Le maire de Mermoz Sacré-Cœur, Barthélémy Dias, confirme les propos de Khalifa Sall. "Je dénonce cette posture de lâcheté qui consiste aujourd'hui à vouloir entretenir un complot politique qui ne parle pas dans l'esprit des sénégalais. Mais ils ont tous bénéficié de ces fonds politique. Macky Sall en a bénéficié. Il est le président de la République. Ce que je dis sur le président de la République, si ce n'est pas exact, le procureur de la République a le droit de s'autosaisir pour offense au chef de l'État", déclare le maire de Sacré-Cœur Mermoz.
M. Dias révèle aussi qu'Ousmane Tanor Dieng, secrétaire général du Parti socialiste, avait, lui-aussi, sollicité ces fonds. "En 2009, Ousmane Tanor Dieng a été le premier à m'indiquer qu'il y'avait des fonds politiques à la ville de Dakar, et à ce titre, il m'invitait à faire comprendre au maire, en vue de l'élection 2012, qu'il fallait faire bon usage de ces fonds surtout à travers une politique sociale qui devait nous aider à remporter l'élection présidentielle de 2012", déballe Barthélémy Dias sur les ondes de la Rfm ce mercredi"
19 Commentaires
Anonyme
En Février, 2018 (15:24 PM)Anonyme
En Février, 2018 (15:29 PM)Lynx
En Février, 2018 (15:37 PM)Ce procès devait être une occasion pour les profanes de découvrir comment les politiciens spolient l'argent du contribuable. comment il s'enrichissent sur le dos du sénégalais.
cette affaire n'est que la partie visible de l'iceberg.
Secka
En Février, 2018 (15:46 PM)Ige ofnac rien ne vous intéresse si ce n'est éliminer un POTENTIEL adversaire politique.
KHAF DEFNA DEI LOLOU KENN WEDIWOUKO WAYE LIMOU FEK MAIRIE DE DAKAR DI DOKHé REK LEU DEFOUFI LOU BESS DEI LOLOU NIEP KHAMNANIOUKO
WALAHI YALLA NAKO YALLA SOUTOURAL
Anonyme
En Février, 2018 (15:57 PM)Anonyme
En Février, 2018 (16:04 PM)Bo
En Février, 2018 (16:13 PM)Anonyme
En Février, 2018 (16:13 PM)Anonyme
En Février, 2018 (16:16 PM)Anonyme
En Février, 2018 (16:40 PM)Alba
En Février, 2018 (16:53 PM)Pecosse
En Février, 2018 (16:53 PM)Dommage qu'en afrique si tu n'est pas du bon cote des gouvernants, ces derniers te sacrifie....
Oui dommage, Khaff , mais Dieu ne dort pas deh, walay....
Le senegalais n'aime pas ca, ridiculer un homme publiquement , meme s'il a tort y'a des manieres de le faire mais pas comme ca....
C'est vraiment triste, ils vont le sacrifies comme ca rek.... pufffff
Mamour Cisse
En Février, 2018 (17:13 PM)Seul le noble descendant De Maaba Diakhou Ba est en train de derouler pour un senegal de tous pour tous
Mame
En Février, 2018 (17:33 PM)Anonyme
En Février, 2018 (17:35 PM)Anonyme
En Février, 2018 (17:54 PM)Bob Marley
En Février, 2018 (05:51 AM)Anonyme
En Février, 2018 (08:14 AM)La politique est une entreprise financièrement rentable au Sénégal. Le pays est un immense gâteau de chef étoilé à partager entre plus de 300 partis dont 290 vautours n’osant pas voler de leurs propres ailes à une présidentielle car n’ayant ni le quotient électoral, ni la surface financière pour payer la caution, si ce n’est pas le pouvoir qui s’en acquitte à leur place pour berner les masses, astakhfiroullah !, baiser devrais-je dire. Ils se réfugient derrière le nid douillet des coalitions, désertent le terrain politique pour envahir le terrain médiatique et exister par l’unité de bruit ; ni permanence, ni structures, zéro activité. Le récépissé ne sert point à conquérir le suffrage des électeurs, mais c’est un permis de combinazione, de spoliation, de prédation, d’accaparement de ressources sur le dos du Sénégal. La stratégie est simple. Le parti-media dit soutenir l’action du Président de la république en fonction qui lui jette un grand os à ronger rembourré avec fromage : salaire, avantages en nature et espèces garantis durant le mandat.
Si c’est à la veille du premier tour de la présidentielle, il faut faire semblant de se présenter sans en avoir le courage. Aucune consigne et on attend le deuxième tour pour le grand chantage du maître en la matière. Au président sortant qui détient la caisse noire de milliards, il est exigé des frais de campagne. Les soi-disant souteneurs du challenger prétendent que leur soutien est sans condition. De ce fait, ils reçoivent des frais de campagne. Si le challenger passe, c’est le jackpot : rentes assurées durant le mandat du nouvel élu. Le supporter du candidat battu va transhumer par contournement, pour, dit-il, soutenir l’action du Président de la République. Dans tous les cas, les entrepreneurs politiques ne perdent rien de leur investissement et suceront le sang du contribuable sénégalais : salaires, passeport, logement, couverture maladie, parc automobiles, carburant, voyages à l’autre bout du monde. C’est pourquoi les partis yobaléma, altoppé prospèrent. Violence au summum sur le peuple dépouillé ne saurait être plus pernicieuse. Ainsi déguisé, le vol est institutionnalisé et le crime organisé sans porter le nom de camorra ou oser appeler au « legalize it » à propos du yamba de Peter Tosh et du mouvement rastafari. Personne ou peu pour défendre les intérêts supérieurs de la nation orpheline et impunément violée à répétitions sur recommandation juridiquement encadrée. Le seul métier qui vaille est la politique. Inutile de travailler ; point de curriculum-vitae à faire valoir. Le parcours politique prime sur parcours professionnel.
Faites de la politique et toujours de la politique, rien que de la politique, ainsi ventre et bas-ventre sont éternellement satisfaits. Les compétences en politique politicienne payent plus que les compétences pures.
Ah tchim !, tchim mbaye ! transhumance !, appellation d’origine contrôlée de la prostitution politique dans le maquis avec ou sans la carte sanitaire du parti au pouvoir! Et si la proposition de l’ex- Premier Ministre Souleymane Ndéné Ndiaye avait abouti, combien d’hommes politiques, pardon, de bêtes en transhumance à la recherche de pâturages d’abord verts-PS, ensuite bleus-PDS, après marron-beige-APR, voulant goinfrer à tous les râteliers, de Senghor à Diouf, en passant par Wade et Macky, seraient fusillés ?
Rage du pays, les politichiens émergent, l’homo-senegalensis s’immerge et se noie mais quand le peuple se réveillera, le monde des politichiens s’effondrera. Donald Trump ne parlera plus de pays de merde. Le rire du nègre bon banania, comme pendant l’époque coloniale, ne se rappellera plus au bon souvenir de l’homo-africanus, risée du monde.
Tuubé Waalo
Anonyme
En Février, 2018 (14:56 PM)Participer à la Discussion