Les préoccupations des familles des détenus dans les maisons d’arrêt et de correction du pays, sont relayées l’avocat Assane Dioma Ndiaye qui exprime quelques inquiétudes sur le fait qu’il n’y a pas eu de grâce présidentielle le 4 avril dernier. Un mois après, les familles des détenus ne désespèrent pas de voir tomber le décret présidentiel qui élargit certains de leurs proches.
Assane Dioma Ndiaye de reconnaître que ces grâces «sont des pratiques républicaines qui sont universelles. Et au Sénégal, c’est la première fois que j’assiste à un tel phénomène. C’est vrai que les grâces sont décriées par les populations et beaucoup de cas de récidives s’expliquent par le fait qu’au Sénégal, on gracie facilement, de façon plus ou moins complaisante», fait constater l’avocat et président de la Ligue sénégalaise des droits humains, dans les colonnes de l'Observateur de ce mercredi 03 mai 2017.
7 Commentaires
Anonyme
En Mai, 2017 (12:16 PM)Anonyme
En Mai, 2017 (13:03 PM)IL N'ONT PAS HONTE
BIEN FAIT PRESI
Abc
En Mai, 2017 (13:05 PM)Abc
En Mai, 2017 (13:05 PM)Abc
En Mai, 2017 (13:05 PM)Abc
En Mai, 2017 (13:05 PM)Anonyme
En Mai, 2017 (13:55 PM)Participer à la Discussion