anormal que les travailleurs fassent 360 heures en lieu et place des 218 prévues par le Code du travail. Ils trouvent aberrant que des travailleurs, après 10 années de service, ne puissent pas encore bénéficier de contrat de travail. «Ils ne sont que des prestataires de service».
Les syndicalistes se sont aussi appesantis sur le cas du Conseil régional de Diourbel. Une collectivité locale où les travailleurs ont vu tous leurs acquis engrangés durant les gestions précédentes fondre comme du beurre au soleil. Après avoir déploré l’inaccessibilité du président Fallou Mbacké, qui n’a jamais daigné répondre aux multiples demandes d’audiences, ils regrettent l’inexistence d’une administration et d’un parc automobile parce que «les deux véhicules fonctionnels sont au service du président et de sa femme alors qu’au même moment les travailleurs marchent». Ils disent aussi ne pas comprendre que des contractuels en service depuis 2004 ne soient pas régularisés pendant que le président recrute à tour de bras. Il y a aussi le non paiement des bourses».
Samba
En Mai, 2012 (14:59 PM)la société est endettée de 17 milliards
non reversement de l'ipres, caisse sécurité sociale
il faut auditer la mauvaise gestion de l'ex DGA du nom de monsieur talla et son équipe et oumar cissé un faux type
Découverte
En Mai, 2012 (15:07 PM)Illuminé
En Mai, 2012 (15:17 PM)un jour il est déguisé en général, un autre en hindou, le lendemain en Michael Jackson.
Mon dieu ou allons-nous
Raka
En Mai, 2012 (16:09 PM)Leboudieumbeu
En Mai, 2012 (16:10 PM)Senegalboubes
En Mai, 2012 (16:32 PM)Aminta Bachan
En Mai, 2012 (17:56 PM)Anne Zhinga
En Mai, 2012 (17:56 PM)Vous connaissez Monsieur Moustapha Cissé Lô....qu'elles sont ses actes....tout le monde sait son palmarés ....on le nomme El pistolero...parce qu'il dégaine facilement....ceci personne ne peut le nier....il ya plusieurs exemples, le dernier c'était lors des élections...le langage incendiaire de Cissé Lô est aussi connu de tout les sénégalais....Je pense que vous conviendrait avec moi qu'une telle personne ne peut occuper le perchoir.
Vous connaissez Monsieur Modou Kara....qu'elles sont ses actes.....tout le monde connait son palmarés....les gens hypocrites font du maslas....vous faites du masla jusqu'à tomber dans un gouffre....ce que je dis , je le dirais pas si ce marabout s'était limiter à sa natte et à ses daaras comme les vrais marabouts....toute personne qui qu'elle soit, si elle aspire à occuper des postes pour diriger le peuple, nous peuple on a le droit absolu de le juger....Modou Kara n'est pas un bon exemple pour la jeunesse de ce pays....il ne doit pas aspirer à un poste politique....les femmes qu'il humilie, en les répudiant aprés avoir satisfait sa libido, et d'autres comportement indignes d'une personne respectable. Démunissons nous de cette ferveur aveugle, ouvrons les yeux....Kara je crains qu'il n'est pas digne d'être député de notre illutre Assemblée....Mais, au temps de Senghor, de tels individus ne pouvaient occuper ces postes de responsabilités.....Que voulons nous faire de l'enquête de moralité....
Vous connaissez certainement Serigne Mansour Sy Jamil, lui on le connaît moins....franchement je ne peut lui témoigner des dérives....comme les deux candidats précédents...c'est un marabout qui est proche du peuple, je peux témoigner qu'il a peur du Seigneur. Son irruption dans l'aréne politique peut être non acceptée par d'aucuns.
Vous connaissez Moustapha Niasse, par ses actes, sa politesse, son expérience politique, ses connaissances du monde de la diplomatie.....D'aucuns penseront que je suis de l'AFP, ou que je suis un proche de Niasse....mais non , je veux être objectif, je ne connais même pas Monsieur Niasse, jamais je ne l'ai rencontré....Mais je pense qu'il est le meilleur profil pour un tel poste. Notre cher pays pourrait avancer si de telles personnes occupaient le perchoir....Je pense à OTD de nguéniéne....personne éduquée et avec une grande expérience politique....je pense au Doyen Fall, Ibrahima Fall, une personne éduquée avec une belle expérience politique...
Donc nous ne devons pas avoir de probléme de choix de personnes à la tête de notre assemblée....
J'ai voulu participer à ce forum uniquement pour dénoncer la propagande faite pour propulser des personnalités, qui sont des contres valeurs pour notre peuple.
Et nous devons séparer la politique de la religion....les passions religieuses doivent s'arrêter à la limite des tarikhas et des daaras.....la politique est autre chose....un terrain glissant, ou tous sont égaux, des citoyens ordinaires.
Sai
En Mai, 2012 (18:00 PM)GARDON LA PAIX Chez Nous c'est un atout qui veux plus que toute les richesse du monde vive le senegal
Repugnant
En Mai, 2012 (18:04 PM)Sommeil
En Mai, 2012 (18:48 PM)Repugnant
En Mai, 2012 (19:33 PM)Abrahamniassenefall
En Mai, 2012 (19:51 PM)Repugnant
En Mai, 2012 (20:03 PM)Mbacké Bara
En Mai, 2012 (20:05 PM)Repugnant
En Mai, 2012 (20:20 PM)Respublica
En Mai, 2012 (21:14 PM)Usa
En Mai, 2012 (21:45 PM)Ely
En Mai, 2012 (21:49 PM)SI LES WADISTES SEMBLENT ËTRE MIS HORS DE DANGER, (CE QUI N'EST PAS TOUT A FAIT SÛR), IL RESTE CE DANGER DES MORIBONDS DE MARABOUTS QUI CHERCHENT A SE SERVIR DE VAILLANTS ET NOBLES ANCIENS SERVITEURS DE DIEU.
MAIS QUEL EST LE PARTI POLITIQUE DE MOHAMED ET DE SES VRAIS DISCIPLES DANS LE MONDE MUSULMANS. ??????
CE N'EST PAS LA PAROLE DE DIEU QUE CES ''BANDITS DE MARABOUTS'' VEULENT DéFENDRE; C'EST PLUTOT POUR S'ENRICHIR SOUS UNE NOUVELLE FORME DE L'ESCLAVAGE QUI EST DE S'ENTOURER DE TALIBéS JEUNES HOMMES ET JEUNES FILLES QU'ILS VIOLENT ET QUI SE VIOLENT ENTRE EUX A TOUR DE BRAS; LES SEIGNEURS SE PAVANERONT DANS LES ENCEINTES DU PEUPLE ET DANS LES HOTELS RéSERVéS, RéNUMéR2S DE SURCROIT A COUP DE MILIONS PAR LE PEUPLE.
QUEL DEVENIR POUR LE SENEGAL ??????????????????? !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
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